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jeunesse

  • LES TROIS NOUVEAUX AXES D’ACTION DE L’ESCAL A VANVES – JEUNES, FAMILLES, SENIORS - POUR CREER DU LIEN

    Une centaine de vanvéens ont participé mardi soir à la Palestre à une présentation du nouveau projet social de l’ESCAL ainsi que sa nouvelle organisation suite au renouvellement de la CAF  pour ce centre socio-culturel pour les 5 ans à venir.

    «Le terme de centre socio-culturel n’a pas été choisi au hasard ! socio  pour les changes entre tous ceux qui formons une communauté inter-générationnelle. C’est une famille du plus petit au plus âgé. Mon souci est de transposer au niveau communal ce qui vit une famille.  Ce centre accueille des enfants, des ados, des familles où on aime bien échanger sur ce que l’on fait , pour mieux se connaître » a expliqué Bernard Gauducheau. «Faire société ensemble, vous avez résumé ce qu’est une telle structure» a constaté la responsable de la Féératuin française des centres sociaux

    «Avec la nouvelle équipe municipale, on a renforcé nos services. On avait encore des secteurs cloisonnés notamment à l’ESCA  qu’on a cherché à décloisonner. Il doit y avoir un brassage de toutes les générations » ajoutait le maire en reconnaissant que l’ESCAL a une capacité extraordinaire à se remettre en question depuis qu’il a été créé et dirigé par M. Gervais. «On a surtout une chance d’être dans une ville où on nous laisse agir et proposer » ajoutait Y. Michaud, son directeur actuel qui travaille avec 23 collègues.

    Les trois axes du nouveau projet de l’ESCAL ont été présenté par une courte vidéo et discuté ensuite entre les participants réunis autour d’une table :  Tout d’abord, accompagner les jeunes à prendre leur place dans la cité et devenir les citoyens de demain. Ainsi  il n’y aura plus qu’une seule structure jeunesse au lieu de plusieurs, avec de nombreux  projets et intervenants, - la CAF finançant les postes des animateurs jeunesse – avec, pour commencer,   la création d’un CMJ à la Rentrée, la reprise des journées européennes avec un déplacement récent à Bruxelles…Il en est de même pour les seniors avec le SQUARE qui reléve maintenant de l’ESCAL  pour créér des liens. Ensuite,  pérenniser et renforcer l’accompagnement des familles. Enfin, favoriser et faciliter l’accès au droit pour tous qui s’est traduit depuis le début de l’année par l’aide aux démarches en ligne  

  • ELECTIONS MUNICIPALES A VANVES : GUY JANVIER CONSEILLER GENERAL PS : « Nous sommes dans la configuration de 1995 »

    Même s’il a pris sa revanche aux cantonales de 2004 et 2011, cette élection municipale, après sa défaite de 2001 puis de 2008 a un goût particulier pour Guy Janvier. 13 ans aprés, il souhaite qu’une victoire jette un pont entre son mandat (1995-2001) et celui qu’Antonio Dos Santos entamera (2014-20). C’est la raison pour laquelle, il se consacre pleinement à cette campagne, et a tenu à être sur la liste à la 13éme place. Il s’en explique sur le blog Vanves au Quoditien

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi vous êtes vous représenté sur la liste PS alors que vous avez démissionné du Conseil Municipal ?

    Guy Janvier : « J’ai démissionné du conseil municipal avec l’idée que si on voulait regagner la mairie, il fallait renouveler notre équipe – Anne Laure Mondon, Jean Cyril Le Goff, moi-même depuis 1989. Quand j’ai été réélu Conseiller Général, j’avais dit que, dans la perspective des élections municipales, on ouvre les représentants de l’opposition au conseil municipal à des personnalités nouvelles, et notamment à Valérie Mathey qui avait été ma suppléante au moment des cantonales et avec qui j’avais gagné.  Il fallait absolument, pour regagner cette ville, que cela ne repose pas uniquement sur Guy Janvier qui est connu, et sur les deux élus municipaux. Il faut ajouter l’idée du non cumul de mandat, repartant pour un mandat de conseiller général, je ne me sentais pas complétement utile au conseil municipal.

    Je suis de nouveau sur la liste à une position où je ne serais pas élu si on perd, hypothèse que je n’envisage pas, et où je serais élu si nous gagnons. En fonction de ce qu’Antonio Dos Santos souhaitera, je serais à la disposition du futur maire et de l’équipe municipale. Le fait d’être en position éligible à la place 13, petit clin d’œil à la chance, et d’être sur la liste, est une bonne chose 

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne ?

