Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville vanves - Page 8

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : LES MAIRES FER DE LANCE POUR DEFENDRE LES DEPARTEMENTS

     «On est si convaincu de la malfaisance de ce que on nous fait, que votre présence ce soir l’affirme !» a déclaré Patrick Devedjian président du département des Hauts de Seine à l’origine, avec ses 6 collégues franciliens, de cette réunion pour défendre  «ses départements qui doivent devenir le moteur de l’attractivité de l’Ile de France». Prés de 1500  élus (maires, conseillers régionax et départementaux), ceints de leur écharpe tricolore,  avec des représentants des forces vives avaient fait le déplacement dont certains vanvéens, Mercredi soir jusqu’à la Seine Musicale. Pas de grands discours éloquents et violents, mais des témoignages des acteurs de terrain départementaux, à travers deux tables rondes consacré à lasolidarité et aux investissements, même si  Gérard Larcher, président du Sénat, Dominique Bussereau président de Départements France étaient aux côtés des 7 présidents de départements ou leurs représentants.

    Ce sont surtout les maires qui ont portés le fer, beaucoup ayant signé l’appel des élus d’IDF pour une métropole ambitieuse, solidaire et démocratique avec les départements d’IDF  (plus de 500 représentants 7 millions d’habitants dont le maire de Vanveset la vice présidente du Conseil départementale) : «P.Devedjian expliquait que 9% de la dette publique est le fait des collectivités locales, et que de leur part dans l’investissement est de 75%. Si les collectivités locales n’ont plus la possibilité de le faire, c’est 53,6% de la commande publique qui disparaitrait » indiquait un président d’une association départementale de maires seine-et-marnais en insistant sur «la capacité des départements à aider les communes à investir alors que l’Etat nous a retiré 30% de dotations et de notre capacité d’autofinancement. Heureusement qu’il y a le département qui a créé un fonds d’équipement rural et mis en place des contrats avec les communes. C’est le maillon le plus juste de péréquation, de solidarité. Si c’est le cas (suppression des départements franciliens), ce sera la mort des départements, mais aussi des communes. Ce sera un acte irresponsable pour notre démocratie» a-t-il conclu. « Est-ce que c’est vraiment utile de supprimer des départements. Aucun autre échelon ne peut mieux répondre aux problèmes de notre quotidien » indiquait un président d’une interco des Yvelines

    Quatre exemples frappants ont été donnés. Tout d’abord sur la Seine Musicale qui est «l’exemple de ce peut faire un département. En même temps que la Philarmonie qui a coûté 3 fois plus cher et été livrée en retard, la Seine Musicale était livré dans les temps avec un respect stricte du coût des travaux» indiquait Patrick Devedjian. Ensuite l’U Arena : «Nous avons eu besoin du département à deux occasions : Pour nous aider à trouver le terrain (des Bouvets) parce qu’il créait une liaison entre la Défense et Nanterre. Pour convaincre les banques de nous aider, ce qu’il a fait notamment en décidant d’installer son siège dans les bâtiments de l’U Arena» a témoigné le Directeur général de l’U Arena en ajoutant que «le Racing 92 est une exception car il est le club d’un département et non d’une ville. C’est une force d’être attaché à un département!. Enfin,  la création d’une plateforme pour mener à bien le projet de 2 foyers de vie pour handicapés dont un pour les autistes qui n’aurait pas été possible sans la volonté des deux départements Yvelines/Hauts de Seine, et surtout le génopole créé voilà 20 ans qui a reçu l’appui et de la région, et du département de l’Essonne.

    «Le président de la République nous a dit tout le bien qu’il attendait de la Décentralisation à l’Elysée, pour les vœux, lundi soir. Mais si le gouvernement et l’administration l’écoutaient, ce serait mieux ! Ces départements marchent, et ils sont l’interlocuteur de tous les jours de ses habitants. Dans une France qui veut innover, il ne faut pas casser ce qui marche. Tous les départements se sentent solidaires. Si on commence à casser les départements en changeant la carte, ce sont tous les départements qui sont concernés» a conclu Dominique Bussereau président des départements de France. Comme l’exprimait Philippe Laurent, maire de Sceaux dans le Parisien : « On a tellement d’autres travaux plus prioritaires à mener pour les logements sociaux, les transports en commun…Ce serait dommage de tout foutre en l’air. Si on supprime les départements, on en a pour dix ans de merdier ! ».

