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vanvesauquotidien - Page 512

  • LES QUELQUES RENDEZ-VOUS A VANVES DUNE 3e SEMAINE DE CONFINEMENT MARQUEE PAR LA SOLIDARITE

    Le grand rendez-vous de cette semaine, comme chaque année, pour le dernier week-end de Novembre, sera la collecte de la banque Alimentaire  par de nombreux bénévoles, avec en première ligne ceux du Secours Catholique. Comme l’expliquait son équipe vanvéenne dans un Sel et Lumière, cette année particulière n’a pas été facile car ces bénévoles se sont employé à répondre à des situations de pauvreté qu’ils rencontrent et à apporter un vrai réconfort à travers, malgré le confinement et les difficultés liées à la pandémie, des repas partagés, des séjours d’été pour 7 familles, des aides administratives… L’aide alimentaire a pu être préservée (avec le soutien du CCAS) en respectant un protocole sanitaire adapté. C’est aussi la semaine du lancement de la 36e campagne des Restos du Coeur

    Lundi 23 Novembre

    A 14H30 au Conseil Départemental des Hauts de Seine : Isabelle Debré vice présidentre participe à la Commission permanente

    A 19H en visio conférence : La députée LREM de la 10e circonscription (Vanves/Issy) organise une réunion avec Adrien Taquet secrétaire d’Etat en charge de l’enfance et des familles pour présenter et commenter les travaux de la commission « 1000 premiers jours » présidée par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, qui a rendu en septembre dernier un rapport dont les conclusions visent à réduire les inégalités dès les premiers mois de l’enfant.

    Mardi 24 Novembre

    A 18H30 en digital : Soirée interclubs organisée par le Challenge Club de Vanves sur le théme « digital : penser local et global » avec Hua-Victor CHEN cofondateur de Majordome Digital qui,  après 3 ans au sein du programme Google Ateliers Numériques en ayant formé des milliers de TPE/PME, présentera les dernières bonnes pratiques digitales en 2020 pour les TPE et les indépendants sous forme d'ateliers en ligne

    Jeudi 26 Novembre

    A 20H  à la Ruche de Vanves :  Dans sa participation à Festisol, le Festival des Solidarités, La Ruche de Vanve organise une soirée projection-débat 100% en ligne, autour du film: «Sur les étals des marchés de Dakar, la baguette blanche est reine » de Marion Dualé et Ousmane Dary. Ce film est l’occasion de s’interroger et d’échanger sur les accords dits de partenariat économique (APE) entre l’Union européenne (UE) et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), en présence de François Papy, directeur de recherche honoraire de l'Institut national de la recherche agronomique (I.N.R.A.) et membre de l'Académie d'agriculture.

    Vendredi 27 Novembre (jusqu’au Dimanche 29 Novembre)

    De 9H à 19H Devant Carrefour Martket, Intermarché, Franprix (et au Marché samedi matin) : Grande collecte nationale de la Banque Alimentaire. L'antenne relais de la Banque alimentaire de Vanves a besoin de bénévoles pour l'organisation de ces journées de collecte (vanvescollecteba@gmail.com)

  • L’ADORATION DU SAINT SACREMENT A DEFAUT DE MESSES LE DIMANCHE A VANVES PENDANT LE CONFINEMENT ATTIRE DU MONDE

    La crise sanitaire et les décisions du gouvernement empêchent, pour l’instant, la célébration publique des messes. «Il se trouve que les évêques, et plus particulièrement le notre, Mgr Rougié, pour le diocése des Hauts de Seine et quelques curés dont je suis, ont essayé de réfléchir à trouver une réponse à des questions de chrétiens qui manifestaient pour le retour des messes, devant les cathédrales,  assez agacès par ce confinement imposés aux cultes. Comme je suis plutôt un prêtre légaliste, je considère que c’est une décision imposé par le gouvernement,  confirmé par le conseil d’Etat suite à un recours déposé par les évêques, et donc il n’y a pas de célébrations autorisés. S’il ne m’appartient pas de commenter cette décision, ni d’aller contre, si la célébration de la messe n’est pax autorisé, il faut que les prêtres essaient de trouver les moyens de venir assouvir les besoins spirituels de leurs fidéles» explique Bertrand Auville curé de Vanves qui a donc institué depuis le dimanche 7 Novembre une adoration  du Saint Sacrement entre 15H et 17H à Saint Remy,  avec la possibilité pour ceux qui le veulent, et qui s’y sont préparé à titre individuel, de venir se présenter devant un prêtre pour qu’il lui donne la communion. «Cette adoration a été,  à chaque fois, un moment très paisible. Des personnes qui auraient pu être dans la revendication, ont été dans la reconnaissance, sans esprit revanchard, ni revendicatif, avec des fidèles désireux de recevoir de recevoir l’Eucharistie d’une manière très paisible, très sereine, en respectant les mesures sanitaires. Un très bon moment de prière et de foi, qui a satisfait les paroissiens présent»

    Ainsi des paroissiens vanvéens se retrouvent dans leur église pour prier ensemble en ce temps de pandémie pour qu’elle les  nous épargne comme le faisait leurs ancêtres lorsque des calamités s’abattaient sur eux comme le reconnait le pére Auville qui a constaté surtout que «le gouvernement a davantage compris, et il l’exprime lors de ce 2e confinement,  plus que lors du premier – lorsque les pouvoirs publics laisser entendre « on vous permet de laisser vos églises ouvertes, estimez-vous heureux, n’allez pas pas en demander plus» - notamment par le porte parole du gouvernement Gabiel Attal qui l’exprime bien en disant « Je sais bien que les chrétiens, les croyants regrettent de ne pas se retrouver en communauté parce que la communauté fait partie de l’expression de leur foi ». Il le dit de manière très clair et on l’a bien vu parce que nos gouvernants s’aperçoivent, comme nous tous, que beaucoup d’entre nous souffrent de cet isolement. Alors bien évidemment cela leur leut permet de passer à travers la contaminaton, mais elles n’en sont pas moins affectées par une grande solitude. Les pouvoirs publics en ont pris conscience peut être plus davantage dans leur expression et les propositions qu’ils font : Par exemple, les prêtres sont toujours autorisé à aller auprés des personnes malades, en précarité pour leur apporter un secours, l’accés aux mouvements caritatifs est plus facilité que dans le premier confinement. Tout le monde a vraiment  pris consciences que la pandémie tuait des gens mais qu’il y avait un isolement social, spirituel qui était une autre forme de maladie» explique-t-il au Blog.

