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  • VANVES LANCE « ECO VOISIN » AVEC VOISINS SOLIDAIRES

    En parallèle de la semaine du développement durable la seconde action de  «Voisins Solidaires» de la Ville Vanves a été concrétisée hier soir par le lancement officiel du kit de «l’éco-voisin» à l’hôtel de ville en présence de Bernard Gauducheau, Françoise Saimpert, maire adjointe chargé notamment de cette action, Atanase Périfan, créateur de la Fête des Voisins et de Voisins Solidaires. Ce kit doit permettre aux vanvéens de devenir des voisins référents/conseillers en termes de tri sélectif.

     

    Cette nouvelle opération qui suit « Noël Solidaire », « Numérique Solidaire » intervient à un moment où l’Observatoire des Déchets d’Ile de France indiquait que le niveau de collecte des déchets ménagers et assimilés collectés par habitant avait baissé de 507 kg à 475 kg entre 2002 et 2009. Grâce peut être à cette collecte sélective, à la sensibilisation des citoyens aux questions d’environnement, à la diminution du poids des emballages. L’un des responsables d’Eco-Enmballages, Jean Deville a expliqué que l’objectif est d’atteindre 75% d’emballages ménagers recyclés d’ici 2015.

    C’est pourquoi Voisins Solidaires a lancée à l’occasion des Assises des Maires d’Ile de France qui se déroulent depuis Mardi dernier jusqu’à aujourd’hui cette opération « Eco-Voisins ». L’objectif consiste « à sensibiliser son voisinage à l’importance du tri des emballages, apprendre ensemble les bonnes pratiques, apporter des réponses aux incertitudes et renforcer le lien social » selon ses instigateurs qui avancent un chiffre : 87% des français placent le tri et le recyclage en tête des gestes qu’ils sont prêts à accomplir pour la protection de l’environnement.

     

    Mais voilà, beaucoup de citoyens ne savent pas trop quoi et comment trier. « Qui ne s’est pas demandé s’il faut trier ou non sa barquette plastique, s’il faut laver ses emballages vides avant de les trier ou même si les emballages triés ont une seconde vie … ? ». D’où l’idée de lancer « Eco-Voisins » avec des  bénévoles recrutés et formés pour informer leurs voisins d’immeubles dans une ambiance conviviale. D’où la création de ce kit de «l’éco-voisin », distribués à ces vanvéens venus nombreux hier soir, prêt à  de devenir des voisins référents/conseillers en termes de tri sélectif. Il comprend un guide pratique, une affiche à mettre dans l’immeuble, un tract à distribuer dans les boites aux lettres, des magnets ingénieux « à trier ou à jeter » à apposer sur son frigo, une BD pédagogique « le recyclage, tout le monde s’y met » de Frank Margerin présent à ce lancement qui a avoué avoir découvert cette problématique à cette occasion.

     

    Les quelques questions posées à cette occasion, ont permis d’éclairer les participants sur les enjeux : « Qu’est-ce que devient un bac jaune mal trié ? » - « Il ne doit pas aller dans un camion de collecte sélective. Car si un camion a un contenu mal trié, il est refusé dans le centre de tri du Syctom. Cela redevient des ordures ménagères » a répondu le responsable d’Eco Emballage qui a incité les vanvéens, en cas de doute, « à mettre leurs déchets dans la poubelle grise, quite ensuite à apprendre à mieux trier. C’est une affaire de tout le monde car chacun a sa part de responsabilité ». Un autre a demandé « pourquoi il n’y avait de bacs pour les verres ? » - « Certaines villes comme Vanves et les communes de GPSO jouent sur l’apport volontaire (dans les bacs installés et enterrés dans les rues de la commune) » a répondu le maire en posant la question de savoir « si les vanvéens étaient prêt à le faire pour l’ensemble des déchets. Ce qui éviterait aux bennes à ordure de circuler dans nos rues ».

    Enfin Claire Papy, élu EELV, s’est demandée « s’il ne fallait pas mettre en cohérence toutes ces initiatives de GPSO, de Voisins Solidaires… » - « Des choses se mettent en place. C’est une question de pédagogie, de prise de conscience qui est mis en avant. Plus il y aura des initiatives, plus elles se rejoindront à un certain moment » a répondu Bernard Gauducheau qui a précisé que « GPSO a largement contribué à développé la collecte sélective avec la déchetterie mobile, et bientôt une déchetterie fixe à Meudon ».

  • LE MAIRE DE VANVES AU SALON DE LA NOUVELLE VILLE ET AUX XVéme ASSISES DE L’AMIF

    Logement, transports, péréquation ont été les dominantes de cette première journée des XVéme Assises de l’AMIF (Association des Maires d’Ile de France) auquel a longuement participé Bernard Gauducheau, maire de Vanves. Arrivée à 8H30, il a tout d’abord participé au bureau de Paris Métropole, syndicat d’études, puis visité le salon de la Nouvelle Ville auxquels participent de nombreux syndicats intercommunaux, grandes et petites entreprises qui sont en lien avec les communes dans de très nombreux domaines. Il préfére ce salon à celui du Congrés de l’AMF,  car il est à dimension humaine avec les interlocuteurs franciliens de ses intervenants auprès des collectivités locales. Il a ainsi rencontré Alain Madelin sur le stand de l’Office départemental d’HLM, salué les responsables d’Avenance, de la Sablière etc….

