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hauts de seine

  • BEAUCOUP DE MONDE POUR UN MEETING POLITIQUE PAS ORDINAIRE A VANVES AVEC GABRIEL ATTAL

    Parmi les 400 à 450  participants à la réunion publique de Gabriel Attal jeudi soir à la Palestre, beaucoup de jeunes, mais aussi de vanvéens peu habitués à se déplacer pour participer à un tel rassemblement dans le cadre d’une campagne, attiré sûrement par la curiosité d’entendre et d’approcher un Premier ministre vanvéen, jeune de surcroît, et abordable. Beaucoup l’ont entouré à la fin de la réunion pour lui poser des questions, faire des selfies auxquels il s’est prêté longuement, toujours affable, en chemise car il avait manifestement chaud. 

    A entendre certains, ils ont été impressionnés par ses réponses claires apportées aux questions de quelques vanvéens sur le handicap, le harcèlement, la transition écologique, l’émigration, avec l’aide de Claire Guichard, sa suppléante à ses côtés. Et surtout lorsqu’il a présenté les enjeux majeurs de cette élection législative suite à la décision du Président de la République  de dissoudre l’Assemblée Nationale, auquel manifestement, il ne s’attendait, n’a pas été consulté,  et à laquelle il n’était pas favorable. « Il ne faut pas qu’on s’en souvienne comme une tragédie ! »a-t-il expliqué car « Ce qui se joue, c’est moins la politique que la  République. Empêcher certes les extrêmes, mais surtout se battre pour défendre les valeurs de la République que des partis politiques ne reconnaissent plus. On est à un moment où le pays doit faire un choix, quel chemin faire pendre à notre pays. Ce qui se joue, c’est notre pacte républicain face à ceux qui veulent dévisser le pays » a-t-il déclaré  en ajoutant : « Le message à faire passer est que tout se joue dés le 1er tour ! » en laissant entendre que le risque est d’aboutir alors à des duels FN-Front Populaire et les sondages semblent montrer que le choix se ferait alors pour le RN.

    Il n’en pas moins reconnu que  « c’est à Vanves et dans cette circonscription  que tout acommencé » et qu’il a parcouru tout ce chemin politique qui l’a amené en moins de 7 ans à Matignon, face aux maires UDI André Santini et Bernard Gauducheau, des deux principales villes de cette circonscription - présents à cette réunion - qui le côtoient depuis dix ans « au cours desquels nous avons appris à nous connaître, à s’apprécier »comme l’a expliqué le maire de Vanves, « admiratif de la façon dont il s’est engagé dans ses différentes responsabilités ministérielles ».

    Comme le reconnaissait Bernard Gauducheau, « ce n’est pas un meeting politique ordinaire. Il y a un enjeu, un choix à faire qui n’est pas une petite chose. C’est d’éviter qu’une grande puissance comme la France soit prise en main par des irresponsables ». Denis Larghero, son colllégue de Meudon a mis en évidence l’enjeu local  sur ce territoire que constitue  GPSO que "nous avons réussi à développer en travaillant ensemble, comme dans une famille. Il y va de notre intérêt que l’on garde la main sur notre territoire. Ca sinon on va le payer cher, avec la péréquation … si on a des députés LFI »

  • 7 ANS APRES SA 1ére ELECTION, GABRIEL ATTAL RASSEMBLE UN ARC REPUBLICAIN A VANVES

    Depuis presqu’une semaine, Gabriel Attal a lancé  sa campagne dans cette 10eme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy les Moulineaux), en étant très présent sur le terrain comme l’ont  constaté les vanvéens, le week-end dernier alors qu’il parcourt la France pour soutenir d’autres candidats en même temps, et le  mardi 18 juin : Il a participé  l’hommage rendu par la ville pour le 84eme anniversaire de l’Appel du Juin 1940 (sur la photo)  tout en ayant ayant tracté à l’îlot du métro avec des élus et militants Renaissance.  Et il tiendra ce soir à 19H à la Palestre une réunion publique, en présence des quatre maires de la circonscription, les centristes André Santini (Issy), Bernar Gauducheau (Vanves), Denis Larghero (Meudon), et le LR Pierre Christophe Baguet.

    A deux jours prés, une date anniversaire, puisque voilà sept ans, un 18 Juin 2017, il était élu à 60,94% des voix député contre 39,60% à Jeremy Coste (UDI). Qui aurait pu imaginer ce jour là, que 7 ans plus tard, il serait Premier Ministre de La France, menant campagne dans une circonscription très scrutée, ancien fief santiniste, soutenu par ses 4 Maires UDI et LR alors qu’il était vilipendé et l’objet de basses mesquineries de leurs parts au début de son mandat…Jusqu’à ce qu’il soit nommé ministre. Et que dans un département détenu par une majorité LR-UDI, il  signé un pacte de « non-confrontation » avec  le président de la fédération LR du département Philippe Juvin, le président de l'UDI et sénateur des Hauts-de-Seine Hervé Marseille, la responsable départementale du Modem et sénatrice Isabelle Florennes, ainsi que le président du département Georges Siffredi…afin  de « faire barrage aux extrêmes de droite comme de gauche » et créer un « Arc Républicain ». «Il y a, au niveau local, des élus locaux qui se retrouvent», avait-il expliqué, en revendiquant être soutenu «tout à la fois» par «des élus ou anciens élus de gauche socialiste» et «des élus ou anciens élus LR».

