Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 136

  • DANS LE CREUX DE L’OREILLE DE VANVES

    FOOTBALL :  L'équipe seniors s'est qualifiée pour le 4° tour de la coupe de France dimanche dernier. «  Ce fut un match compliqué, contre une équipe inférieure ( Croissy s/seine ) : 0/0 à la fin du temps réglementaire, 1/1 après prolongation puis séance des tirs aux buts 7 pénaltys à 6 » indique Jean Vignal, président de la section football du stade de Vanves. Prochain tour : entrée en lice des clubs du championnat de France, avec dotation de maillots des sponsors  de la Fédération Française de football. « Un Tour très attendu de la part des joueurs ».

    UDI : Une bonne partie des élus UDI avec des militants ont participé au grand rassemblement des Conquérants sur l’ile Saint Germain dimanche quii a pris un petit champêtre avec le beau temps ensoleillé et le pique-nique sur la grande pelouse. Ils étaient entre 2000 et 2500 selon Bernard Gauducheau maire de Vanves qui était présent, pour soutenir la candidature de Jean Christophe Lagarde à la présidence de l’UDI. Elle a bien sur pris un « air guerrier » quand il s’est agit pour ces centristes de  dénoncer «le retour d’Attila, de Nicolas Sarkozy qui va une nouvelle fois tout brûler sur son passage». Après son intention de regrouper au sein d’un nouvel UMP, gaullistes et centristes. Mais voilà Jean Christophe Lagarde ne l’entend pas ainsi en revendiquant « l’existence d’une famille centriste conquérante avec l’ambition de devenir le premier parti de France et le moteur de l’alternance sans être à la remorque du pouvoir. Le centre n’est pas un milieu, pas une synthèse, un entre-deux ou un non choix».

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    METROPOLE DU GRAND PARIS : Le maire de Vanves comme ceux de toutes les communes constituant le Grand Paris, ont siégé pour la seconde fois, hier matin, au Conseil des Elus de la Mission de Préfiguration du Grand Paris. Il leur fallait voter le réglement intérieur de cette instance pour lui permettre de fonctionnner avec une sorte d’exécutif qui sera constitué par un Comité de pilotage de 55 élus qui seront désignés le 30 Septembre prochain. Mais surtout choisir parmi trois options, le statut des futurs territoires de cette métropole, c'est-à-dire du devenir de ces communautés d’agglomérations comme GPSO qui sont des EPCI à fiscalité propre. Leur choix penche vers une « métropole syndicat » regroupant des Etablissements Publics Territoriaux (EPT), chacun disposant de ressources propres.  Il doit de nouveau se réunir le 30 Septembre prochain pour effectuer un choix définitif qui sera soumis au parlement pour réviser l’article 12 de la Loi MATPAM traitant du statut de ces territoires. Ce ne fut pas simple pour arriver là et à apaiser les débats, au cours de cet été,  entre les tenants d’une ligne dure après les municipales de Mars 2014 et  les autres plus consensuels :« La construction de la métropole doit se faire en dehors de toute problématique d’ordre politique. Tous les maires de gauche et de droite travaillent ensemble dans un esprit collectif qui s’appelle « métropole »  depuis 5 ans pour fixer une stratégie à long terme  et des objectifs » expliquait l’un d’entrer eux, ses derniers jours. « A partir du moment où l’on veut mettre en place une métropole, il faut qu’elle soit la meilleure possible pour la droite comme pour la gauche, afin que lorsque l’un ou l’autre arrive au pouvoir, il n’essaie pas de se venger, et de tout remettre en cause,  ce qui bloquerait le système » explique un autre membres du bureau de ParisMétropole particulièrement agacé par ces élus « qui agissent sûrement avec P.Devedjian, NKM, uniquement dans un esprit politicien, qui n’ont jamais travaillé sur le fonds, ni participé aux réunions ses deux derniers mois ».

     

    Jean Christophe Lagarde : La plupart de la section UDI de Vanves conduite par Bernard Gauducheau et Pascal Vertanassian devrait être présent au « grand rassemblement des conquérants » prévu à Issy les Moulineaux sur l’Ile Saint Germain à partir de 10H dimanche. Puisque les élus et les militants de l’UDI vanvéenne ont choisi de soutenir Jean Christophe Lagarde député maire de Drancy (93) dans la course à la présidence de cette formation politique depuis le retrait ( ?) politique de Jean Louis Borloo. Ce qui explique que le Maire de Vanves ne sera pas présent à l’inauguration de la fête foraine dimanche matin, place de la République, remplacé par Françoise Saimpert et Daniel Barois, maires adjoints.  D’autant plus que le discours d’ouverture devrait être prononcé par André Santini, député maire d’Issy les Moulineaux, vers 10H Juste au moment de cette inauguration 

  • LA RENTREE POLITIQUE A VANVES : LE IN ET LE ON DE LA ROCHELLE

    « L’engouement pour cette Université d’été a été aussi important que long à venir, beaucoup de militants vanvéens ne s’étant décidé que sur le tard » constatait Remi Carton, jeune militant vanvéen socialiste qui revient sur  3 jours passés à la Rochelle, le week-end dernier avec Guillem Gervilla, Philippe Goavec, et les conseilles municipaux Cyril Le Goff, Valérie Mathey, Gabriel Attal. «  Presque pas d’ateliers pour faire le bilan des municipales et des européennes. Une Université d’été très marqué par la main de Camba avec beaucoup de prises de paroles de militants, une large représentation de toutes les sensibilités » ajoute t-il en ayant trouvée « l’ambiance animée dans tous les sens du terme, avec un foisonnement d’activités, et  beaucoup d’affrontements ».

