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ville de vanves - Page 675

  • VANVES VICTIME DU FIASCOLIB

    L’état d’une partie des trottoirs de la rue de la République illustre parfaitement le fiascolib dénoncé par les groupes LR et UDI de la Métropole et de la ville de Paris. Le chantier de cette station Vélib’ n’est pas terminé, avec encore des barrières qui réduit le passage des piétons au niveau de la Banque Populaire et de l’entrée de l’immeuble, avec une partie encore en terre au lieu d’être bitumée depuis le début de l’année, alors que des vélos commencent à être présent. Les riverains commencent à en avoir assez 

    C’est tout à fait symptomatique de la situation vécu par les abonnés, car Smovengo a pris du retard pour transformer les stations Vélib. Le groupe LR du Conseil de Paris a demandé qu’au cours du mois de Juin, un hackaton du système Vélib soit organisé pendant un week-end  pour le fiabiliser et améliorer l’application Web en réunissant des développeurs (amateurs). «Ils pourraient travailler par équipe pour proposer des améliorations concrétes de l’application mobile utilisée par les abonnés, mais aussi du système informatique sur lequel repose le service» explique t-on au groupe LR qui demande à Smovengo  de s’engager sur un calendrier d’un retour à 100% de Vélib. 

    Les élus Constructifs (en voie d’être LREM) demandent au maire de Paris de s’engager, dans le cas où le nouveau calendrier ne serait pas respecté par l’opérateur, à envisager avec le syndicat, une modalité de sortie du contrat et les conditions de service public du Vélib. La France Insoumise (LFI)  propose carrément que la ville de Paris engage la municipalisation du service. Quand aux écologistes parisiens, ils  ont proposé la mise en place exceptionnelle pour l’année 2018 d’une aide financière à la location longue durée de vélo chez les loueurs privés pour tout abonné vélib’ longue durée en faisant la demande, et qui ne souhaitent pas faire l’acquisition immédiate d’un vélo 

    Mais ce n’est pas tout car le syndicat mixte Vélib/autolib  et  la ville de Paris ont engagé un brasde fer avec Bollloré qui veut se faire rembourser une « dette abyssale » d’autolib, chiffré à 340 M€ ne pouvant prendre à sa charge plus de 60 M€, chiffre contestée par le syndicat mixte. La ville de Paris a été confrontée à un système qui n’était pas rentable tout seul, et qui avait besoin de subvention publique pour assurer l’équilibre. Ce service a connu une baisse de fréquentation dû à l’apparition d’Uber. Et le fait d’en faire un service métropolitain avec des bornes installés dans des endroits moins rentables, dans les villes riveraines, auraient aggravés sa situation financière.

    Mais voilà, le modèle change et évolue : les systèmes mis en service avec DSP (délégation de service public) se heurtent aux nouveaux modèles de free flotting électriques qui atteignent leur rentabilité au bout de deux ans. «On devrait revoir le code des marchés publics pour pouvoir gérer la mobilité car si les infrastructures durent, les services évoluent très vite. Et il faut rendre agile les collectivités locales» expliquait Jean Louis Missika, adjoint au maire de Paris (Urbanisme) en parlant tant d’autolib que de Vélib. D’ailleurs, Anne Hidalgo a évoqué une nouvelle piste de systèmes d’automobiles en «free-floating» : «Des constructeurs ont des propositions opérationnelles, il n’y a aucune raison d’attendre». Une commission devrait être prochainement créée, où siégeront l'ensemble des élus parisiens et métropolitains, «pour suivre l'évolution du sujet». 

