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encombrants

  • VANVES APRES UNE SEMAINE DE DECONFINEMENT.

    Après une semaine de déconfinement, avec de surcroît un week-end prolongé, les vanvéens ont goûté le plaisir de sortir sans attestation, lorsqu’ils sortaient durant le confinement, car certains sont vraiment rester confinés sans sortir de chez eux, ravitaillés par leurs enfants, ou la solidarité de voiinage lorsque ce n’était par le RMS (Réseau municipal de solidarité).   Ce qui a fait quelques dégâts parmi nos seniors comme ont pu s’en rendre compte les bénévoles du RMS ou tout simplement grâce à des échanges avec certains d’entre eux, ayant du mal à marcher pour aller faire leurs courses ou le tour du paté de maison, comme ses sportifs qui reprennent difficilement l‘entraînement après de longues vacances. D’autres parmi ses retraités, plus jeunes, mais pas toujours, s’adonnaient à la marché à pied sur une longue distance (1 à 1,5 km) chaque jour. Avec des exceptions : Une petite grande mére de 93 ans, charmante, est sortie chaque jour pendant une heure le matin, avec un petit arrêt à l’église pour une priére pour son mari, puis une autre l’après midi, même pendant le confinement, en faisant ses courses elle-même chez les commerçants du centre ancien. Elle apprécie maintenant de pouvoir s’arrêter place de la République en s’asseyant sur un petit muret à côté du manège, pour déguster un petit pain au chocolat et faire ses mots fléchés alors que les enfant ss’égaient sur la place, transformant ces jours-ci avec la chaleur, le petit bassin en piscine en s’arrosant, alors que les adultes assis sur leur muret font «agora»

    Autre événement à Vanves, pour fêter le déconfinement : l’arrivée d’un couple d’oies dans le parc Frédéric Pic (sur la photo)  qui a fait étape toute cette semaine, dans leur migration vers le nord. Un habitant de l’avenue du Parc a fait quelques photos avec son drone qu’il a publié sur les réseaux sociaux. Un aute riverain a vu un héron faire le beau dans les allées du parc où finalement les oiseaux, la nature a repris ses droits. D’ailleurs, les vanvéens ont profité du confinement pour faire un sacré ménage de printemps, vu le nombre d’encombrants jeudi dernier sur les trottoirs amenant GPSO à ajouter des tournées pour leur enlévement, et le nombre de vanvéens qui ont profité de la déchetterie du samedi dans l’allée de la rue Jullien qui n’a jamais été aussi fréquenté.  

  • AGIR POUR UN PLATEAU A VANVES A FAIT REAGIR LA MUNICIPALITE MAINTENANT TRES ATTENTIVE

    Plus de la moitié des adhérents de l’association « Agir Pour le Plateau » était présent à sa première assemblée générale le 8 Juin dernier à l’évcole maternelle Max Fourestier. Peu de réactions sur le diagnostic réalisé sur le Plateau et présenté lors de la réunion publique de quartier à Marceau, et un faible nombre de réponses au questionnaire ont constaté ses responsables : « Ce qui valide le concept de notre association. Nous pouvons être les relais de vos réactions auprès  du maire » ont-ils indiqué en ajoutant : « Le Plateau représente 45% de la population de Vanves. Depuis que l’on s’est mobilisé avec les conseils syndicaux, le maire a réagit ».

    Occasion de refaire rapidement l’historique de l’association, sans insister sur sa genése – la mobilisation contre le projet d’une station GNV rue Louis Vicat, abandonné par le maire – mais sur une certaine prise de conscience des habitants : « Au-delà de ce point qui a cristallisé les choses, de nombreux vanvéens ont réagi sur l’entretien du Plateau. Lorsqu’on a vu cela, on s’est dit qu’il ne fallait pas laisser retomber le soufflet, avec l’idée de s’installer comme un interlocuteur des pouvoirs publics (Mairie de Vanves mais de Paris et du XVéme arrondissement) » a expliqué Patrick Leverjat, président entouré par Pierre Bousseau secrétaire, Christiane Boissot trésoriére, avec Claudine Charfe, vice présidente…  Les échanges lors de cette assemblée générale montrent que les sujets ne manquent pas et ne concernent pas seulement la mairie de Vanves :

