Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 69

  • VANVES AU QUOTIDIEN EN VACANCES

    VANVES AU QUOTIDIEN

     

    PREND QUELQUES JOURS

     

    DE VACANCES

     

    ET VOUS DONNE

     

    RENDEZ-VOUS

     

    LE 26 FEVRIER

    A ne pas manquer cette semaine à Vanves et à côté :

    Vendredi 23 Février

    A 19H30 à la maison des Hauts d’Issy, 16 Rue de l’Abbé Derry : Réunion « L’Europe à Cœur – La place de l’Europe dans le nouvel ordre mondial » avec Bernard Guetta, député européenne organisé par Renaissance de la 10e circonscription (Vanves/Issy)

    Samedi 24 Février

    A 9H au parc des Expositions  : Ouverture du salon de l’agriculture

    Dimanche 25 Février

    A 17H30 à l’Hôtel de ville : Hommage à Guy Janvier

     

  • LE MYSTERE DE LA CHAMBRE FROIDE DE VANVES

    Des dizaines de maisons abandonnées, de rues, même de quartiers dissimulent des légendes effrayantes et bien tenaces de fantômes ou de malédictions.. En Île-de-France, de nombreux sites ont encore la réputation d’être hantés, des plus célèbres comme les catacombes ou l’Opéra de Paris, aux maisons abandonnées. Tous les passionnés de ces phénomènes connaissent cet espace vide non construit depuis des décennies rue de Biévres et l’histoire de cette « maison qui n’existe plus » évoqué par le poéte et résistant Jacues Yonnet dans « Rue des Maléfices ». Ou cette maison au style néogothique dans le quartier de Pigalle qui serait hantée par l’esprit d’une femme de chambre qui y aurait été assassinée dans l’escalier à coups de tisonnier, au début du XXe siècle. Les propriétaires qui s’y sont succédé auraient été victimes de ses tourments. Enfin, le Manoir Pavlovich, qui se trouve quelque part en Seine-et-Marne, qui aurait été maudite par son ancienne propriétaire

    Vanves n’a pas été épargné par ces phénomènes à écouter le témoignage de Celia. Dans la partie avec ses hauts murs de la rue de la République, il y avait un hôtel qui se dénommait le Bienvenu, voilà plusieurs années, qui a disparu : « Durant une mois d’Août  particulièrement chaud de la fin des années 1990, la petite fille de la grande mère qui tenait cet hôtel, m’a dit qu’il y avait une chambre hantée, au troisiéme étage, porte gauche avec une poignée en porcelaine bleue et blanche, que l’on atteignait par un escalier en bois. Il y faisait un froid polaire en plein été » raconte-t-elle. Et elle est allée voir avec sa copine : « Lorsque je suis entrée,  la fenêtre de la chambre était givrée et il y avait  des véritables pics de glaces qui se formaient, comme des stalatyctes » témoigne-t-elle.

    « Elle me racontait  que les gens qui louaient cette chambre, demandaient très rapidement à en changer ! Comme elle posait beaucoup de problèmes, sa grand mère ne l’a plus louée. Il y avait comme quelque chose qui empêchait d’entrer ou de rester dans cette chambre » poursuit Celia  qui n’en pas moins remarqué par rapport à sa copine :« Elle me disait que lorsqu’il y entrait, elle entendait et elle voyait des choses ». Mais ce n’est pas tout : « Elle provoquait des événements bizarres lorsqu’elle nous rendait visite. Il était impossible d’allumer une bougie qui était tout de suite soufflée. La radio et la TV étaient brouillée ou s'éteignaient… ». Un mystère que n’a jamais percée Celia passionnée par ces histoires de fantômes et sites hantés, parce qu’elle l'a perdue de vue. 

  • L’ACTUALITE DE GPSO A VANVES EN BREF

    En dehors de l’adoption à l’unanimité du PLUi lors de son conseil de territoire le 7 Février dernier, l’actualité à GPSO concerne actuellement la collecte des déchets alimentaires qui continue de se développer secteur par secteur jusqu’en 2025 et la modernisation des infrastructures d’éclairages tant à l’échelle du territoire que dans ses propres locaux  

    COLLECTE DE DECHETS ALIMENTAIRES  

    Depuis un an, GPSO commencé à déployer la collecte des biodéchets dans ses 8 communes en porte-à-porte, quel que soit le type d’habitat, sans avoir recours aux points d’apports volontaires, alors que l’habitat sur GPSO est à 92 % collectif. Dans plusieurs secteurs, les usagers ont reçu un bio seau, un premier rouleau de sacs biodégradables et, surtout, une nouvelle poubelle de couleur marron dans deux secteurs de la ville (autour du lycée Michelet depuis Février 2023, quartier du Plateau jusqu’au carrefour de l'Insurrection) qui sera entièrement couverte en  2025 (carrefour de l’Insurrection jusqu’au Clos Motholon en Novembre prochain). «Au 1er janvier 2024, 28 % des foyers sont desservis et 44 000 bio seaux ont été distribués sur un total de 175 000 foyers » indiquait GPSO qui indiquait que 635 tonnes de déchets alimentaires ont été collectés en 2023 sur son territoire, ce qui représentait 190 tonnes de compost produit. «Pour bien se rendre compte, cela représente près de 10 000 sacs de 20 kg de compost, qui pourraient fertiliser près de 18 terrains de foot. En termes de valorisation énergétique, 635 tonnes d’ordures alimentaires pourraient aussi chauffer 19 maisons de 110 m2 ». Car une fois triés et collectés, ces déchets sont amenés en usine de méthanisation et centre de compostage. Là, ils sont transformés en biocarburant, électricité, chaleur, engrais naturel et compost. 

    UN ÉCLAIRAGE PLUS EFFICIENT ET DURABLE

    Lors de la réunion publique sur le bilan de mi-mandat, le maire avait indiqué que grâce à GPSO, il avait pu remettre à niveau la ville en citant notamment l’éclairage à un moment où l’interco a entrepris un  plan de rénovation d’envergure de ses infrastructures d’éclairage. Des points lumineux équipés de sources LED, moins énergivores, produisant une lumière blanche plus agréable et aux optiques plus performantes que les lampes traditionnelles sont progressivement déployés, permettant de diminuer la puissance électrique installée. Ce déploiement s’accompagne de la mise en place systématique de la télégestion de l’éclairage, limitant ainsi les déplacements des techniciens. 147 Points lumineux ont été rénovés en 2023 (représentant 318 000 €), 67 le seront en 2024, en permettant parait il une économie de puissance de l’ordre de 75%. En parallèle GPSO a lancé l’étude d’un Schéma de cohérence d’aménagement lumière (SCAL) sur l’ensemble de son territoire de GPSO. L’objectif est de définir les prescriptions techniques qui permettront d’optimiser le fonctionnement de l’éclairage, en identifiant les besoins propres à chaque ville tout en assurant une cohérence à l’échelle du territoire.  Le SCAL deviendra un support d’aide à la décision pour tous les aménagements réalisés par GPSO afin d’éclairer au bon moment et au bon endroit, en alliant la performance énergétique, la préservation de la biodiversité et la qualité de l’ambiance lumineuse. Enfin, des mesures ont été prises depuis octobre 2022 afin de diminuer les consommations d’énergie liées à l’éclairage public. Si pour certaines villes des extinctions sont mises en œuvre entre 1h et 5h du matin  comme à Chaville, Meudon, pour d’autres, l’intensité lumineuse est diminuée comme  à Vanves Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Marnes-la-Coquette, Sèvres lorsque cela est possible techniquement