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vanvesauquotidien - Page 291

  • LE CHALLENGER CLUB DE VANVES DECOUVRE LE «CAPT’N O D D" de la JCEF

    Les adhérents du Challenge Club de Vanves découvriront ce soir à l’hôte mercure,  un « serious game » à destination des chefs d’entreprise pour jouer collectif autour des 17 Objectifs du Développement Durable qui a été mis au point les bénévoles de la Jeune Chambre Économique Française (JCEF) : « Capt’n O.D.D », en partenariat avec le Pôle Eco-conception et CiviTime. Objectif : emmener les décideurs économiques et les chefs d’entreprises sur le terrain du développement durable, en mode « happy business » !

    Capt’n O.D.D », en référence aux Objectifs du Développement Durable porté par l’ONU à horizon 2030, est un serious game conçu par les bénévoles de la JCEF en partenariat avec le Pôle Eco-conception et CiviTime. Lancé officiellement le 16 septembre 2021 dernier à Paris, à l’occasion d’une soirée labellisée « La France en transition saison 2 ». C’est un jeu de cartes avec plateau en mode collaboratif de 2 à 5 joueurs. Les joueurs sont tous des créateurs d’entreprises. Ils ont pour objectif avec les autres joueurs d’obtenir un maximum de points à la fin du chronomètre. Ces points peuvent être impactés par des « Malus ». Le jeu s’adresse en particulier aux entreprises et aux décideurs économiques afin de sensibiliser ce public sur la thématique du développement durable : Comment une entreprise qui produit des déchets peut trouver des solutions durables ? En quoi isoler thermiquement mon usine peut impacter mon entreprise ? Pourquoi le numérique responsable devient une priorité sur un territoire ?

    Le jeu peut sensibiliser différentes organisations : des institutions, des entreprises, des associations, des entreprises de l’économie sociale et solidaire ! Déployé dans toute la France depuis la rentrée 2021 à l’occasion d’ateliers en présentiel, « Capt’n O.D.D » permet à la JCEF et son écosystème de se fédérer autour d'une idée commune : les objectifs de développement durable. Une façon innovante de se projeter dans des pratiques plus juste, verte et transparente à long termes !

    Les réactions sont intéressantes : « C’est un jeu ludique, intéressant qui nous a permis d’échanger sur les enjeux du développement durable. La partie « Quiz» nous a appris pas mal de choses sur des questions d’actualité ! Ce qui est intéressant c’est que les joueurs ne sont pas les uns contre les autres, c’est vraiment un jeu d’équipe. Il y a une complémentarité entre chaque joueur »… « Il faut vraiment une collaboration entre les joueurs pour que ça marche ! ça permet de déconstruire les certitudes que l’on peut avoir sur le sujet du développement durable, sur le changement climatique… » (Pierre Menegaldo, ENEDIS). « Ça a permis de passer vraiment un bon moment, je pense que c’est un très bon outil pour sensibiliser les entreprises aux questions des Objectifs de Développement Durable » (Pauline Fiquemont, MEDEF)

  • CHRONIQUES DES PRESIDENTIELLES A VANVES : ATTAL ADOUBLE PAR SANTINI

    A lire les propos d’André Santini sur Gabriel Attal rapporté par le Figaro, certains vanvéens n’en sont pas revenus . «C’est un garçon qui a su s’imposer par son travail. Il a réussi à négocier avec moi, ce qui est une preuve d’intelligence. Il est réellement politique», confiait ce ex-député et ex-ministre qui l’a vu atterrir dans sa circonscription qui couvre sa ville voilà 5 ans.  Quel beau cadeau d’anniversaire pour cet élu vanvéen-porte parole du gouvernement qui a célébré ces 33 ans ces jours-ci.   «Les accrochages de 2017 sont oubliés, alors que Gabriel Attal devrait sans surprise briguer un deuxième mandat de député en juin prochain. Fort d’une popularité soudaine, acquise à la faveur des crises successives, sur lesquelles il a été amené à s’exprimer. Grâce aussi à la confiance du président: c’est lui qui est choisi, la semaine dernière, pour participer au JT de 20 heures de TF1 devant plus de 6 millions de téléspectateurs» remarquait le journaliste.

