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  • LEGISLATIVES A VANVES : JEREMY COSTE PREND L’ENGAGEMENT DE DEFENDRE LES REUSSISTES DE CE TERRITOIRE D’EXCELLENCE

    «  La pluie n’est pas notre alliée » comme l’a reconnu Erwan Martin, jeune élu (UDI) de Vanves, en ouvrant cette réunion publique du candidat Jeremy Coste et en retrouvant ce rôle d’animateur, avec Sabine, qu’il avait assumé lors de la campagne des élections municipales en 2014. Et cette « salle mythique » du préau de l’école Marceau, « pour la majorité municipale qui a l’habitide de s’y réunir dans le cadre de ses campagnes » comme l’a rappelé Bernard Gauducheau (UDI) au jeudi soir, devant Isabelle Debré (LR) et  Roger Karoutchi (LR), André Santini (UDI) et Vincent Blayac, président des jeunes UDI 92, alors qu’il tombait des cordes dehors. Ce qui explique peut être une faible participation, moins d’une centaine de vanvéens, mais beaucoup d’élus UDI de Vanves et d’Issy, LR de Vanves uniquement.

    Bernard Gauducheau, maire de Vanves  a ironisé sur « cette époque de jeunisme forcé », «  pleine de promesse » - « on reviendra rapidement à la réalité » - et ses 13 candidats  dans la 10éme circonscription – « ça a l’air tout et n’importe quoi ! » - « alors qu’il nous faut des représentants qui connaissent bien la vie politique ». Pour Isabelle Debré « dans la vie politique ce qui nous éloigne est moins important que ce qui nous rapproche » a-t-elle expliqué en ajoutant cette phrase pleine de sous entendu « je compte sur ta loyauté pour Vanves, et pour l’avenir » à l’adresse de J.Coste… et des autres UDI.  Roger Karoutchi a quand même reconnu  « qu’on n’est pas dans la situation la plus favorable » mais « qu’UDI et LR vont tout faire pour lui donner 20 ministres de droite » à Macron, en s’en prenant aux trois républicains qui ont rejoint Macron dont « Bruno Le Maire qui a défendu la réduction de la CSG, de l’ISG et qui va faire tout le contraire puisque le nouveau président veut l’augmenter ». André Santini a expliqué pourquoi il avait choisi sa ville plutôt que l’assemblée Nationale, car il a encore de grands projets à réaliser, dont il a parlé. « C’est pourquoi, il ne faut pas perdre la circonscription ! »

    Jeremy Coste a reconnu que ce « ticket UDI » a chagriné des Républicains (LR). « Mais c’est la droite humaniste et républicaine. Cette candidature est le fruit d’un parcours » qu’il a rappelé et qui l’a amené  sur « ce territoire d’excellence où les gens apprécient de s’installer et cette qualité de vie ». Il s’est engagé à « défendre ce qui est bien sur ce territoire, ces réussites, tout cet héritage  » face à des candidats « qui ne connaissent pas le fonctionnement de nos collectivités et de l’Assemblée Nationale ». Et il le fera à travers un programme qui devrait être distribué ses prochains jours, et plusieurs chantiers qu’il a commencé à dévoiler à l’occasion de cette réunion publique : La démocratie participative de proximité en associant les habitants à la décision politique à travers un conseil de la circonscription constitué d’élus de quartiers et de citoyens tirés au sort qui se réunirait tous les mois. La défense du bien être au travail en lançant une expérimentation  avec un barométre car il est essentiel de se battre pour être considéré dans son travail. Les collectivités en proposant un contrat d’engagement mutuel entre l’Etat et les communes, en leur donnant plus de pouvoirs de proximité. Mais il a bien d’autres idées en tête concernant la famille, l’éducation, l’écologie et l’outre-mer grâce à laquelle on défend la francophonie dans le monde