    Tout d’abord la problématique des encombrants  et déchets qui se concentre sous le porche Sadi Carnot depuis de nombreuses années. « Le maire y est sensible. Des solutions sont envisagées : Vidéosurveillance, pour prendre la main dans le sac, les contrevenants, des potreaux, des barrières  de travaux qui ont un effet disuassif. Le montant de la contravention a été affichée » ont-ils indiqué. Ils se concentrent aussi rue Louis Vicat, porte Brançion sous le pont SNCF qui est devenu une déchetterie sauvage. « L’association fera un courrier aux maires de Paris et du XVéme. On peut être force de propositions dans ce quartier, avec la porte de la Plaine qui va bouger,  avec le projet de deux hotels côté Parc des  Expositions, en proposant de couvrir le Bd Périph, mais aussi la requalification de la rue Louis Vicat ».

    Ensuite les participants ont soulevé les problèmes rencontrés par les piétons notamment  pour traverser cette porte de la Plaine, la vitesse execssive des véhicules qui s’engagent rue Pasteur, mais aussi des bus rue Jean Jaurès . « Il y a un problème de volume du trafic et de vitesse. On lui a proposé de faire comme à Maisons Alfort où la mairie a installé tous les 800 m, des feux tricolores qui se mettent au rouge dés que  les automobilistes dépassent la vitesse de 30 km/h »    

    Enfin, beaucoup se sont plaint de la disparition des points de presse avec fin Juin, le départ à la retraite du propriétaire du point presse du lycée au terminus 58. D’autres se sont inquiétés, et notamment les parents, de la fermeture du Centre Albert Gazier pour des raisons économiques et de sécurité. Une décision reportée d’un an. Ce serait l’occasion de réinstaller certaines activités qui avaient déménagées à Jean Monnet puisque ce centre n’accueille que 30% d’activités pour l’instant.

  • AGIR POUR LE PLATEAU DE VANVES : UNE NOUVELLE ASSOCIATION DE QUARTIER ET DE PROXIMITE

    « Vous avez été nombreux à vous mobiliser en 2015 autour d’un collectif afin de préserver la qualité de vie sur le plateau de Vanves fin 2015. La preuve a été faite que la défense de nos intérêts passe par l’information, l’échange et la discussion en toute transparence. L’abandon du projet de la Station GNV et le maintien du skate-park (modalités en attente) sont maintenant acquis grâce à vous.  Nous avons imaginé poursuivre l’action et le dialogue entamés en créant une association de quartier, AGIR POUR LE PLATEAU » annonce un tract qui circule depuis quelques temps sur le Plateau à l’initiative de plusieurs personnes dont Patrick Lauverjat, son président et Pierre Bousseau, son secrétaire que le blog Vanves Au Quotidien a rencontré

    Vanves Au quotidien- Est-ce  l’une des conséquences positives que vous avez  tirés de cette affaire de la station GNV ?

    Pierre Bousseau : « On s’est rendu compte que les structures administratives, mairie, GPSO, métropole du Grand Paris  n’ont pas d’interlocuteurs au niveau des quartiers et que la structure des Conseils de Quartier n’est ni assez vivante, ni assez représentative de sa population pour créer et susciter un dialogue constructif.  Nous avons la place pour faire vivre une association qui aurait pour objectif principal le cadre de vie du quartier du Plateau. Nos ambitions sont limitées : Nous ne cherchons pas à couvrir toute la ville, le Plateau nous suffit largement. Nous avons eu un mouvement d’adhésion initial qui peut se prolonger de  cette façon positive.

