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station service

  • LES REPERCUSSIONS A VANVES D’UNE NOUVELLE GREVE POUR METTRE A L’ARRET LE PAYS

    Les syndicats opposés à la retraite, font le pari de mettre la «France à l'arrêt» mardi 7 mars. Objectif : faire plier l'exécutif alors que le projet de loi est examiné, en ce moment, par le Sénat. Réponse du gouvernement par la voix du vanvéen ministre des comptes publics, Gabriel Attal qui a haussé le ton. En marge d’une visite au Salon de l’Agriculture samedi dernier, à laquelle l’accompagnait Sévérine Edou, conseillére municipale (Renaissance ) de vanves,  a  appelé les opposants à la réforme à « la responsabilité  et à sortir de l’hypocrisie» : «Quand j’entends les responsables expliquer qu’ils veulent bloquer la France, en réalité c’est les Français qu’ils vont bloquer. Quand j’entends certains qui disent qu’ils veulent mettre l’économie à genoux, c’est les travailleurs qu’ils vont mettre à genoux », a-t-il fustigé. «Les grèves pour certaines reconductibles qui vont toucher des secteurs clés de l’économie comme les transports, vont pénaliser «ceux qui triment, c’est-à-dire les Français qui doivent se lever le matin, prendre leur métro, leur RER, leur voiture pour aller travailler. Les cols blancs en général ils peuvent télétravailler, ils peuvent aller travailler à vélo parce qu’ils habitent pas très loin de leur travail. Ceux qui galèrent le plus quand il y a des blocages ce sont les Français qui travaillent le plus dur, c’est pour ça que j’appelle à la responsabilité» a-t-il ajouté.

    Comme le gouvernement l’avait annoncé, le recours au télétravail risque d’être inévitable mardi 7 mars, pour ceux qui le peuvent. Face à la mobilisation qui se prépare contre la réforme des retraites, mieux vaut ne pas compter sur les transports collectifs mardi, comme le faisait encore remarquer Clément Beaune, dimanche sur France 3. Le  ministre des Transports  prédisait « une des journées les plus difficiles qu’on ait connue», ajoutant que « ceux qui comptent sur les transports auront de grandes difficulté». Les vanvéens risquent de connaitre quelques difficultés sur la ligne 12 du métro, une  circulation uniquement entre Mairie d’Issy et Concorde de 6h30-9h30 et 16h30-19h30 avec un train sur quatre, sur la ligne 13, une circulation des deux branches uniquement jusqu’à Duroc de 6h30-9h30 et 16h30-19h30 avec un train sur trois, ce qui veut dire que la station Plateau de Vanves-Malakoff sera fermé. Sur la voie ferrée Paris Montparnasse, il y aura qu’un train sur trois. En moyenne 3 bus sur 4 circuleront sur l’ensemble du réseau, même si certaines lignes pourraient être fermées, indique la RATP.

    Les écoles devraient être touchées bien évidemment, à quelques exceptions prés. Les vanvéens qui ont pris leurs précautions, craignent le retour d’une pénurie d'essence, s’il y a reconduction de la gréve. Contrairement aux autres journées de grève, la possibilité d'une reconduction fait planer le risque d'une pénurie de carburant avec des raffineries à l'arrêt et l'impossibilité de faire sortir les camions-citernes. Les éboueurs, les livreurs des plateformes ont été appelés  aire grève par la CGT. Mais il est difficile de savoir dans quelle mesure ce mouvement sera suivi

  • VANVES SANS ESSENCE DEPUIS PLUS D’UN MOIS

    Pas une goutte d’essence dans les deux stations service de Vanves depuis plus d’un mois à cause d’un conflit syndical qui les dépasse où l’un des syndicats le plus virulent, défend des ouvriers qui bloquent les raffineries et gagnent tout de même 5000 € par mois avec les primes. Avec l’impression que tout le monde s’en fout, surtout du côté des gouvernants tant au niveau national, à part quelques déclarations ministérielles, et locaux où c’est silence radio total. Pas un élu local moufte… Du coup, les vanvéens en sont à se donner quelques truyaux pour être sûr de trouver de l’essence, souvent à des kilométres, à condition d’avoir encore un peu d’essence dans le réservoir. « Et puis ils ont les transports en commun ! ». Pas évident, pour certains d’entre eux de les utiliser lorsqu’ils sont handicapés 