    «En devenant porte-parole du gouvernement, en 2020, la mission semblait pourtant hasardeuse. «On m’a dit: “Dans six mois, tu seras cramé”. Ça fait un an et demi et je ne me sens pas cramé», sourit-il» ajoutait il en notant qu’il suscite quelques jalousies et irritations chez certains ténors de la Macronie. Lui qui rêvait de quitter le gouvernement pour rejoindre l’équipe de campagne comme porte parole du candidat, est obligé est de rester à son poste vu les événements  : «La crise en Ukraine a profondément changé la donne. J’ai compris que, dans ce contexte de forte inquiétude des Français et de mobilisation de l’État, on me considérait comme étant plus utile au gouvernement» confiait il au Figaro. «Ça ne m’empêche pas de défendre la candidature du président quand j’en ai l’occasion, comme tout membre du gouvernement». Cette double casquette, de «sniper» en campagne et de porte-parole du gouvernement, ulcère l’opposition remarque le Figaro 

  • LES RESTRICTIONS LEVEES A VANVES 2 ANS APRES LE PREMIER ET DUR CONFINEMENT MALGRE UN FREMISEMENT DE L’EPIDEMIE

    Voilà deux ans, un mardi à midi, le premier confinement à cause de l’épidemie du COVID-19 entrait en vigueur  du 17 Mars au 11 Mai. Tout le monde se souvient de ce weed-end du 15 Mars : l’annonce samedi soir par le Premier ministre de la fermeture des bars-cafés-restaurants-hôtels, vécu comme un véritable coup de massue par les restaurateurs, comme le racontait le patron du Petit Vanves sur le blog. Le 1er tour du scrutin des élections municipales, le dimanche, sous haute protection sanitaire dans les bureaux de vote avec respect des distanciation, gestes barrières, masques, gel hydroalcoolique… où l’ambiance était sereine, mais peu fréquenté (52,96%). Et le confinement annoncé le lundi lors de l’allocution du président de la République qui déclarait : «Nous sommes en guerre ! », et appliqué le mardi à midi

    Tout cela parait bien loin alors que toutes les restrictions ont été levées depuis hier, Vanves retrouvant une vie normale avec toutes ces animations du printemps re-programmées, et qui avaient été annulées. Des images restent dans le souvenir des vanvéens : Ces longues files d’attente à Carrefour Market, Intermarché, Franprix qui étaient dévalisé au début, mais aussi devant les pharmacies de Vanves, les autres commerces d’alimentations restés ouvert au marché, avec un circuit barriéré. Ces rues désertées et ce silence qui s’était abattu sur la ville seulement perturbées vers 20H par ses applaudissements pour remercier le parsonnel soignant. « Il devenait possible de percevoir les sens de la nature comme le chant des oiseaux ou les bruissements des feuilles dans les arbres. Autant de sonorités qui sont habituellement difficiles à entendre, masquées par le bruit incessant de la circulation et des activités humaines»  

    De nouveaux rendez-vous s’étaient instaurés grâce au net - les vidéos où le maire donnaient des informations et des recommandations diffusées chaque vendredi sur le site Facebook de la ville – ou à Zoom – avec les visio-apéro dominicaux instaurés par le péce curé Auville pour partager quelques nouvelles, échanger, adresser un message, donner quelques nouvelles. Beaucoup d’initiatives étaient lancées par la ville comme ce réseau de solidarité municipal qui a rassemblé jusqu’à 170 bénévoles et qui peut être ré-initié pour chaque coup dur, pour trouver des masques, ouvrir des centres de dépistages, soutenir les commerçants dont certains, non essentiels, avaient fermés, grâce à GPSO, le Département et la Région.

    Mais tout cela parait bien loin, même si l’épidémie reste encore très présente, car cette levée de ces restrictions intervient alors qu'un «frémissement épidémique»  se fait sentir sur le territoire national et  niveau régional. Les chiffres de l'Agence Régionale de Santé d’Ile de France montre un taux de positivité à 12 %, soit 1,1% de plus que la semaine dernière.  Après une période d'accalmie du fait de la décrue du variant Omicron, les chiffres de l'épidémie de Covid repartent à la hausse par rapport à la semaine dernière dans tous les départements franciliens. Sur l'ensemble de la région, tous les départements affichent un taux d'incidence supérieur à 200 pour 100 000 Habitants (474 à Paris)  Pour rappel, le seuil d'alerte fixé par le gouvernement se situe à 50 cas pour 100 000 habitants. La tension hospitalière est également en hausse dans plusieurs départements. Bien qu'elle reste modérée dans la plupart d'entre eux, elle atteint cette semaine 51% en Seine-Saint-Denis et 62% dans la Seine-et-Marne.

    «Cette hausse du nombre de cas s'explique par le fait que la population ne pense plus au COVID, car elle a d'autres sujets de préoccupation comme le conflit en Ukraine ou la campagne présidentielle. Il s'agit d'un relâchement généralisé, car on ne parle plus du COVID et que certaines personnes annulent même leur dose de rappel en prétextant l'accalmie des contaminations» expliquait un infectiologue à l'Hôpital Poincarré-Garches qui alertait sur la temporalité utilisée par le gouvernement. «Si l'on veut apprendre à vivre avec ce virus, il faut s'inscrire dans une temporalité longue. Il ne s'agit pas de dire aux gens que le virus va disparaître du jour au lendemain. Le fait d'avoir fixé le 14 mars comme date de fin des restrictions a donné l'impression à la population que la pandémie était terminée, mais l'hypothèse d'un rebond épidémique plus important ne peut pas être exclu à ce stade» concluait-il.