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vanvesauquotidien - Page 93

  • PERIODE DE TENSION A VANVES ET AILLEURS ALORS QU’ATTAL EST SEUL AUX COMMANDES

    Pour la première fois depuis sa nomination, le 9 Janvier dernier Gabriel Attal, Premier Ministre, se retrouve seul aux commandes du paquebot France, et gére seul sa première crise...avec les agriculteurs. Ce qui explique son absence aux voeux de sa député suppléante Cécile Guichard, mardi dernier, à Issy les Moulineaux où se pressaient beaucoup de vanvéens, mais pas le maire qui présidait un dîner la section UDI vanvéenne dans son restaurant asiatique préféré où il a ses habitudes. Ainsi Emmanuel Macron a repris la valse des visites à l’étranger : Depuis hier, il se trouve en Inde jusqu’à Samedi, puis en Suède du 29 au 31 janvier. Dans le cas là, tout a été prévu par la constitution, Selon l’article 21 de la constitution, le Premier ministre « supplée, le cas échéant, le président de la République dans la présidence des conseils et comités» supérieurs de la défense nationale. Pour autant, en l’absence du président de la République, le secrétaire général de l’Elysée a un rôle central. C’est lui qui est en contact direct avec le chef de l’Etat et qui coordonne le travail avec le chef du gouvernement. Et de son côté, Gabriel Attal gére les affaires courantes, avec son propre agenda, comme il le fait habituellement, et là il a fort à faire.

    Car ces jours-ci, les agriculteurs qui manifestent depuis plusieurs jours,  ont décidé hier, de bloquer les accés de Paris aujourd’hui de 14H à minuit, à l’appel de la FDSEA D’Ile de France et des Jeunes Agriculteurs de la Région : L'autoroute A1, l'A6, l'A10-11, l'A13, l'A15 seaient concernés par des points de blocage. Une action qui ne devrait toutefois avoir lieu « qu'en dernier recours, en cas d'échec des négociations avec le gouvernement, mais tout est sur la table», selon les Jeunes Agriculteurs. Ils ont déjà acentué la tension hier avec les premières actions en Ile de France au niveau de Montfort-l’Amaury et d'Hardricourt sur l’A 12, ainsi que dans l’Essonne à Etréchy avec des barrages filtrants, en Seine-et-Marne vers Melun et Provins mais aussi à Fontainebleau avec des défilés de tracteurs

    Vanves a aussi connu sa petite période de tension, lundi dernier en fin d’après-midi dans l’îlot cabourg bloqué par la police comme l’ont pu constater les vanvéens qui rentraient de leur travail. Un jeune homme de 17 ans  s’est fait agressé par sept jeunes en pleine rue, alors qu’il sortait du LEP Dardenne selon le Parisien. Blessé aux cuisses, au bras et sur le crâne, il a transporté à l’hôpital européen Georges Pompidou (HEGP), à Paris. Des blessures sur lesquelles il n’a pas voulu s’épancher. Ni auprès des secours, et encore moins auprès des policiers du commissariat de Vanves, en charge des investigations. Qui ont retrouvé le couteau «Il s’agit d’un établissement très calme qui accueille une grande majorité de jeunes filles. En trois ans, c’est la première fois que j’entends parler d’une telle agression» confiait un parent d’éléve au Parisien

  • VANVES AURAIT CONNUE UNE BAISSE DE 1,5% DE VEHICULES COMME LA METROPOLE DU GRAND PARIS

    Il y a toujours moins de voitures dans la Métropole du Grand Paris, selon une note de l’APUR (Atelier Parisien d’Urbanisme)  publiée mardi dernier.  Sur près de 2,5 millions de voitures (85% du parc total dans la zone), 31.000 véhicules particulières (VP) et 6000 véhicules utilitaires légers (VUL) en moins en 2023, ce qui  représentent une baisse de 1,23%. Vanves a enregistré une baisse de 1,5% de véhicules légers et de 1,5% de VUL (Véhicule utilitaire Léger) car GPSO fait partie des territoires qui se sont le plus démotorisés avec Paris, grâce à un bon maillage d’alternatives à la voiture  (en transports en commun ou infrastructures cyclables) contrairement aux communes du nord-est de la Métropole «à l’accés aux transports en commun en deçà de la moyenne métropolitaine» qui voient leur parc «augmenter progressivement depuis cinq ans», comme c’est la cas en  Boucle Nord de Seine,  notamment à cause des effets de siège et de la hausse de population à Clichy et Gennevilliers en lien avec la dynamique de projet urbain observée sur ces communes.