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    SOPHIE CLUZZEL, UNE VANVEENNE MILITANTE DEVENUE MINISTRE 

    Le blog de Vanves au Quotidien en annonçant hier que la nouvelle secrétaire d’Etat chargé des personnes handicapées est une vanvéenne et une  militante, avait rappelé que son combat avait commencé à Vanves,  en créant avec d’autres parents d’élèves  l’association « Grandir à l’école » pour favoriser la scolarisation des enfants trisomiques,  puis le collectif d’associations « SAIS 92 » (service d’accompagnement et d’information pour la scolarisation des enfants handicapés)  qui milite pour le soutien et l’accompagnement à l’intégration scolaire grâce à des auxiliaires de vie scolaire (AVS). « L’essentiel est de favoriser la scolarisation jusqu’à l’insertion professionnelle dans le respect, bien sûr, du développement individuel de l’enfant » expliquait  alors cette mére de famille. Elle préside depuis 2011 la Fédération nationale des associations au service des élèves présentant une situation de handicap. Elle s’est fait connaître en 2012 en organisant le premier Grenelle de l’intégration des jeunes handicapés dans la société, avec une cinquantaine d’associations. Pour elle, l’équipe d’Emmanuel Macron avait saisi l’enjeu actuel, celui d’avancer dans la scolarisation en « milieu ordinaire » : « La solution n’est plus hors des murs de l’école. Elle est dans les murs de l’école. Pour nous les familles, et je pense qu’Emmanuel Macron a compris cela, la solution est dans la formation,  dans l’accompagnement des enseignants, dans le travail sur l’environnement pour que l’on change ce regard et que cette scolarisation devienne vraiment effective. » expliquait elle sur France Culture lors de la campagne  

    TOUR TRIANGLE : PERMIS DE CONSTRUIRE VALIDE ET SIGNE

    Le site Valgirardin a annoncé que la maire de Paris a accordé le permis de construire à la tour triangle le 10 Mai dernier,  la demande de permis de construire ayant  été validée le 28 avril dernier.  La Tour s’élèvera sur 43 étages et accueillera plus de 78 000 m2 de bureaux, un hôtel, des commerces et des équipements publics, un  parking souterrain de 251 places de stationnement. La tour Triangle s’inscrit dans le projet global de restructuration en cours du parc des expositions, même si ce dossier est traité séparément. Elle sera située le long de l’actuel Pavillon 1, rue Ernest Renan.Les opposants à la Tour, dont le collectif d’associations  ont désormais deux mois pour contester ce permis de construire, ce qu’ils ne manqueront pas de faire

    LA NAVETTE MUNICIPALE PEUT ETRE SAUVEE ?

    Depuis qu’elle est payante, la navette municipale n’est plus du tout fréquentée, surtout par les aînés et les seniors vanvéens qui ont été habitués à sa gratuité depuis 30 ans. Le prix d’un ticket de métro revient très cher pour une petite distance pour des vanvéens qui ont une petite retraite. La municipalité aurait trouvée une solution pour éviter de la supprimer : instaurer une carte de réduction pour les retraités, selon quelques sources bien informées

    STADE DE VANVES C/ TAVERNY : 3 A 1

    « Une première victoire sur les trois matches pour terminer cette saison où nous avons besoin de faire le plein de points afin de " rêver " encore au maintien, même si nous ne sommes plus maître de la situation. En effet 5 clubs sont concernés mathématiquement pour rester en Ligue Paris IDF avec des confrontations directes dès dimanche pour Vanves à Franconville. A condition de l'emporter ceweek-end,  la dernière journée sera déterminante.Nous recevrons Gennevilliers, Malakoff va au Racing » indique Jean Claude Vignal après le match de dimanche dernier.Classements des cinq derniers: Vanves 35 pts, Malakoff 38 pts, Racing 38 pts, Franconville 40 pts, Taverny 41 pts…Sachant qu'une victoire c'est 4 pts, un nul 2 pts, une défaite 1 point.

