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andré santini (udi)

  • Le projet d’école hoteliére Ferrandi vicime collatérale de la gueguerre politicienne entre le député LREM et l’ex-député UDI de Vanves

    Le magnifique projet d’une école hôtelière Ferrandi de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Ile de France, dans l’ex-maison de retraites pour prêtres, La Solitude (sur la photo) qui se trouve, pas loin de Vanves, dans le périmètre du séminaire Saint Sulpice, à côté de l’église Saint Etienne et de l’hôpital Suisse, à Issy les Moulineaux  pourrait être abandonné. Tout simplement parce qu’elle pourrait être la victime collatérale de la guéguerre politicienne entre Gabriel Attal député LREM  et André Santini, ex-député UDI de cette 11éme circonscription des Hauts de Seine qui n’a pas apprécié qu’il batte son poulain aux législatives de Juin 2017. 

    Tout le monde sait dans la 11éme circonscription des Hauts de Seine qu’il lui méne la vie dure depuis plus d’un an l’empêchant d’ouvrir une permanence dans sa ville, oubliant de l’inviter aux inaugurations, avançant l’heure des cérémonies patriotiques à la dernière minute, menaçant les associations qui l’invitent ,de couper leurs vivres financières etc…. mais là, le maire d’Issy les Moulineaux  a pris pour prétexte que le député LREM  a été reçu, avant les vacances de l’été 2018,  par les dirigeants de la CCI de Paris IDF à l’école Ferrandi, rue de Vaugirard, qui forment cuisiniers, maitres d’hôtels, avec des collègues franciliens, où, entre autre,  ce projet d’école hôtelière lui a été présenté. Ce que le maire d’Issy les Moulineaux n’a pas du tout apprécié. Du coup, il aurait fait comprendre aux dirigeants de la CCI Paris IDF que ce projet n’était plus d’actualité tout en gardant bien sûr le projet d’hôtel du groupe Accor qui sera construit.

    Ceux-ci veulent croire qu’il est embourbé pour l’instant, considérant qu’ils n’ont pas à entrer dans ce conflit car «il semble qu’ils ne s’entendent pas !». Occasion de rappeler que la CCI Paris IDF est apolitique, qu’elle parle et travaille avec tout le monde. «C’est dommage car on a travaillé 18 mois sur ce projet. Il permettrait d’avoir un hôtel d’application comme nous avons un restaurant d’application à Ferrandi, au lieu d’envoyer les apprentis dans différentes structures hôteliéres». Ce projet aurait permis à Issy les Moulineaux comme à la Région Ile de France de se doter l’une des meilleures écoles de gastronomie, d'accueilli une grande école d'application dans un secteur fortement créateur d'emplois, couplé à une infrastructure hôtelière haut de gamme, d'accueillir un restaurant gastronomique Ferrandi dans cet hôtel.

    A un moment où comme le montre la dernière enquête annuelle de conjoncture de cette chambre consulaire, la dynamique du tourisme impacte le secteur cafés-hôtels-restaurants, qui connait globalement une hausse d’activité, grâce au tourisme qui est reparti, mais souffre malheureusement des problèmes de recrutement. Alors que les jeunes montrent une plus grande appétence à l’apprentissage qui assure un emploi à la sortie des centres de formations

  • CARNETS DE CAMPAGNE A VANVES : LE TEMPS DES EXPLICATIONS à J - 4

    Ce soir, c’est le temps des explications pour tout au moins deux des protagonistes de ce 1er tour dont l’un se retrouve face à Gabriel Attal (REM) et l’autre a été battu : Jeremy Coste (UDI) organise à 20H un « apéritif citoyen » à la permanence où il  présentera sa  démarche aux medias, aux supporters, aux militants, aux électeurs présents après avoir envoyé un courrier à chaque élu LR et UDI de la circonscription. Thomas Puijalon (PS) donne rendez-vous à 21H à la permanence PS d’Issy les Moulineaux  pour poser collectivement des mots sur cette élection, cette période et les moyens de se refonder (réunion ouverte aux militants, sympathisants et surtout aux citoyens) « parce que nous ne renonçons pas, parce que le socialisme a été l’instigateur des plus grandes avancées sociales depuis plus d’un siècle et continuera de l’être (après une forte redéfinition), parce que je crois fermement à cette méthode fondée sur l’intelligence collective »