    Le Premier ministre devra, pour sauver le siège qui était le sien depuis 2017 ferrailler contre les principaux candidats Nouveau Front Populaire Cécile Soubelet comme en 2017, LR-Ciotti-RN Sébastien Laye, entrepreneur Franco-Américain et éditorialiste à Valeurs Actuelles-Chroniqueur sur C News et un candidat LR-canal Historique Clément Perrin, qui se revendique comme « candidat dissident », mais aussi Herlander Ferreira do Amaral (Reconquête), Laurence Viguié (Lutte Ouvrière), Esteban Egouf (DVG),  Béatrice Guillemet (DVG) et Nicolas Lemesle (DVD)

    Ce soir, en dehors de l’enjeu local des ses élections, il devrait expliquer «le risque de catastrophe économique qui pèserait sur la France en cas de victoire des extrêmes aux législatives». En s’appuyant sur la mise en garde de l'Afep, qui réunit les 117 plus grandes entreprises françaises et qui a alerté lundi sur «un risque majeur de décrochage durable de l'économie française et européenne »

  • LANCEMENT DE LA CAMPAGNE A VANVES ET ISSY DE GABRIEL ATTAL QUI DEFEND L’ARC REPUBLICAIN CONTRE LE FRONT POPULAIRE

    Gabriel Attal n’a pas perdu de temps pour annoncer dés lundi qu'il sera candidat dans cette circonscription où il avait été élu en 2022, avec 59,85% des voix au second tour face à la candidate Nupes Cécile Soubelet, avec 8 000 voix d'avance. Cette dernière a d’ailleurs reçu l’investiture du Front Populaire dans la circonscription du premier Ministre. Celui-ci a lancé sa campagne à Issy les Moulineaux vendredi en fin d’après-midi  sur le marché de l’Hôtel de Ville, dimanche à vanves en étant présent à l'ilôt du métro le matin, devant le parc F.Pic cet aprés-midi… ses troupes distribuant son premier tract-profession de foi sur le marché de Vanves samedi matin, où était annoncé une réunion publique le 20 Juin à la Palestre à 20H. Et la première affiche de campagne où il apparait avec Claire Guichard sa suppléante qui devrait être collée sur les panneaux officiels à partir de lundi

    Il est intéressant de noter que les 4 Maires de la circonscription, André Santini, (Issy), Bernard Gauducheau (Vanves), Pierre Christophe Baguet (Boulogne), Denis Larghero (Meudon) avec la majorité départemental LR-UDI le soutiennent. Tout simplement parce s’est constitué dans les Hauts de Seine, un Arc Républicain. C’est-à-dire qu’un pacte de «non-agression» a été signé entre Gabriel Attal et les chefs de file altoséquanais pour ne pas se présenter les uns contre les autres, le Président du Conseil département, Georges Siffredi qui a quitté LR Le 11 Juin, Philippe Juvin, président de la fédération LR du 92, Hervé Marseille président de l’UDI : «Nous avons décidé, pour faire barrage aux extrêmes de droite comme de gauche, de créer un arc républicain dans notre département des Hauts-de-Seine, qui lie Ensemble pour la République, les Républicains 92 et le Président du Département dans le cadre des élections législatives» lit-on dans un communiqué commun entre les forces de l’accord, avec la liste des candidats dont les députés sortants LR et Renaissance sauf Jean Louis Bourlanges dans la 12éme à Clamart, le septuagénaire et unique candidat sortant du Mouvement démocrate (MoDem) qui avait confié sur France Inter qu’il ne briguerait pas sa succession. « J’avais de longue date décidé qu’en cas de dissolution de l’Assemblée nationale, je ne me représenterais pas». Jean Didier Berger (LR) maire de Clamart est le candidat de cet Arc Républicain.

    Le premier ministre a d’ailleurs  défendu ce «pacte de non-agression» en marge d’un déplacement à La Chapelle-sur-Erdre (Loire-Atlantique) ces jours-ci : «Il y a, au niveau local, des élus locaux qui se retrouvent», a-t-il déclaré, en revendiquant être soutenu «tout à la fois» par «des élus ou anciens élus de gauche socialiste» et «des élus ou anciens élus LR». Selon lui, «c'est aussi ce qui se passe dans beaucoup de territoires !».