  • AVEC AUDIENS A VANVES, UN PETIT GOUT DE CANNES FRANCILIEN

    L’ouverture du festival de Cannes hier,  qui passe presque inaperçu ses jours-ci à cause de l’investiture du nouveau chef de l’Etat, de la nomination du premier ministre et du gouvernement, de la campagne législative, est l’occasion de rappeler le rôle d’une entreprise située à Vanves dans l’îlot du métro : Audiens. Tout simplement parce qu’un rendez-vous annuel traditionnel régional s’est déroulé voilà  presque un mois : La présentation avec la  Commission du Film de la Région Ile de France de  l’étude de l’observatoire de la production audiovisuelle  et cinématographique effectué chaque année. Cette étude est réalisée depuis 12 ans grâce à données issues de la base statistique d’Audiens qui  « concrétise son rôle d’opérateur de référence en matière d’expertise sociale, au service des professions qu’il protège. Nous sommes plus que jamais aux côtés de ceux qui font rayonner la création française » expliquait  Patrick Bézier, son Directeur général

    Cette étude indique que l’IDF compte 5100 entreprises dans ce secteur, dont 1800 spécialisées dans la production de films et de programmes pour la TV, 1240 dans la production de films institutionnels et publicitaires, 1500 dans la production cinématographiques, 540 dans la post-production. 109 000 intermittents soit 16 800 emplois à temps plein (ETP) et 13 400 salariés en CDI, soit 10 800 EPT sont employés par ses entreprises dont 41% utilisent uniquement des intermittents, 20% au moins 1 ETP, 16% 1 à 2 ETP, 1% 50 ETP et plus. Ce qui représente une masse salariale de 910 M€ pour les intermittents et de 539 M€ pour les CDI.

     2015 marque le retour de la croissance de l’emploi qui s’installe durablement en Région parisienne dans ce secteur innovant et dynamique. Elle est principalement dû à la reprise des investissements dans le cinéma français (+ 28 %) et à la relocalisation significative des tournages de films français (+7%) et de la production audiovisuelle (+30% des semaines de tournage), notamment pour les productions à gros budget supérieur à 10 M€  (« Chocolat » de Roschdy Zem, « Au revoir là haut » d’Albert Dupontel ; « Le petit spirou » de Nicolas Bay »), avec la production hors norme de Luc Besson « Valérian et la cité des Milles Planétes » avec 75 M€ de dépenses, 100 jours de tournages et 450 emplois.L’effet conjugué du crédit d’impôt et du fonds de soutien de la Région Ile de France se font sentir , même si le taux de délocalisation reste important pour les tournages français (36 % de la production).

    L’autre effet qui se fait sentir, est le retour des  productions étrangères multipliées par 3 grâce au passage de 20 à 30 % du crédit d’impôt international (environ 150 M€) ; et  des tournages étrangers en IDF : « Befikre » d’Aditya Chopra avec 6 M€ de dépenses en France pour 55 jours de tournage ; « 50 Shades Freed » de James Foley dont l’équipe s’est installée quelques jours en Juillet 2016 à l’opéra Garnier et au Louve ; «Jackie » de Pablo Larrain tourné en grande partie dans les studios de Paris de la cité du Cinéma et dont les effets visuels ont été fabriqués par la société Digital District. Le meilleur exemple n’est il pas les 35 jours du tournage du Mission Impossible 6 qui a engendré plus de 35 M€ de dépenses et l’embauche de 300 techniciens français. Ainsi la ville de Paris a annoncé une hausse de 15% des tournages pour le premier trimestre 2017 après une année 2016 déjà florissante (+30%  par rapport à 2015)

    Enfin, l’animation française poursuit son développement grâce notamment à l’accueil de productions internationales entièrement fabriquées en le de France. Au-delà de l’exemple bien connu de Illumination Mac Guff, qui continue à voir croître le nombre de ses effectifs, d’autres sociétés comme Mikros Image, Cube Creative ou TeamTO fabriquent régulièrement des productions d’animation pour le compte de donneurs d’ordre étrangers. La hausse de la production de séries TV n’est pas non plus étrangère à cette dynamique de croissance avec le tournage sur le territoire francilien de séries ambitieuses (« Le Bureau des Légendes » et « Versailles ») dont la récurrence a permis de renforcer l’activité des plateaux de tournage.