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7 ANS APRES SA 1ére ELECTION, GABRIEL ATTAL RASSEMBLE UN ARC REPUBLICAIN A VANVES

Depuis presqu’une semaine, Gabriel Attal a lancé  sa campagne dans cette 10eme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy les Moulineaux), en étant très présent sur le terrain comme l’ont  constaté les vanvéens, le week-end dernier alors qu’il parcourt la France pour soutenir d’autres candidats en même temps, et le  mardi 18 juin : Il a participé  l’hommage rendu par la ville pour le 84eme anniversaire de l’Appel du Juin 1940 (sur la photo)  tout en ayant ayant tracté à l’îlot du métro avec des élus et militants Renaissance.  Et il tiendra ce soir à 19H à la Palestre une réunion publique, en présence des quatre maires de la circonscription, les centristes André Santini (Issy), Bernar Gauducheau (Vanves), Denis Larghero (Meudon), et le LR Pierre Christophe Baguet.

A deux jours prés, une date anniversaire, puisque voilà sept ans, un 18 Juin 2017, il était élu à 60,94% des voix député contre 39,60% à Jeremy Coste (UDI). Qui aurait pu imaginer ce jour là, que 7 ans plus tard, il serait Premier Ministre de La France, menant campagne dans une circonscription très scrutée, ancien fief santiniste, soutenu par ses 4 Maires UDI et LR alors qu’il était vilipendé et l’objet de basses mesquineries de leurs parts au début de son mandat…Jusqu’à ce qu’il soit nommé ministre. Et que dans un département détenu par une majorité LR-UDI, il  signé un pacte de « non-confrontation » avec  le président de la fédération LR du département Philippe Juvin, le président de l'UDI et sénateur des Hauts-de-Seine Hervé Marseille, la responsable départementale du Modem et sénatrice Isabelle Florennes, ainsi que le président du département Georges Siffredi…afin  de « faire barrage aux extrêmes de droite comme de gauche » et créer un « Arc Républicain ». «Il y a, au niveau local, des élus locaux qui se retrouvent», avait-il expliqué, en revendiquant être soutenu «tout à la fois» par «des élus ou anciens élus de gauche socialiste» et «des élus ou anciens élus LR».

Le Premier ministre devra, pour sauver le siège qui était le sien depuis 2017 ferrailler contre les principaux candidats Nouveau Front Populaire Cécile Soubelet comme en 2017, LR-Ciotti-RN Sébastien Laye, entrepreneur Franco-Américain et éditorialiste à Valeurs Actuelles-Chroniqueur sur C News et un candidat LR-canal Historique Clément Perrin, qui se revendique comme « candidat dissident », mais aussi Herlander Ferreira do Amaral (Reconquête), Laurence Viguié (Lutte Ouvrière), Esteban Egouf (DVG),  Béatrice Guillemet (DVG) et Nicolas Lemesle (DVD)

Ce soir, en dehors de l’enjeu local des ses élections, il devrait expliquer «le risque de catastrophe économique qui pèserait sur la France en cas de victoire des extrêmes aux législatives». En s’appuyant sur la mise en garde de l'Afep, qui réunit les 117 plus grandes entreprises françaises et qui a alerté lundi sur «un risque majeur de décrochage durable de l'économie française et européenne »

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