    En revanche, le nombre de voitures fonctionnant grâce aux énergies alternatives (électricité, hydrogène, gaz, hybride rechargeable) «a plus que doublé tous les ans depuis 2018, soit un bond de 325% sur la demi-décennie», souligne l'Apur. Malgré cette progression spectaculaire, «ils ne représentent à ce jour que 5,5% du parc métropolitain, où les voitures thermiques sont en écrasante majorité, qu'elles roulent à l'essence (près de 54%) ou au diesel (près de 41%)». Vanves fait partie des communes où la part des diesels représente moins de 30% des véhicules, et où la part des  entre 1 à 1,5% de véhicules électriques, et des véhicules hybrides se situe entre 1 à 1,5% des véhicules.

    Enfin, l’APUR a noté que les véhicules les plus polluants - Crit'Air 3,4,5 et non classés – concernés par la  troisième étape de la ZFE, reportée au début 2025, représentent encore un quart des voitures de la métropole (380 000). Vanves est concerné avec entre 20 et 25% de véhicules particuliers Criter3 et plus, entre 15 et 20% de VUL  Criter 3 et plus.

  • DES TRAVAUX DE REQUALIFICATION DE RUES NECESSAIRES DANS LES HAUTS DE VANVES

    Ce début d’année a été marqué par le démarrage des travaux de requalification des rues Victor Basch et René Coche   dans les Hauts de Vanves,  comme annoncés lors d’une réunion publique le 16 Décembre dernier au café de la gare. Ils font suite à la requalification de la Villa de la Gare, l’année dernière. L’objectif dans cette zone 30, est tout d’abord, de conforter les circulations douces en améliorant les circulations piétonnes, en créant des aménagements cyclables , en renforcant l’accessibilité des PMR. Ensuited’apaiser le flux automobile. Enfin, améliorer le cadre de vie en facilitant les usages quotidiens et en végétalisant autant que possible les espaces publics. Ses travaux étaient devenus nécessaire, vu le diagnostic présenté lors de cette réunion.

    Occasion d’apprendre que la rue René coche qui a une largeur qui varie entre 10,30m et 9,90m, avec une chaussée qui mesure entre 4,60m et 5,50 m avec des trottoirs dont la largeur  varie de 2,00m à 2,50m,  Et que Victor Basch  a une largeur variant entre 15,00m et 11,70m, une  chaussée mesurant 8,00m stationnement bilatéral, et les trottoirs variant de 4,30m à 1,00m au niveau du tabac de la gare. Le diagnostic effectué par GPSO montrait, pour les deux rues, que «la couche de roulement des voies présente des signes de vieillissement avec plusieurs affaissements dans les pavés. On note la présence de rustines et de tranchées – dues aux diverses interventions des concessionnaires et des réparations de voirie».

    A René Coche, les travaux prévoient la création de plusieurs plateaux surélevés, d’une chicane à l’entrée, d’une place de stationnement pour les personnes à mobilité réduite, d’un dépose-minute ainsi que le maintien de places de stationnement. Plusieurs arbres et cyprés seront également plantés. A Victor-Basch, le trottoir du côté des numéros pairs sera élargi et le trottoir du côté des numéros impairs sera, quant à lui végétalisé. Les travaux qui ont démarré rue René qui coûteront 710 000 € devraient s’achever fin Mars. A Victor Basch, où ils se montent à 240 000 €, ils devraient s’effectuer de Mars à Avril 2024