    Le pére curé Bertrand Auville n’en a pas moins constaté, comme tout le monde, que le 2e confinement est moins suivi que le premier, avec beaucoup plus de monde dans mes rues, plus de circulation automobile, avec beaucoup trop de personnes  dehors. «Ce nouveau confinement n’est pas vécu de la même maniére,  peut être parce que les gens ont moins peur, parce que nous avons des techniques de prises en charge… Et qu’il y a dans en perspective les fêtes de Noël ! Et là, les  gens sont inquiet avec pour les chrétiens la question «Est-ce qu’on pourra fêter en communauté, les fêtes de Noël ? Noël que l’on soit croyant ou non, chrétien ou non, tout le monde le fête. C’est devenu la fête de famille par excellence, un moment de convivialité. Et c’est intéressant de noter,  parce que le chrétien critique un peu le côté mercantile de Noel, mais c’est plus que cela car Noël est devenu une fête nationale, avec un consensus autour de cete fête qui est fait pour être ensemble, s’offritr des cadeaux, se dire des choses gentilles, se souhaiter des vœux. Cela va au delà de la réligion ! »

  • VANVES ET LES DROITS DE L’ENFANT : ISABELLE DEBRE MOBILISE UNE FOIS DE PLUS CONTRE LE SILENCE QUI TUE FACE A LA MALTRAITANCE DES ENFANTS AVEC « L’ENFANT BLEU»

    A l‘occasion de la journée Internationale des droits de l’enfant du 20 Novembre, de nombreuses initiatives ont été prises par différents elus et plusieurs associations durant la semaine qui vient de se dérouler. Et notamment l’association l’Enfant Bleu qui est fortement mobilisée et mais aussi sollicité lors de ce second confinement, comme au prntemps dernier. Sa présidente que les vanvéens connaissent bien isabelle Debré a rappelé une nouvelle fois que «le silence tue» face à la « maltraitances faites aux enfants » :comme elle l’a fait dans une tribune parue cette semaine dans Ouest France

    «Bien que les pouvoirs publics se soient emparés de la lutte contre ce fléau, le nombre d’enfants victimes de violences ne diminue pas. 22 % de français déclarent avoir été victimes de maltraitances graves et répétées durant leur enfance, soit des millions de citoyens. Malheureusement, 80 % des victimes ne parlent pas et ne bénéficient donc pas de mesures de protection administrative ou judiciaire. Alors ensemble mobilisons-nous pour une société digne de ses enfants.  En effet, la loi oblige chaque français à signaler toute suspicion de maltraitance perçue dans son entourage (article 434-3 du Code pénal). Pourtant, les récents procès concernant les meurtres de Kenzo (2 ans) et de David (8 ans), nous prouvent que le silence tue encore. Une nouvelle fois, l’entourage des petites victimes avait connaissance des maltraitances répétées, mais n’a pas alerté. Pourquoi ce silence ? Beaucoup invoquent la crainte de se tromper. D’autres considèrent que l’éducation des enfants est de la seule responsabilité des parents. Certains n’ont simplement pas su vers quelles institutions se tourner» explique-t-elle.

    «Alors comment vaincre ce silence meurtrier ?  En sensibilisant le grand public, tout d’abord, via les réseaux sociaux et les médias. Mettre en avant l’existence d’équipes de femmes et d’hommes, à leur écoute, pour protéger chaque enfant potentiellement victime. Le premier confinement nous a prouvé l’efficacité de cette sensibilisation : grâce aux campagnes d’information du gouvernement et des associations, les citoyens ont pris conscience du rôle qu’ils avaient à jouer. La part des voisins dans les appels reçus par L’Enfant Bleu durant cette période est passée de 2 à 16 %. Rappelons que notre association a créé le site alertersauver.org, qui permet à chacun de s’informer sur la maltraitance des enfants et d’identifier les interlocuteurs auxquels s’adresser en cas de doute. Les divers professionnels exerçant auprès des enfants ont également un rôle décisif. Pour cela, il est essentiel qu’ils soient formés aux repérages des signes de la maltraitance infantile et au recueil de la parole de l’enfant. Mais aussi qu’ils soient informés et accompagnés pour donner l’alerte. Enfin, s’agissant des petites victimes, il nous faut développer la prévention en milieu scolaire. Une action qui fait ses preuves et qui se doit d’être déployée dans tous les établissements, comme le recommande le code de l’Éducation (Article L542-3). L’objectif de ces interventions est notamment d’aider les enfants à connaître leurs droits et à identifier les adultes protecteurs. Chaque famille doit pouvoir élever ses enfants selon ses valeurs et ses croyances dans le respect des droits de l’enfant et des lois de la République. Nous devons néanmoins tous nous sentir concernés et responsables. Il est de notre devoir d’alerter, dès la moindre suspicion, pour sauver un enfant en danger. Le silence tue ou blesse à jamais» conclue Isabelle Debré