    G.J. : « C’est peut être ma diziéme campagne, entre les campagnes locales et nationales. J’ai un très mauvais souvenir de la campagne de 2008.  Donc, je vis très bien cette campagne 2014, parce qu’elle est bien organisé, cohérente, avec un directeur de campagne, Jean Cyril Le Goff, un candidat, Antonio Dos Santos qui est légitime. C’est une des raisons pour lesquelles, je crois en notre victoire. Car il y a une cohérence, une progression dans la campagne. Tout cela est de bon augure. Parce qu’aujourd’hui, on ne peut plus se permettre, dans les élections politiques, même locales, d’être des amateurs. La campagne a un caractére « professionnel » qui est bonne. Où je me trouve à l’aise

    VAQ - En quoi est elle différente de celle de 2008 ?

    G.J. : « En 2008, nous avions un problème de direction de campagne, puisqu’elle a fait défaut en plein milieu de campagne. Nous avons failli sur le document de campagne, puisque lorsque Robert Badinter est venu faire la première réunion publique, il n’était pas prêt. Nous n’en avions que 60 exemplaires, à trois semaines de l’élection. J’avais conçu un programme sur le développement durale, avec ses trois piliers, économique, environnemental et social. Il n’était pas mauvais. Et d’ailleurs, j’ai crû comprendre qu’un certain nombre de candidats aux prochaines élections, y avaient pioché un certain nombre de choses. Il était déjà vert avant que l’on puisse dire qu’il l’était. Mais nous avons surtout pêché sur l’organisation de la campagne. C’est pourquoi aujourd’hui, notre campagne me parait bien partie parce que l’organisation est bonne, et c’est fondamental en politique. Et je porte ce programme pour 2014-20 car il y a un certain nombre de choses qui me paraissent indispensables, la démocratie participative qui a été un de mes axes forts lorsque j’étais maire, la politique de la  jeunesse  et la cohésion sociale.

    VAQ - Quels sont les enjeux de cette élection municipale 2014 ?

    G.J. : « J’espère que nous allons pouvoir reprendre la mairie le 30 Mars 2014. Je suis moins optimiste qu’Antonio Dos Santos car je ne pense pas que cela se fera le 23 Mars au soir. Je suis assez confiant parce que nous sommes dans la configuration de 1995, avec une seule liste à droite, et 3 listes à gauche. En 1995, il avait manqué 17 voix à la liste de Didier Morin pour passer dés le premier tour. Et malgré cela, on a gagné de 2 voix. Pourtant, ce n’était pas évident avec les deux listes concurrente de MM Deniau et Poly. Je suis plus confiant aujourd’hui parce que Bernard Gauducheau et Isabelle Debré ne vont pas passer au 1er tour.  Je n’y crois pas une seule seconde parce qu’à Vanves, le PS est majoritaire déjà depuis quelques élections. J’ai battu Bernard Gauducheau en 2004 et 2011. François Hollande a fait 56% aux élections présidentielles. Le PS a fait 53% aux élections législatives. Tout cela fait que si Bernard Gauducheau ne passe pas au premier tou comme je le pense, nous aurons une réserve de voix importante que lui n’aura pas. Contrairement à 2008, nous avons à côté de nous, deux listes politiques, les Verts et le Front de Gauche. J’espére que l’écart entre l’UMP/UDI et le PS soit autour de 10 points. Comme nous avons fait alliance avec les démocrates, il est possible que l’écart soit un peu plus réduit. Quand on regarde le résultat des dernières élections, on s’aperçoit qu’à Vanves, on est à 52/53% à gauche, la droite à 46/47%. Il perd normalement une partie des démocrates qui nous ont rejoint. Ainsi, il n’est pas impossible que l’écart se réduise à 7 ou 8 points. Et dans ce cas là, c’est gagné. En tous les cas, ce sera serré. Et il n’y a pas de raison que cela ne se joue pas à 50 ou 100 voix, et que l’on gagne avec un faible écart. Mais on peut aussi gagner avec un score plus fort.

    VAQ - Comment avez-vous vu évoluer cette ville depuis 13 ans ?