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    JEAN CHRISTOPHE LAGARDE A VANVES

    Jean Christophe Lagarde était à Vanves, lundi soir, pour l’assemblée générale de la fédération UDI des Hauts de Seine qui se déroulait dans le préau de l’école Marceau avec le sénateur Hervé Marseille qui a été réélu président de cette fédération. Président le groupe UDI au Sénat, il a commenté les turbulences en Espagne, en Italie, après le Brexit, la droite populiste en Allemagne, en Autriche… «L’Europe tangue. Plus que jamais, elle doit être au cœur de nos préoccupation» a-t-il déclaré

    LE NOUVEL EVEQUE DU 92 A VANVES HIER
    Monseigneur Matthieu Rougé, vient d’être nommé,  évêque de Nanterre, hier, 5 Juin 2018 par le Pape François. Et il était à Vanves ce jour là ! C’est pourquoi, à midi, les cloches de Saint Remy ont sonné à toute volée, car c’est la tradition lorsqu’un évêque est présent dans une paroisse. Il rencontrait le pére curé Auville qui est délégué aux relations institutionnelles du diocése de Nanterre. Il paraitrait que des membres de sa famille habitent Vanves Le père Matthieu Rougé était jusqu’à présent curé de la paroisse Saint-Ferdinand - Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus et Doyen des Ternes dans le 17ème arrondissement de Paris. Il est par ailleurs éditorialiste sur RCF.

    VIDEOPROTECTION AU CONSEIL DE PARIS

    Le groupe UDI  du Conseil de Paris a fait une proposition qui peut intéresser Vanves : Il a proposé que la ville de Paris s’engage sur un calendrier de déploiement de caméras de surveillance à proximité des espaces les plus pollués de la capitale en raison de l’incivilité des utilisateurs, comme par exemple, en fonction des périodes, la rue Louis Vicat envahi par des dépôts sauvages. Leurs du groupe des élus constructifs (ex-LR macronistes) souhaitent en augmenter le nombre spécialement dans les arrondissements sous-équipés dont fait partie le 15éme arrondissement (avec le 112me, 17éme, 20éme) et développer la vidéoprotection intelligente avec reconnaissance faciale.

  • A VANVES, ILS ONT EU LA PEAU DU BANC SUR LA PLACE DU VAL

    La vie du banc de la place du VAL (De Lattre de Tassigny) ne tenait qu’à un fil depuis la transformation de la boulangerie à la Rentrée de Septembre 2017. Il gênait manifestement la nouvelle terrasse extérieure des Toqués du Pain. Il avait déjà résisté à un premier enlévement, mais les habitués de cette petite place avait protesté, dont l’ex-libraire, un certain monsieur Dayan, qui venait profiter du beau temps. Et personne n’osait y toucher tant que M.Bettane était vivant, car il en profitait bien venant souvent s’installer (comme sur la photo) quotidiennement avec son épouse, ses amis. Malheureusement la mort l’a emporté en Décembre. Mais Ils n’ont pas osé y toucher jusqu’au départ à la retraite de Luc Atias, le patron du Relais de Vanvres.

    Et la semaine derniére, ils l’ont enlevé. Il parait que madame Bettane est outrée et que des riverains n’en pensent pas moins. D’ailleurs ses détracteurs ont un argument imparable : "ce banc attirait les clochards, gênant pour nos commerces". A part ou deux clochards ou individus alccolisés, ce sont surtout les jeunes qui en profitaient les beaux jours, du lycée Michelet ou les jeunes habitués de Vanv’En Poupe. Les services de la ville aurait pu le déplacer s’il gênait la terrasse des Toqués du Pain. Non, ils ont préféré l’enlever car comme cela, plus personne ne pourra profiter de cette charmante petite place, sauf à devoir s’installer sur la terrasse de la boulangerie. Et s’ils n’en ont pas envie. Circulez ! Y a rien à s’asseoir !  
    Il est intéressant de noter, alors que beaucoup d’études et de colloques réfléchissent  à « comment adapter la ville aux seniors » dont le nombre va augmenter dans les années à venir, que Vanves fait tout le contraire de ce qui est préconisé en matière de mobilier urbain : Ainsi au lieu de multiplier les bancs pour les seniors qui ont du mal à marcher et leur permettre de souffler sur le trajet emprunté entre leur domicile et les commerces de proximité et même dans le marché de Vanves, on les supprime pour des raisons bassement commerciale ou sécuritaire. Et on voit des seniors qui vont chercher leur pain, faire leurs courses à Franprix ou à la charcuterie, marcher difficilement entre les places du VAL, de la République ou du président Kennedy, sans pouvoir s’asseoir pour respirer un peu, sauf sur les petits murets en face de l'église.