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Immobilier - Page 5

  • TRANSACTIONS IMMOBILIERES A VANVES : CALME PLAT DANS UN MONDE AGITE

    Dans le même temps, il était intéressant de voir comment cela se passe sur le terrain où le magazine Capital notait « qu’il faut jusqu’à six mois de délai avant de pouvoir céder son bien à Issy-les-Moulineaux ou Vanves »  en faisant le point sur les ttransactions immobilières

     

    « Les acheteurs qui avaient déserté ces deux communes du sud-ouest parisien à partir du printemps 2012 ne sont toujours pas revenus. Résultat, une forte contraction des transactions (de l’ordre de 30%) au cours des douze derniers mois. La raison? Des tarifs jugés beaucoup trop élevés, sauf pour les petites surfaces de haut standing et en parfait état. Désormais, les acquéreurs ne sont plus disposés – alors que la demande est ­désormais inférieure à l’offre – à payer le même prix pour n’importe quel logement. D’où, globalement, un mètre carré qui commence à chuter, de 2 à 10% selon les cas, et des délais de vente qui se sont allongés, entre trois semaines pour le haut de gamme à plus de six mois pour le tout-venant. » Le problème est que beaucoup de propriétaires «continuent à surestimer leurs biens, ce qui durcit les négociations et retarde, voire annule, la vente», constate Bernard Séguy, de Sabine Immobilier. A une exception près – le mètre carré est 10% plus cher à Issy qu’à Vanves –, la situation est la même dans les deux villes : le marché ne semble pas près de repartir ! » indique Capital.

     

    C’est peut être la raison pour laquelle Parent immoblier a lancé un magazine depuis quinze jours sur ses deux communes : « Bien Vivre à Vanves et sa Région », journal de proximité et d’informations utiles ayant pour ambition de d’apporter une nouvelle approche du maché de l’immobilier et de son actualité. Dans son éditorial, Gilles Parent constate durant ce dernier trimestre 2013, « un recul des ventes de façon général et un ajustement des prix » dûs  principlement « aux nombreuses incertitudes pour les priopriétaires, acquéreurs et investisseurs ». Pour lui, « la situation est plutôt tendue, mais les conditions sont réunies pour qu’elle soit meilleure. Une amélioration des transactions est d’ailleurs survenue à la fin de l’été, grâce à une légére baisse des prix, un coût de crédit encore très abordable et l’assouplissement du régime d’imposition des plus value » indique t-il en se voulant optimiste : « En dépit de toutes les informations drainées dans la presse, globalement pessimiste, nous tenons à vous rassurer sur notre marché qi reste tout de mêrme très actif pour les biens de qualité ». Il indique d’ailleurs  que ses agences réalisent depuis plus de 3 mois, 15 à 20 transactions par mois.

  • UN NOUVEAU PROJET IMMOBILIER A VANVES RUE DE CHATILLON AVEC ARCHIMAT

     L’un des pavilllons emblématiques de la rue de Châillon va disparaître, propriété de la famille Guibal qu’elle partageait avec la famille Latapie, où beaucoup de jeunes, aujourd’hui adultes,  se retrouvaient pour des parties mémorables de barbeccue. 900 m2 vendu 1,2 M€, ce qui est peu, vu le prix du métre carré à Vanves, pour deux petits immmeubles constitué de maisons imbriqués qui ont inquiété quelque peu le voisinage surtout des passages Villa Eugénie et Franco-Russe. Ce projet est à classer dans les logements diffus (84) prévus dans le PLH (Plan local de l’Habitat de GPSO pour 2013-18, pour Vanves.

     

    Certains de ses voisins étaient présents à la réunion publique du 21 Février dernier où le maire a présenté ce projet en présence de Frank Le Reziec FG FDI qui construit un immmeuble à côté de l’ex-DDE et Nicolas Rosier du Cabinet d’architecte Archimat  dont le siége est installé à Vanves, rue Jean, Bleuzen. « Les enfants ont souhaité vendre leur propriété. Le permis de construire a été déposé. L’idée est que tout le monde soit content. La ville pose des régles (inscrites dans le PLU). Les gens vendent, d’autres achétent…sans que la ville intervienne. Nous essayons d’encadrer les choses pour rechercher la cohérence avec le PLU. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour garder et présever les caractéristiques de Vanves. Une ville de la petite couronne, riveraine de Paris, qui est au centre du Grand Paris » a expliqué Bernard Gauducheau (UDI), maire, en ajoutant : « Beaucoup de familles viennent s’installer là, avec une piéce de plus (qu’à Paris) et tous les avantages de la capitale ». Le cabinet d’architecte Archima a présenté son projet qui s’inscrit sur une parcelle assez profonde et large  de 900 m2. Il prévoit des pavillons alignés et  imbriqués en façades (R+2)  et un plus grand bâtiment derrière (R+3), avec un parking souterrain de 20 places en rez-de-chaussée, car l’architecte a joué sur les niveaux. Ses bâtiments en pierre de taille jusqu’au toît qui jouent sur les volumes comporteront des logements de 2 à 3 piéces, 6 par niveau à peu prés, soit 1345 m2 de surface construite avec 800 m de parkings.  