    Il est vrai que cette décision de quitter le terrain de la campagne électorale par Jeremy Coste et André Santini, mais pas de se retirer, a fait le buzz : « Les citoyens pourront ainsi voir à quoi ressemblera la vie démocratique française dominée par un parti unique : un seul candidat sur le terrain, une seule couleur, une seule idée, une seule voix »expliquent ils en constatant  que les citoyens qui se sont exprimés ont accordé un faible nombre de voix, en valeur absolue, au parti présidentiel. Et lors qu’il recueille moins de voix que les partis présidentiels en 2007 et même en 2012, La République En Marche est en passe de truster près de 78 % des sièges à l’Assemblée nationale ! » expliquent ils en reprenant l’argumentaire développé et les éléments de langage préparés par les instances dirigeantes UDI et LR  depuis Dimanche . « Dès le 18 juin, le débat, la contradiction, l’échange et l’esprit auront disparu pour 5 ans de l’Assemblée nationale. Les partis de coalition comme d’opposition ayant disparus, la démocratie ne pourra à s’exprimer qu’en dehors de l’enceinte du Parlement. C’est là l’opposé de la République à laquelle Jeremy Coste et moi sommes attachés ! » explique André Santini « Elu dimanche grâce au sursaut civique de nos compatriotes, je serai un député exigeant et je travaillerai dans un esprit constructif au succès des réformes du président de la République. Confiant et vigilant, ni godillot, ni béni-oui-oui, je voterai les lois qui feront progresser la France et qui serviront l’intérêt général » promet encore  Jeremy Coste sans trop y croire.  

    Pour Thomas Puijalon (PS), « le message du scrutin du 11 juin a été clair : avec un taux d’abstention record de 51,29% en France et de 47,8% sur la 10ème circonscription des Hauts-de-Seine, les Français ont signifié leur lassitude d’une vie politique de confiance trompée et d’illusions perdues. Ils ont aussi marqué nettement l’inadaptation de nos modes de scrutin, un mois après la présidentielle. L’adhésion à la politique gouvernementale est très minoritaire (11 Français sur 100), tout en ne souhaitant pas paralyser le quinquennat, par peur du chaos en 2022.Ce constat, nous le payons, durement, avec un recul historique de la Gauche et du Parti Socialiste en particulier. La claque reçue est forte. Elle symbolise la fin des partis traditionnels et le besoin de repenser la manière de faire de la politique. J’en prends acte ! ». Ce défi, grand, immense pour les prochaines années, il a commencé à s’en saisir lors de la campagne qu’il a mené en ayant mis la démocratie collaborative et les citoyens au cœur des actions et réflexions sur les enjeux majeurs du 21ème siècle, liés de la Révolution numérique. « J’appelle ainsi de tous mes vœux à une reconstruction d’une Gauche forte et unie.Pour la première fois depuis 1993, la Gauche sera absente du second tour sur notre circonscription, puisqu’il verra s’opposer deux candidats au positionnement très proche. Pas de Gauche. Seule diffère leur liberté de ton. Je reste fidèle à l’esprit et aux valeurs que j’ai défendus pendant ma campagne dans la méthode et le positionnement qui auraient été les miens, élu député : L’honnêteté et la loyauté de mon parcours politique. Je préfère les convictions claires aux arrangements. La défense du pluralisme politique nécessaire pour maintenir une démocratie. Député, j’aurais amendé, été force de proposition et porteur d’alternative chaque fois que la loi se fera contre les Français ou sans eux.La promotion de l’émancipation des individus par la culture, le travail, les relations humaines qui restent les fondamentaux de la République sociale ».

