Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10e circonscription

  • LE PREMIER MINISTRE DE VANVES ARTISAN DE LA VICTOIRE DU FRONT REPUBLICAIN CONTRE LE RN

    Qui n’a pas été traversé par ce sentiment se traduisant par un véritable « ouf ! » à Vanves  ce soir d’un dimanche de 2éme tour  à l’heure où sur les JT TV tombaient les premières estimations et où, dans les 23 bureaux de vote, on commençait à dépouiller. « Un mur d’angoisse venait de tomber » comme l’expliquait un journal du matin. Qui à Vanves n’a pas pensé que « c’était incroyable, impensable car personne ne l’avait prédit » ou « c’est la démocratie qui a gagné ce soir ! ».

    Même si c’est maintenant le grand flou sur le futur gouvernement, il n’en reste pas moins qu’un vanvéen est peut être un des artisans de l’un de ce résultat étonnant : Gabriel Attal qui, dés le soir du 1er tour, avec Stéphane Séjourné, et leurs équipes, ont appelé, un par un, les députés Renaissance arrivé en troisième position, dans des triangulaire, pour les inviter à se retirer, même si certains ont rechignés au départ, permettant ainsi au Front Républicain de fonctionner,  jusqu’au dernier moment,  mardi en fin d’après-midi. Et comme l’a reconnu un de ses soutiens, « il y a peu de membres de la majorité qui ont fait preuve d’autant de capacité d’entrainement que lui. On se retrouve ce soir avec plus d’élus que nous en donnaient les sondages ». Un travail salué par Hervé Marseille, président de l'UDI. Et il est vrai qu’il a donné de sa personne, chaque matin, depuis l’annonce de la dissolution, « partant pour un marathon…au rythme d’un sprint » constatait l’un de ses proches en se demandant « comment il tient, si ce n’est par instinct de survie ». Quite à observer ces premiers cheveux blancs et ces cernes sous les yeux comme le constataient certaines vanvéens qui l’ont accompagné ou rencontré lorsqu’il était sur son terrain à Vanves en revenant de l’Oise, d’Avignon, où il était allé soutenir un candidat

    Alors on peut comprendre, sa satisfaction aux côtés de Claire Guichard, dimanche soir sur la terrasse de l’hôtel Ekko où il avait réuni ses amis pour célébrer sa victoire dans la 10éme circonscription des Hauts avec 58,23% des voix contre 41,77% pour la candidate socialiste du NFP, Cécile Soubelet.  A Vanves, il l’a emporté avec 52,30% contre 47,30% à la candidate du NFP. Il est intéressant de noter que Gabriel Attal fait ses meilleur dans les bureau 14 et 15 (Cabourg) avec 58,04% et 55,17% , 16 ( Dardenne ) avec 58,70%  21 et 20 (Larmeroux) avec 57,91%  et 55,94%, 1 (Mairie) avec 55,86%,   5  (Orillard) avec 54,05%,  3 (St Ex) avec 52,75%,  23 (Piscine) avec  52,30%.  Cecile Soubelet (NFP-PS) atteint 60,20% au 6 (Fourestier), 54,55% au 13 (La Palestre),  53,96% au 7 (Gambetta),  51,31% au  2 (St Ex),  51,33% au 11  (Marceau)  

    D’ailleurs, dans les Hauts-de-Seine, de nombreux ministres ont conservé, ou gagné, un poste de député :  Le ministre des Affaires étrangères Stéphane Séjourné a été élu à Boulogne-Billancourt pour la première fois avec 72,85% des voix, la porte-parole du gouvernement Prisca Thevenot dans la 8e circonscription est réélu avec 66,61% des voix.  Les Républicains reprennent du terrain en faisant élire trois députés dont Philippe Juvin dès le premier tour, puis Jean Didier Berger, dans le 12éme à Clamart dont il est le maire, et  Thomas Lama (LR) qui a repris la 2eme circonscription (Asnières)  à la députée sortante (NFP-LFI) Francesca Pasquini

    Gabriel Attal a présenté sa démission à Emmanuel Macron après la défaite du camp présidentiel aux élections législatives du 7 juillet. Reçu à 11h15 à l'Elysée, Emmanuel Macron a prolongé Gabriel Attal dans ses fonctions. Et lui a demandé de rester Premier ministre « pour le moment afin d'assurer la stabilité du pays ». Ainsi il se pourrait bien  qu’il soit élevé à la dignité de grand’croixde l’ordre du mérite aujourd’hui, puisqu’il sera depuis six mois à Matignon, comme le veut la tradition, qu’il préside au côté du président de la République, le défilé du 14 Juillet, qu'il soit encore présent à Matignon lors des JO pour en assurer la bonne marche. Une nouvelle fierté pour les vanvéens. 

  • BEAUCOUP DE MONDE POUR UN MEETING POLITIQUE PAS ORDINAIRE A VANVES AVEC GABRIEL ATTAL

    Parmi les 400 à 450  participants à la réunion publique de Gabriel Attal jeudi soir à la Palestre, beaucoup de jeunes, mais aussi de vanvéens peu habitués à se déplacer pour participer à un tel rassemblement dans le cadre d’une campagne, attiré sûrement par la curiosité d’entendre et d’approcher un Premier ministre vanvéen, jeune de surcroît, et abordable. Beaucoup l’ont entouré à la fin de la réunion pour lui poser des questions, faire des selfies auxquels il s’est prêté longuement, toujours affable, en chemise car il avait manifestement chaud. 