    Manque de pot, la région parisienne souffre tout particulièrement du manque d'essence, tout simplement parce que les raffineries qui l’alimentent, étaient encore en grève. De surcroît, dans l'ouest parisien surtout, la demande de sans plomb est plus forte car plus de foyers ont abandonné le diesel. Et depuis le début des vacances de la Toussaint, les pouvoirs publics nous serinent que la situation s'améliore quand même de jour en jour, les mouvements de grève faiblissent…Mais toujours sans rien voir dans les pompes de Vanves.  Jamais les Vanvéens n’avaient vu cela depuis très longtemps…1995…Mai 68

     

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    ZFE (Suite) : SURSIS

    Alors que la MGP entendait bannir les véhicules Crit'Air 3 au printemps l'an prochain, et les diesel d'ici à 2024, le gouvernement a annoncé lors du comité ministériel sur les ZFE (Zones à Faibles émissions)  que les Crit'Air 3 ne seront interdits que d'ici à 2025. Alors qu’ils devaient renoncer à rouler dans la ZFE francilienne d'ici à la fin 2023, les franciliens et donc les vanvéens auront au moins un an de plus pour circuler. Le calendrier est désormais le suivant : dès le 1er janvier 2023, les véhicules Crit'Air 5 (véhicules diesel produits avant 2001) seront interdits. Au 1er janvier 2024, ce sera au tour des Crit'Air 4 (diesel avant 2006) puis des Crit'Air 3 (diesel avant 2011 et essence avant 2006) le 1er janvier 2025

    REVISION DU PLU

    Les écologistes pu organiser leur réunion publique jeudi dernier à l’école Marceau, sur la révision du PLU de Vanves qui maintenant change d’échelle en devenant intercommunal sur l’ensemble du territoire de GPSO. Il n’en reste pas moins qu’à l’échelle de la commune, les enjeux sont important pour les vanvéens qui constatent une  bétonisation de la Ville à marche forcée, avec l’apparition régulière de panneaux annonçant une opération immobilière comme rue Georges Clemenceau ses derniers jours, la disparition de pavillons remarquables comme cela devrait être le cas pour l’un d’entre d'eux, voisin de la chapelle protestante Saint Luc, la suppression d’arbres ou d’espaces verts du même coup, une circulation toujours plus intense et le manque de logements à des prix abordables…. «Toutes ces actions qui détériorent notre cadre de vie au profit des promoteurs c’est le PLU qui les permet. Cela n’est pas inéluctable. Au moment où les différentes crises impactent notre société de plein fouet, il faut que ces règles évoluent pour répondre aux enjeux de demain. C’est le PLUI en cours de préparation à GPSO qui les fixera» ont-ils soulignant en expliquant que le premier étage de la fusée (le PADD) sera adopté en fin d’année : «Les diagnostics du bureau d’étude n’ont pas été rendus publics. Les choix qu’ils entraînent ont été proposés aux maires mais même pas aux conseillers municipaux. La concertation en cours se limitera aux conseils de quartiers et à une réunion publique de la mairie le 8 novembre» ont-ils regretté. 

    PENURIE D’ESSENCE

    Les vanvéens commencent à être excédé. Pas une seule station service de la ville, mais aussi à proximité aux alentours n’a été réapprovisionné depuis que le mouvement de gréve aurait pris fin. Cela commence à peser pour certains vanvéens qui comptent sur leur véhicule pour pouvoir se déplacer et sont confinés chez eux comme au temps du Covid. D’autant plus q’e lorsqu'ils sont âgées, ils ne disposent plus d’une navette municipale, et que le dispositif Vanves Express leur semble bien compliqué et limité, pour faire leurs courses ou leurs démarches.

    Malheureusement  l'Île-de-France compte parmi les régions les plus touchées par cette pénurie qui persiste, en raison notamment de la grève qui continue dans la raffinerie de Gonfreville (Manche) approvisionnant principalement la Région Capitale. "la poursuite des blocages est 'inacceptable' pour Gabriel Attal après l'accord majoritaire signé chez Total Energies.  De surcroît , la situation est très tendue dans les Hauts-de-Seine (62% en manque de carburant), à Paris (50%) ou encore en Seine-Saint-Denis (42%). De surcroît, la densité de population par rapport au nombre de stations-service disponibles accentue le phénomène de pénurie.