     

    Le maire de Vanves a ensuite participé à l’inauguration de ces XVéme Assises avec de nombreux et longs discours du représentant du maire de Paris (Pierre Mansat), des président du CESR (Jean Claude Boucherat), de l’AMF (Jacques Pélissard, de la Région (JP Huchon) qui a salué sa présence, et des ministres Philippe Richer (Collectivités locales), et Valérie Pécresse (Université). « C’est sans doute un grand moment de respiration républicaine parce que nous sommes souvent dans le contexte de la confrontation des idées. Et nous sortons à peine des élections cantonales. Nous allons retrouver aux Assises de la Ville l’ensemble des élus franciliens de droite, du centre, de gauche, tous réunis autour des préoccupations des maires de toutes tendances politiques. C’est un moment de dialogue apaisé puisqu’à l’AMIF nous avons pris l’habitude d’aborder les grands sujets dans une attitude de dialogue très respectueux des différences des uns et des autres » a déclaré Michel Teulet, président de l’AMIF.

     

    Après un déjeuner rapide pris avec l’ensemble de ses collègues, il a participé au premier atelier de ces Assises consacré au Grand Paris avec le Secrétaire d’Etat Benoit Apparu (Logement), André Santini (Société du Grand Paris), Jean Paul Huchon, le préfet de Région Daniel Canépa… qui a réuni beaucoup d’élus qui ont débattu du logement et des transports bien sûr. Benoit Apparu a indiqué que l’Ile de France devait passer à un rythme de construction de 70 000 logements par an au lieu de 40/45 000 actuellement. Ce qui va représenter un effort important sachant que 80 % des permis de construire concernent seulement 20% des communes franciliennes. Ce qui veut dire que 80% des maires ne produisent pas de logements, cause d’une ségrégation sociale importante. Sans compter les terrains constructibles qui représenteraient 20 000 ha avec les délaissés routiers (5000 ha), ou en bord de fleuves (5000 ha). Le ministre a commencé à parler des mesures qu’il devrait bientôt présenter. Le président de Région lui a répondu en proposant des mesures simples à mettre en place : maîtriser le foncier avec l’Etablissement Public Foncier Régional, signer  un pacte régional avec les maires bâtisseurs et créer un Syndicat du Logement en Ile de France pour mettre en commun tous les efforts des acteurs franciliens dans ce domaine.

     

    Il a été ensuite beaucoup questions de transports avec le résultat des deux débats publics sur Arc Express et le réseau de transport public du Grand Paris, et surtout des gares du futur réseau Grand Paris Express auxquels ont abouti ses deux consultations avalisées par le protocole Etat-Région qualifié d’historique par JP Huchon. « Ce sera la dernière grande idée de notre génération qui a inventé le RER après que nos grands parents aient inventés le métro. Si nous n’y arrivons pas, on ne le fera jamais » a expliqué André Santini, président du Conseil de Surveillance de la Société du Grand Paris en constatant que « tout le monde réclame sa gare. On en a prévu 44, avec 18 gares optionnelles ». Sachant que le coût d’une gare se monte à 80 M€. Et la Commission  Nationale du  Débat Public dans ses conclusions a souhaité que les gares optionnelles deviennent opérationnelles. La liste définitive des gares retenues devrait être connu juste avant les vacances d’été. D’ici là, André Santini et son équipe vont être très sollicitée comme le ministre du Grand Paris (Maurice Leroy).  

  • LE CINE IMAGE VANVES SELECTIONNE AU FESTIVAL…DE LA FEDERATION CINE VIDEO DE BOURGES

    Le saut du Gaul,de Josette Bardy qui avait été présenté lors d’une projection publique du CIV le 4 février dernier avec des films de ses adhérents, en hommage à Gérard Bost, a été retenu ce week-end  pour concourir aux Rencontres Nationales de la Fédération Ciné-Vidéo à Bourges, fin septembre 2011.

     

    Grâce à un irréductible groupe d’amateurs d’images, le CIV (Ciné Image Vanves) présentait 3 films aux rencontres régionales (franciliennes) organisé les 2 et 3 Avril par  le club A.V.M. Vaivresson-Marnes La Coquette avec 42 autres courts métrages réalisés par des cinéastes non professionnels des clubs de la Région Ile-de-France. « Monastères des cimes » de Dinah et Jean Roquefort, qui a obtenu un 3ème Prix et sera conservé à la B.N.F. ; « Poussière de rêve », de Gérard et Nicole Bost, qui a également obtenu un 3ème Prix et sera conservé à la B.N.F. ; et « Le saut du Gaul » de Josette Bardy qui avaient été présentés lors de cette projection publique au début de l’année.  Le jury, composé de 5 cinéastes, a attribué à ce dernier (et à sa réalisatrice) un deuxième Prix, le sélectionnant pour être présenté aux Rencontres Nationales de la Fédération Ciné-Vidéo à Bourges, fin septembre 2011. « Le saut du gaul » raconte et montre  un rite réservé aux hommes des lointaines îles Vanuatu, événement peu connu de nos contrées, mais très prisé des Australiens. Cette tribu vivant nue, saute avec des lianes d’un édifice en bois pour s’assurer les bonnes grâces des Dieux pour l’année.