    A entendre certains, ils ont été impressionnés par ses réponses claires apportées aux questions de quelques vanvéens sur le handicap, le harcèlement, la transition écologique, l’émigration, avec l’aide de Claire Guichard, sa suppléante à ses côtés. Et surtout lorsqu’il a présenté les enjeux majeurs de cette élection législative suite à la décision du Président de la République  de dissoudre l’Assemblée Nationale, auquel manifestement, il ne s’attendait, n’a pas été consulté,  et à laquelle il n’était pas favorable. « Il ne faut pas qu’on s’en souvienne comme une tragédie ! »a-t-il expliqué car « Ce qui se joue, c’est moins la politique que la  République. Empêcher certes les extrêmes, mais surtout se battre pour défendre les valeurs de la République que des partis politiques ne reconnaissent plus. On est à un moment où le pays doit faire un choix, quel chemin faire pendre à notre pays. Ce qui se joue, c’est notre pacte républicain face à ceux qui veulent dévisser le pays » a-t-il déclaré  en ajoutant : « Le message à faire passer est que tout se joue dés le 1er tour ! » en laissant entendre que le risque est d’aboutir alors à des duels FN-Front Populaire et les sondages semblent montrer que le choix se ferait alors pour le RN.

    Il n’en pas moins reconnu que  « c’est à Vanves et dans cette circonscription  que tout acommencé » et qu’il a parcouru tout ce chemin politique qui l’a amené en moins de 7 ans à Matignon, face aux maires UDI André Santini et Bernard Gauducheau, des deux principales villes de cette circonscription - présents à cette réunion - qui le côtoient depuis dix ans « au cours desquels nous avons appris à nous connaître, à s’apprécier »comme l’a expliqué le maire de Vanves, « admiratif de la façon dont il s’est engagé dans ses différentes responsabilités ministérielles ».

    Comme le reconnaissait Bernard Gauducheau, « ce n’est pas un meeting politique ordinaire. Il y a un enjeu, un choix à faire qui n’est pas une petite chose. C’est d’éviter qu’une grande puissance comme la France soit prise en main par des irresponsables ». Denis Larghero, son colllégue de Meudon a mis en évidence l’enjeu local  sur ce territoire que constitue  GPSO que "nous avons réussi à développer en travaillant ensemble, comme dans une famille. Il y va de notre intérêt que l’on garde la main sur notre territoire. Ca sinon on va le payer cher, avec la péréquation … si on a des députés LFI »

  • 7 ANS APRES SA 1ére ELECTION, GABRIEL ATTAL RASSEMBLE UN ARC REPUBLICAIN A VANVES

    Depuis presqu’une semaine, Gabriel Attal a lancé  sa campagne dans cette 10eme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy les Moulineaux), en étant très présent sur le terrain comme l’ont  constaté les vanvéens, le week-end dernier alors qu’il parcourt la France pour soutenir d’autres candidats en même temps, et le  mardi 18 juin : Il a participé  l’hommage rendu par la ville pour le 84eme anniversaire de l’Appel du Juin 1940 (sur la photo)  tout en ayant ayant tracté à l’îlot du métro avec des élus et militants Renaissance.  Et il tiendra ce soir à 19H à la Palestre une réunion publique, en présence des quatre maires de la circonscription, les centristes André Santini (Issy), Bernar Gauducheau (Vanves), Denis Larghero (Meudon), et le LR Pierre Christophe Baguet.

    A deux jours prés, une date anniversaire, puisque voilà sept ans, un 18 Juin 2017, il était élu à 60,94% des voix député contre 39,60% à Jeremy Coste (UDI). Qui aurait pu imaginer ce jour là, que 7 ans plus tard, il serait Premier Ministre de La France, menant campagne dans une circonscription très scrutée, ancien fief santiniste, soutenu par ses 4 Maires UDI et LR alors qu’il était vilipendé et l’objet de basses mesquineries de leurs parts au début de son mandat…Jusqu’à ce qu’il soit nommé ministre. Et que dans un département détenu par une majorité LR-UDI, il  signé un pacte de « non-confrontation » avec  le président de la fédération LR du département Philippe Juvin, le président de l'UDI et sénateur des Hauts-de-Seine Hervé Marseille, la responsable départementale du Modem et sénatrice Isabelle Florennes, ainsi que le président du département Georges Siffredi…afin  de « faire barrage aux extrêmes de droite comme de gauche » et créer un « Arc Républicain ». «Il y a, au niveau local, des élus locaux qui se retrouvent», avait-il expliqué, en revendiquant être soutenu «tout à la fois» par «des élus ou anciens élus de gauche socialiste» et «des élus ou anciens élus LR».

    Le Premier ministre devra, pour sauver le siège qui était le sien depuis 2017 ferrailler contre les principaux candidats Nouveau Front Populaire Cécile Soubelet comme en 2017, LR-Ciotti-RN Sébastien Laye, entrepreneur Franco-Américain et éditorialiste à Valeurs Actuelles-Chroniqueur sur C News et un candidat LR-canal Historique Clément Perrin, qui se revendique comme « candidat dissident », mais aussi Herlander Ferreira do Amaral (Reconquête), Laurence Viguié (Lutte Ouvrière), Esteban Egouf (DVG),  Béatrice Guillemet (DVG) et Nicolas Lemesle (DVD)

    Ce soir, en dehors de l’enjeu local des ses élections, il devrait expliquer «le risque de catastrophe économique qui pèserait sur la France en cas de victoire des extrêmes aux législatives». En s’appuyant sur la mise en garde de l'Afep, qui réunit les 117 plus grandes entreprises françaises et qui a alerté lundi sur «un risque majeur de décrochage durable de l'économie française et européenne »