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bilan carbone

  • LES BENEDICTINES DEVANVES A LA RECHERCHE DE SOUTIEN FINANCIER POURRENOVER LES 270 FENETRES DE LEUR PRIEURE

    A l’occasion des Journées du Patrimoine, les sœurs bénédictines de Vanves, ont lancé une campagne de soutien pour rénover, et remplacer les 270 fenêtres de leur prieuré, par du double vitrage afin de réduire les pertes énergétiques. Le coût total s’éléve à prés de 600 000 €. Le chantier est prévu en trois tranches, la première nécessitant 287 000 €.

    « Nous ne pourrons pas commencer les travaux sans que le financement de cette tranche soit assurée. C’est pourquoi nous sollicitons le précieux soutien des vanvéens et de tous ceux attachés à ce patrimoine » explique Marie Madeleine Caseau, mére supérieur en précisant que la fondation des Monastéres,, la fondation du clergé, la CAVIMAC et EDF vont contribuer au financement.

    C’est une des étapes du vaste chantier de rénovation et d’entretien, - après l’isolation du grenier et des réseaux de chauffage, avec un souci majeur de l’écologie intégral de ce vaste bâtiment, situé au coeur de Vanves et labellisé « architecture remarquable du XXe siécle ». C’est pourquoi, il leur a fallu obtenir le feu vert de l’Architecte des Bâtiments de France , après un audit thermique,

    Preuve que les sœurs bénédictines ont un grand souci de la transition écologique et énergétique, sur laquelle elles ont profité des confinements provoqués par la pandémie, pour mener une réflexion qui a abouti par des réalisations.

    Elles ont ainsi mis en place 5 cuves pour recueillir l’eau de pluie, une collecte sélective performante de leurs déchets, d’être attentif à leur consommation d’électricité, en installant des leds pour l’éclairage, mais aussi en consommant des produits frais et naturels, qui les ont amené à cultiver un jardin potager et à avoir des rûches.

    Actuellement elles attendent le programme à respecter pour le calcul de leur bilan carbone

  • VANVES MAUVAISE ELEVE DE LA LUTTE CONTRE LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

    Un cliché capturé par la Station spatiale internationale (IS) a révélé, les zones les plus chaudes de Paris, en plein jour de canicule. Elle a capturé une image satellite thermique de la capitale, le 18 juin 2022, révélant les zones les plus chaudes de la ville. La photographie révèle que les îlots de chaleurs se trouvent surtout dans les pourtours de la capitale, notamment à Pantin, au nord-est de la ville, ou encore au sud, comme à Issy les Moulineaux, Vanves ou Malakoff, Montrouge… Sans surprise, des zones plus fraîches sont les plus arborées. Ces images ont en tout cas « de quoi inciter à adapter la Ville à l’évolution climatique et à planter toujours plus ». C’est ce que fait Vanves qui a programmé la plantation de 100 arbres par an pendant la mandature, avec 76 arbres plantés depuis le début de l’année, sans parler du nouveau dispositif lancé en Juin pour accompagner les copropriétés à planter des arbres. Et il y a quoi faire si la ville veut renforcer le fleurissement du paysage vanvéen dans ses parcs et squares, mais aussi ses places (comme la République) ou même ses rues.

    Pourtant, elle a fait des aménagements qui se révéle judicieux aujourd’hui pour d’autres raisons que la lutte contre le réchauffement climatique, et la sécheresse, lorsqu’ils ont été réalisés : l’aménagement en synthétique des deux terrains de football du PMS André Roche, pour permettre surtout une utilisation tout l’année, et qui aujourd’hui permet d’éviter leur arrosage,  le bassin de rétention sous le terrain de football Yves Saccard pour lutter contre les inondations du quartier du Clos Montholon, et dont l’eau sert à la piscine pour ses sanitaires et douches, ou le service des espaces verts pour l’arrosage.

    Pour la requalification de l’école du Parc, la ville aurait pu s’inspirer des « cours oasis » aménagées à Paris et dans d’autres communes voisines, véritable ilôt de fraicheur grâce à plusieurs éléments : des sols désimperméabilisés en remplaçant le revêtement existant (un enrobé noir classique) par un enrobé beige drainant et en créant des zones d'infiltration végétalisées au cœur de la cour, un revêtement des sols des aires de jeux, innovant à base de liège, matériau naturel, perméable, garantissant les conformités d'amortissement et qui ne monte pas en température. Une surface d'espaces verts agrandie de 41% avec la plantation de végétaux aux pieds des arbres, la végétalisation des pieds de façade, la plantation d'arbres ainsi que la création d’ espace potager pédagogique comprenant des bacs. Enfin, des brumisateurs installés la cour et une partie du préau. Bien sûr, tout est cela est plus ou moins prévu pour l’école du parc, avec l’implantation de toitures végétalisées avec un potager, la plantation d’arbres dans la cour de récréation ainsi que la création d’ilôts végétalisés…en dehors des bâtiments même de l’école.

    Enfin, comment se fait il qu’à Vanves, un nouveau quartier est en train de naître au Clos Montholon dans le triangle (Av de la Paix, rue du Clos Montholon, Avenue de la Paix) où devrait s’installer plus de 1500 habitants à terme soit prés de 750 foyers. Rien n’a été programmé, comme à Issy les Moulineaux, pour le Cœur de Ville qui devrait accueillir 670 foyers, avec des commerces, la plantation d’arbres (345 arbres et 470 arbustes plantés constitueront les 7 000 m² de forêt urbaine), des commerces, un groupe scolaire…t même un cinéma UGC. Inimaginable aux yeux de certains vanvéens, même si depuis quelques temps, la municipalité s’est réveillée, en prévoyant quelques commerces en rez-de-chaussée parait il. Le bilan carbone risque d‘être désastreux, avec des parents qui prendront leurs véhicules pour accompagner leurs enfants à l’école du Parc ou Larmeroux dont ils dépendront, ou pour pour faire leurs courses.