    LE OFF

    « Pour le off, finie la multitude de petites réunions dans des petites salles : à l’Université avec les frondeurs ou au parc avec Le Foll, il fallait choisir ! Arnaud Montebourg est venu, mais il a fait le service minimum, ne se montrant pas plus que nécessaire. Pareil du reste pour Benoit Hamon » a-t-il constaté en considérant que « la barbe n’allait pas du tout à Jérôme Guedj, président du Conseil Général de l’Essonne et frondeur ex-député qui était aux premiers rangs  de la réunion de « Vive la Gauche » samedi matin où était présente non seulement la ministre Taubira, mais sûrement Valérie Mathey après ses déclarations à Libération. « La venue de Taubira à la réunion de « Vive la Gauche » (j’attends d’ailleurs toujours la création de « A mort la Gauche »…) est aussi puissante symboliquement que politiquement néfaste. Elle torpille Valls, mais à contretemps » commente ce jeune militant PS qui a fait un stage au printemps au sein du staff d’une sénateur PS de l’Essonne. « Chaque sensibilité a fait son grand raout. Les « socio-démocrates » avec Stéphane Le Foll (10 € l’entrée, une honte ! Seule réunion payante !), un peu à l’écart de l’espace Encan, l’aile gauche à l’Université de La Rochelle. Beaucoup de monde aux deux, beaucoup de provocs inutiles de la part des deux, qui amènent à l’impression, à la lecture du « retour micro » que constituent les médias, que le parti va exploser ». Enfin une info sur les nuits de la Rochelle : « Il faut, au moins une fois dans sa vie, voir Pascal Cherki (ex maire du 14éme arrondissement) se trémousser en boîte le samedi soir à La Rochelle. Quitte à se coucher à 5h du mat !». Et une autre qui l’a surprit au moment du petit-déjeuner,  samedi matin au saut du lit: « un député proche de Valls prend avec ses amis les paris sur l’espérance de vie du nouveau gouvernement avant la dissolution de l’Assemblée nationale et la démission du président de la République : 5 mois pour les pessimistes, 14 pour les optimistes ». Mais au fait, a t-il (Remi Carton) passé une nuit blanche ? Beaucoup, parmi ses camarades socialistes en doutent.

    PAS TOUT A FAIT LE IN

    Remi Carton a vraiment la dent dure contre les dissidents : « La présence et la prise de parole, à la plénière d’ouverture, de Jean-François Fountaine, maire de La Rochelle élu en dissidence contre la candidate investie par le Parti après des primaires ouvertes, est une honte ! Qui peut croire ce qu’on raconte, qui peut nous prendre au sérieux, si on invite nos dissidents exclus à venir crâner devant une salle de 4000 personnes ? Et on s’étonne encore d’avoir des élus socialistes qui cumulent ? Si tout ce qu’ils risquent en allant contre la volonté des militants, c’est ce genre « d’exclusion » et un grand public, je veux être et élu, et cumulard le plus vite possible ! » tonne t-il manifestement admiratif, mais sans trop,  de la ministre de l’Education Nationale : « Beaucoup d’applaudissements et d’hommages à Najat Vallaud-Belkacem. Presque trop : on avait le sentiment que l’instrumentalisation de la polémique initiée par la droite était trop systématique ». En tous les cas, beaucoup de rencontres et d’échanges dans et hors des réunions : « Les militants ont clairement besoin de parler et d’échanger entre eux ». Par contre, l’idée d’Etats Généraux des Socialistes, ne trouve pas grâce à ses yeux : «  C’est de la douce rigolade. On a moins de 3 mois pour contribuer, et dans 6 mois, un comité composé de représentants des motions dealera comme un tapis marocain le texte d’une énième charte non contraignante annexée aux statuts et ignorée des adhérents ».

    ENFIN PRESQUE

     « Je suis en formation élu. On était 50 inscrits lundi, 40 présents mardi. Depuis vendredi midi (début de l’Université d’été), on est 3 » constatait un élu altoséquanais à ses côtés « A mon arrivée sur les lieux, première vision : Philippe Sarre et les MJS 92 (les « résistants ») au milieu d’une engueulade. Valls logeait au Mercure et devait aller à l’Encan, sur les lieux de l’Université d’été. Quelques élus vallsiens l’attendaient à mi-chemin (beaucoup d’autres devant l’hôtel). La meute des journalistes s’approchaient enfin… Pour repartir dans l’autre sens : finalement, Valls va d’abord faire un tour sur le port. Raté les amis ! » Mais le plus important restait dimanche : « Le discours du Premier Ministre a été très efficace, évitant avec art d’approfondir tous les sujets qui fâchent (entreprises, social-libéralisme, etc.). Il a joué sur un domaine sans risque : les valeurs de gauche, la République et la laïcité. A vaincre sans péril, on évite les ennuis. Et il  a été d’autant plus applaudi que les sifflets des militants de l’aile gauche ont poussé le reste de la salle à le soutenir face à un comportement jugé excessif. Et le pire, c’est que même si ce très bon discours ne règle rien, tout le monde a déjà oublié toutes les péripéties de ce week-end et ne se rappellera que de Valls à la tribune ».