  • LOGEMENTS ET CONSTRUCTIONS A VANVES : Laisser le temps au temps !

    Contrairement à ce que certains disent en ville, on construit et on équipe à Vanves : Un conservatoire dont le chantier a pris du retard qui a fait l’objet d’une réunion publique à l’école J.Cabourg sur lequel Le Blog reviendra. Il a d’ailleurs été confié à la même entreprise qui a réalisé les écoles et les équipements de l’îlot Cabourg. Hachette  est passé à la phase du gros œuvre avec l’arrivée des grues au milieu de Janvier, et les projets immobiliers autour de la rue Aristide Briand dont les chantiers sont entrés dans la phase active. Notamment  le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts – qui est en cours de démolition avec déjà quelques incidents graves puisque des parpaings ont atterris dans des propriétés voisines en détériorant certains pavillons dont celui d’un célébre architecte de Vanves. D’après les proches riverains, l’entreprise de démolition n’en fait qu’à sa tête et ne veut rien entendre, arguant que c’est un terrain privé.

     

    Le Conseil municipal du 6 Février dernier a d’ailleurs donné son aval à la proposition de la société OSICA de prendre en  location pour une durée de 55 ans, le petit immeuble situé à l’angle de l’avenue de Verdun et de la rue Jean Bleuzen afin d’y réaliser 6 logements sociaux après sa réhablitation, la ville conservant l’espace vert public aménagé sur le terrain voisin côté avenue de Verdun.  Ce bâtiment  actuellement muré pour éviter d’être squatté, est composé d’un rez-de-chaussée, de 2 étages et un sous sol, avec 5 logements. Cette société devrait ravaler l’immeuble avec remplacement des menuiseries extérieurs, et assurer une réfection complète de l’intérieur avec un aménagement de la petite courette à l’arrière. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé s’il était prévu « un logement d’urgence puisqu’on n’en a pas à Vanves ». Bernard Gauducheau maire (UDI) l’a rassuré : « Il est prévu dans le bal qu’il y ait un tel logement. Mais pour l’instant, OSCICA va utiliserr cet immeuble pour faire une opération tiroir avec la résidence des 34-38 rue Jean Bleuzen en cours de réhablitation, et dont les logements  pourraient être utilisé pour le relogement provisoire des occupants de cette résidence pendant les travaux »

     

    Il a fait deux demandes de subventions : Tout d’abord au Sipperec pour l’aménagement d’un acceuil petit enfance de 10 berceaux situé au 1 rue de Châtillon, suite au don de la famille Magne. D’autant plus que le programme de travaux prévoit une amélioration de la performance énergétique du bâtiment cpmprenant une isolation des murs et plafond, la mise en place de double vitrage et l’utilisation de matériel performant pour l’éclairage. Ensuite au Conseil Régional, pour les audits énérgétiques préalables aux travaux de rénovation des bâtiments comunaux. Il s’agit d’identifier les solutions qui permettront d’améliorer leurs performances énergétiques et intégrées.

    Enfin, le conseil municipal a renouvelé sa vente par adjudication d’un petit terrain de 75 m2 de forme trapézoïdale rue Gabrielle d’Estrée lui appartenant, tout simplement parce que la première décidée le 29 Mars 2011 n’avait pas pu se faire, et qu’entretemps les régles d’urbanisme avaient changée ainsi que l’évaluation du prix de ce bien  passée de 83 00 à 225 000 €. Un immeuble collectif R+4 de 3 logements développant 216,01 m2 de surface de plancher avec une façade sur rue de 16 m pourrait ainsi être construit, mais sans parking impossible à réaliser vu la forme et la déclinivité du terrain