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  • VANVES ET L’ACCUEIL DES REFUGIES : « Des communes comme Vanves ont mis en place des dispositifs pour répondre à une 2éme vague ! »

    Pour la dernière séance de la Commission Permanente du Conseil Régional, ses membres ont tous votés, sans la participation des Républicains, les premières individualisations du Plan d’Urgence Réfugiés-Migrants, c'est-à-dire 108 subventions pour un montant total de 1,08 M€ (sir les 5,5 M€ votés le 25 Septembre dernier) versées à deux départements dont les Hauts de Seine, de nombreuses villes comme Malakoff, Sceaux… ou des associations comme la Croix Rouge Française…

     « On  peut se réjouir de la réactivité de la Région ! Des communes ont mis en place des dispositifs pour répondre à une seconde vague comme c’est le cas dans ma commune de Vanves » a déclaré Bernard Gauducheau (sur la photo en commission permanente à côté du maire de Vincennes) pour le groupe UDI  en s’inquiétant de la pérennité de ces aides. « On voit bien que notre délibération est confrontée aux réalités du terrain car tout se met en place. Les réfugiés ne sont pas encore là, des locaux sont disponibles et non occupés. Peut être que les associations seront confrontées à d’autres dépenses. Je ne suis pas sûr que l’on ne doive pas convoquer une nouvelle CP pour répondre à l’urgence sur le terrain » ajoutait Gabriel Massou (FG/PC) par ailleurs conseiller départemental des Hauts de Seine 

    C’est le même constat fait par Marie Françoise Goloubtzoff (UDI), maire adjoint que le maire de Vanves a désigné pour suivre ce dossier, devant les adhérents de la LICRA lors de l’Assemblée générale de la section de Vanves, mercredi soir. « On attend et on n’a pas encore de réponses aux questions posées » a-t-elle constatée en faisant le point de la situation. « Nous avons proposé à la Préfecture des Hauts de Seine la mise à disposition d’un logement de 8 lits totalement équipé. Nous avons créé une cellule d’accueil avec les services municipaux, des associations susceptibles d’apporter leur quote-part à cette action comme le Secours Catholique, la Croix Rouge, l’Institut Lannelongue, l’ASTI. Mais nos associations sont pauvres et démunies face à l’ampleur de l’action. Enfin des vanvéens se sont manifestés pour proposer des logements. Mais dans ce cas là, ce sont des associations comme France Terre d’Asile par exemple, qui prennent en charge ces logements, pas la mairie » a-t-elle précisée.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    VIDEOPROTECTION : A l’occasion de la Commission Permanente du Conseil Régional, Bernard Gauducheau a défendu face aux écologistes et aux mélenchonistes la vidéoprotection devant les lycées qu’ils remettaient en cause par pure idéologie en expliquant qu’elle ne servait pas à grand chose, ni à améliorer la situation. « Votre posture idéologique est dépassée. Nous avons un lycée (professionnel) dans ma commune avec de fréquents incidents devant son entrée, d’actes d’incivilités ou violents… La mise en place d’une caméra a complétement transformée les choses. Elle a eu un caractère dissuasif. Et les problèmes ne se sont pas déplacés, mais ont disparus ».  Ces propos  devraient réjouir certains vanvéens et ex-élus qui ont dû se battre avec lui pour développer la vidéoprotection urbaine dans notre commune.

    SOUTIEN SCOLAIRE : A l’occasion du dernier conseil municipal, Valérie Mathey (PS) les raisons pour lesquelles l’activité de soutien scolaire aux collégiens gérée par l’ESCAL avait été supprimée . « La disparition, sans aucune information, du soutien scolaire adapté à chacun à un coût raisonnable pour les familles est incompréhensible et ne peut en aucun cas se justifier par des contraintes budgétaires liées, comme vous ne cessez plus de le répéter, aux baisses des dotations de l'Etat. Il s'agit là, comme celui de la suppression de la gratuité des N.A.P, d'un choix politique d'autant plus surprenant que dans votre programme des municipales vous souhaitiez lutter contre l'échec scolaire en créant une cellule de veille éducative afin de coordonner l'engagement des acteurs éducatifs (médiateurs, éducateurs, enseignants...) qui n’existe pas » a-t-elle déclaré en se référant aux fédérations de parents d'élèves qui vous demandant de rétablir au plus vite ce soutien. « Vu le contexte financier actuel, le dispositif ne donnait pas satisfaction. Ils ne s’adressaient pas aux jeunes qui en avaient vraiment besoin. Un nouveau dispositif sera mis en place » a assuré J.Coste maire adjoint aux écoles.