    Patrick Lauverjat : « Nous allons très clairement au-delà du problème spécifique de la station GNV, qui a été l’élément déclencheur, parce que de nombreuses demandes, protestations, doléances ont été exprimées à cette occasion, de la part des habitants. Pour certains qui sont venus spontanément rejoindre le collectif, qui l’ont soutenu, ce n’était pas tellement la station GNV qui était un élément prépondérant. Ils exprimaient une demande de rapprochement autour d’une structure beaucoup plus localisé, pour se faire entendre. Pour eux, la mairie ou GPSO, sont des organes lointains qui gèrent une multitude de choses et de problèmes, et à leurs yeux, il manque un relais local qui fasse le recensement de toutes leurs demandes. Et il y en a : des habitants se plaignent du marché rue J.Jaurés le vendredi soir, mais l’enlever c’est retomber sur un site sans âme, sans élan,  ni animation, avec du béton tout autour, avec pour seule présence humaine,  les jeunes,  qui sont là pour des raisons diverses et variés,  et parce qu’ils n’ont pas d’autres endroits pour se retrouver. Le Plateau n’a plus de marchands de journaux, surtout depuis que le kiosque de la station de métro a fermé. Certains ont dû s’abonner à leurs journaux et revues habituelles etc…

    V.A.Q. - Qu’est-ce qui va et  ne va pas dans ce quartier qui a mal finalement vieilli ?

    P.B.  : « Toutes ces questions avaient l’objet d’un tour de tables notamment à l’école Marceau lors de la réunion publique, puis lors d’une réunion qui a suivi avec les responsables de conseils syndicaux durant laquelle nous avons exposé un certain nombre de problématiques d’environnement, d’encombrants sauvages, d’embellissement du quartier. Ce qui  nous a donné l’idée  de faire un tableau sur lequel serait inscrit  tout ce qu’a fait et fait  la municipalité, et en le complétant par des remarques et des doléances des habitants, ou des constats de notre part en essayant de conforter chaque demande par des éléments tangibles (photos, vidéo) afin que ce ne soit pas seulement des sentiments.

    P.L.: « On est plus sur des demandes qui touchent à l’hygiène, la sécurité au sens large, le cadre de vie (stagnation de flaques d’eaux sur la dalle, ramassage des ordures…) sur lesquels tout le monde se renvoie  la balle considérant que ce n’est pas de sa compétence, tout en étant conscience des incivilités, certains ne respectant pas les règles sur les encombrants par exemple. Même s’il y a une étude recensant espaces privatifs et publics, il faut veiller à ce que les choses se fassent réellement, même s’il faut l‘étaler dans le temps pour des raisons de coûts Mais on sait comment fonctionnent nos politiques, car il y a tout le temps des urgences pour reporter et les crédits ne sont inépuisables. Notre objectif est d’être convaincant et de faire des piqûres de rappel.

    V.A.Q. –Par quoi allez-vous commencer ?
    P.B. et P.L. :
    « Nous avons commencé par mettre en place l’association, en ayant déposé les statuts, constitué un bureau, ouvert les adhésions en distribuant un tract annonçant notre création avec un bulletin d’adhésion. Nous avons envoyé un courriel à la nouvelle conseillère municipale responsable du quartier pour lui demander de la rencontrer. Nous allons lancer une action d’envergure en faisant du boîtage dans l’ensemble des immeubles et pavillons de ce quartier. Nous allons creuser dans tout ce qui a été dit lors des réunions avec les maires, et  beaucoup de choses ont été dite. Il y a des discussions en ce moment, nous semble t-il sur le réaménagement de la circulation sur la rue J.Bleuzen.  On a eu une réponse de la mairie sur les encombrants sous le porche de la rue S.Carnot avec la mise en place du stationnement réglementé pour l’empêcher, et la recherche d’une solution pour déplacer l’emplacement des containers des immeubles sociaux de la rue A.Comte. Nous avons l’intention  d’organiser une réunion pour les  adhérents et les habitants du Plateau afin  de recenser toutes ces problématiques.