  • LEGISLATIVES A VANVES : JEREMY COSTE PREND L’ENGAGEMENT DE DEFENDRE LES REUSSISTES DE CE TERRITOIRE D’EXCELLENCE

    «  La pluie n’est pas notre alliée » comme l’a reconnu Erwan Martin, jeune élu (UDI) de Vanves, en ouvrant cette réunion publique du candidat Jeremy Coste et en retrouvant ce rôle d’animateur, avec Sabine, qu’il avait assumé lors de la campagne des élections municipales en 2014. Et cette « salle mythique » du préau de l’école Marceau, « pour la majorité municipale qui a l’habitide de s’y réunir dans le cadre de ses campagnes » comme l’a rappelé Bernard Gauducheau (UDI) au jeudi soir, devant Isabelle Debré (LR) et  Roger Karoutchi (LR), André Santini (UDI) et Vincent Blayac, président des jeunes UDI 92, alors qu’il tombait des cordes dehors. Ce qui explique peut être une faible participation, moins d’une centaine de vanvéens, mais beaucoup d’élus UDI de Vanves et d’Issy, LR de Vanves uniquement.

    Bernard Gauducheau, maire de Vanves  a ironisé sur « cette époque de jeunisme forcé », «  pleine de promesse » - « on reviendra rapidement à la réalité » - et ses 13 candidats  dans la 10éme circonscription – « ça a l’air tout et n’importe quoi ! » - « alors qu’il nous faut des représentants qui connaissent bien la vie politique ». Pour Isabelle Debré « dans la vie politique ce qui nous éloigne est moins important que ce qui nous rapproche » a-t-elle expliqué en ajoutant cette phrase pleine de sous entendu « je compte sur ta loyauté pour Vanves, et pour l’avenir » à l’adresse de J.Coste… et des autres UDI.  Roger Karoutchi a quand même reconnu  « qu’on n’est pas dans la situation la plus favorable » mais « qu’UDI et LR vont tout faire pour lui donner 20 ministres de droite » à Macron, en s’en prenant aux trois républicains qui ont rejoint Macron dont « Bruno Le Maire qui a défendu la réduction de la CSG, de l’ISG et qui va faire tout le contraire puisque le nouveau président veut l’augmenter ». André Santini a expliqué pourquoi il avait choisi sa ville plutôt que l’assemblée Nationale, car il a encore de grands projets à réaliser, dont il a parlé. « C’est pourquoi, il ne faut pas perdre la circonscription ! »

    Jeremy Coste a reconnu que ce « ticket UDI » a chagriné des Républicains (LR). « Mais c’est la droite humaniste et républicaine. Cette candidature est le fruit d’un parcours » qu’il a rappelé et qui l’a amené  sur « ce territoire d’excellence où les gens apprécient de s’installer et cette qualité de vie ». Il s’est engagé à « défendre ce qui est bien sur ce territoire, ces réussites, tout cet héritage  » face à des candidats « qui ne connaissent pas le fonctionnement de nos collectivités et de l’Assemblée Nationale ». Et il le fera à travers un programme qui devrait être distribué ses prochains jours, et plusieurs chantiers qu’il a commencé à dévoiler à l’occasion de cette réunion publique : La démocratie participative de proximité en associant les habitants à la décision politique à travers un conseil de la circonscription constitué d’élus de quartiers et de citoyens tirés au sort qui se réunirait tous les mois. La défense du bien être au travail en lançant une expérimentation  avec un barométre car il est essentiel de se battre pour être considéré dans son travail. Les collectivités en proposant un contrat d’engagement mutuel entre l’Etat et les communes, en leur donnant plus de pouvoirs de proximité. Mais il a bien d’autres idées en tête concernant la famille, l’éducation, l’écologie et l’outre-mer grâce à laquelle on défend la francophonie dans le monde