  • AU CARREFOUR MARKET DE VANVES LA SITUATION COMMENCE A S’AMELIORER

    Le Blog indiquaitvoilà présdedeuxsemaines que l ’action de l’association Agir sur le Plateau ainsi que les réactions sur les réseaux sociaux et de quelques membres du Conseil de Quartier avaient produit des effets : les allées de ce supermarché avaient  vide de toute palette et tout carton qui entravaient la circulation des clients et leur accès aux rayons. Des écriteaux indiquaient même pourquoi certains produits manquaient ou les raisons d’un dysfonctionnement dans certains rayons. A la satisfaction des habitués qui ont réagis sur les réseaux sociaux en se félicitant d’avoir été écouté par son directeur  (par  intérim) que des membres de l’association ont même rencontré le 24 Novembre dernier.

    Il leur a indiqué qu’il prévoit de revoir avec ses différents prestataires ou sous-traitants les problèmes de livraison, horaires et volumes, de corriger les différents points techniques défaillants ainsi les portes des réfrigérateurs et congélateurs, les lignes de caisse endommagées, l’étiquetage manquant,  les casiers de consigne défectueux etc….reconnnaissant « qu’il en va du respect de l’hygiène, de la chaîne du froid et de l’information du consommateur ». Il a constaté l’état de l’espace de déchargement et de sa dégradation, du sol au plafond, envisageant le nettoyage de l’enseigne appliquée sur le 52 rue Jean-Jaurès ainsi que celui du mur arrière. Enfin, il a proposé revoir le recrutement et en conséquence les plannings des personnels, afin de mieux fournir les caisses.

  • VANVES AU CREUX DE L’OREILLE

     

     POLITIQUE : LES CONVICTIONS DU PERE CURE AUVILLE

    Avec cet édito « Quand la calotte se mêle du vote » le pére Bertrand Auville (sur la photo avec MM Santini et Gauducheau), curé de Vanves mais aussi en charge des relations des relations avec les élus des Hauts de Seine pour le diocèse des Hauts de Seine, faisait voilà une semaine, un bilan de son action à la veille d’échéances importantes (Primaire de la Droite et du Centre, Elections présidentielles et législatives) tout en annonçant un débat le 7 Décembre 2016 à Boulogne sur le théme « un tour d’avance sur les présidentielles » à partir des réflexions proposées par les Evêques de France. Il en tire trois convictions : Tout d’abord « En matière politique, il n’y a ni homme providentiel, ni parti idéal, ni solution miracle. La politique, comme la vie d’ailleurs, est affaire de compromis, de moindre mal. C’est un chemin vers le bien, ni plus, ni moins ». Ensuite « en mettant son bulletin de vote dans l’urne, le chrétien doit toujours viser le bien commun, qui n’est ni son intérêt personnel, ni celui de son clan,de sa corporation, ni même de son Eglise. Le chrétien de devrait jamais voter à l’affect ! ». Enfin « l’homme, tout l’homme et tout homme, voilà le critère ultime de discernement pour un vote éclairé par l’évangile ».   

    DEBRE : POURQUOI JE VOTE FILLON

    Dans une lettre distribuée à Vanves depuis ce matin, Isabelle Debré, Sénateur des Hauts de Seine et de Vanves, explique pourquoi, elle vote François Fillon à la primaire de la droite et du Centre dont le 1er tour se déroule Dimanche prochain. « Fort de son expérience d’élu et de ses responsabilités au gouvernement de la France, de ses nombreux déplacements dans nos régions depuis 2012, de ses rencontres avec les Français, des contacts noués avec tous ceux qui créent, inventent, innovent, s’impliquent, François Filon a bâti un projet solide dont les maîtres mots sont liberté, autorité et réalisme » indique Isabelle Debré. «François Fillon est avant tout un gaulliste, un homme courageux, expérimenté, intègre et honnête portant la France en lui, réservé et chaleureux, rigoureux et engagé au service d’une seule cause  son pays, sa grandeur et le rassemblement des français »   

    SKATE PARK :

    Si Boris Amoroz (FG/PC) n’a pas posé une question orale sur le Skate Park comme le lui  a reproché le groupe PS, c’est tout simplement parce qu’il avait sollicité le maire par une question écrite posée le 5 Octobre à laquelle il a reçut réponse le 12 Octobre, et qu’il a partagée avec les habitants du Plateau. « On peut d'ailleurs constater la réponse précise et de bonne foi du Maire. Vous noterez que l'association Agir pour le Plateau a repris cette information sur son profil Facebook le 16 Octobre. Après, si la vision de la politique du groupe socialiste au Conseil Municipal de Vanves se limite à faire de l’esbroufe... » commente t-il. Le maire indiquait, comme l’article de VI le précise, qu’un groupe de travail avait été constitué avec les participants particulièrement motivés par le projet de reconstruction pour recenser les besoins, qu’un nouveau projet a été redessiné en tenant de leurs remarques,  qu’un prestataire  spécialisé dans les skate Park avait été missionné début Octobre afin de réaliser un audit et une étude, qu’une réunion le 19 Octobre a permis de confirmer  un projet qui a eté présenté au CMJ dont le coût est estimé à 300 000 €