    G.J. : « Je ne dirais pas en bien, parce que ce qui a manqué  à Bernard Gauducheau, nous l’apportons dans notre programme. Je pense en particulier à la rénovation du Plateau. J’y habite depuis 30 ans. Qu’est-ce qui a été fait depuis 13 ans ? Strictement rien.  Il a fait des choses dans le bas de Vanves que l’on peut d’ailleurs contester. En matière de jeunesse, sa politique a été une vraie catastrophe et les conséquences sont qu’un certain nombre de jeunes sont devenus des décrocheurs scolaires puis des délinquants. En matière de participation, c’est du « flanc ». Quand on voit les conseils de quartier que nous avions mis en place, avec une fête de quartiers rassemblant 150 à 200 personnes à chaque fois, et qu’aujourd’hui, une fête qui réunit l’ensemble des quartiers n’en réunit de 100 à 150, il y a quelque chose qui ne va pas. Il y a un décalage complet entre les discours sur la citoyenneté, la cohésion sociale. Il est d’ailleurs étonnant que, dans son programme, il insiste dés le départ sur Vanves Solidaire. C’est qu’il y a un manque quelque part. Ce qui ne veut pas dire que des choses n’ont pas été fait comme Cabourg. Mais c’est comme cela parce qu’une association d’habitants s’est opposé au projet de Bernard Gauducheau qui était de construire une tour de 12 ou 15 étages et de mettre l’école en rez de chaussée. Il y a eu une différence entre ce que j’aurais fait si j’avais continué à diriger cette municipalité et ce que Antonio Dos Santos fera s’il est maire le 30 Mars.

    VAQ - Quelles sont les 2 à 3 propositions du projet auquels vous tenez le plus

    G.J. : « Ce n’est pas un programme « clef en main » mais un programme que nous allons faire avec les vanvéens, en les associant, notamment sur le Plateau qui a besoin considérablement d’être rénové. Mais ce n’est pas uniquement une rénovation en dur, mais c’est aussi du lien social, avec tous ces jeunes qui traînent et ne savent plus très bien où ils en  sont. En matière de circulation douce, il faut poursuivre ce que le maire actuel a fait avec le mail Sadi Carnot. En matière d’urbanisme, il y a l’aménagement des terrains A.Briand et des alentours de la gare sur lesquels il va falloir se pencher et revoir  cela de très prés en fonction de l’état d’avancement du dossier.

    VAQ - Le Parisien a parlé d’un résultat incertain ? Qu’est-ce qui pourrait faire pencher Vanves à Gauche ?  

    G.J. : « Vanves est à gauche depuis un certain nombre d’élections. Cela n’aurait rien de surprenant que Vanves redevienne à gauche comme il l’a été pendant quelque temps. Tout cela est de plutôt de bonne augure

    VAQ - Si Antonio Dos Santos se retrouve dans le fauteuil de Maire, est-ce que ce sera quelque part une sorte de revanche ? 

    G.J. : Ce ne sera pas une revanche, Je l’ai prise au moment des cantonales. J’ai battu Bernard Gauducheau deux fois. Pour moi, ce sera un bon pont entre mon mandat et celui d’Antonio Dos Santos, 13 ans après.

  • LE FRONT DE GAUCHE PRESENTE UNE LISTE A VANVES AUX MUNICIPALES 2014 : « Notre volonté est qu’au niveau municipale, nous ayons les moyens de faire rempart aux politiques d’austérité ! »

    Vanves Au quotidien a rencontré Boris Amoroz, tête de liste  avec Sylvain Pouzin, l’un des co-lisiers. Il méne une liste Front de Gauche (FdeG) qui réunit le Parti communiste et le Parti de Gauche, et met en avant « l’humain d’abord ». L’objectif est de mettre en place au niveau social, un bouclier social, un rempart contre les politiques d’austérité menée par le gouvernement actuel, et notamment faciliter l’accés au logement qui est la pierre angulaire de leur action.

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi une liste FdeG ? 

    Boris Amoroz et Sylvain Pouzin : « C’est une liste de gauche avec le parti de gauche, le parti communiste…. Le PC a décidé après une discussion interne d’intégrer cette liste du FdeG. Le Parti de Gauche a aussi décidé de nous rejoindre. On souhaite que la dynamique FdeG depuis quelques années, et surtout les Présidentielles et les Législatives de 2012, continue à être présente, avec nos idées qui mettent en avant le programme de « l’humain d’abord » avec pour objectif d’améliorer les conditions de vie de chacun, son bien être 

    VAQ - Mais sans Claudine Charfe ?

    B.A. et S.P. : « Claudine Charfe a effectué en tant qu’élu communiste au Conseil Municipal, un bon travail.  Elle a pris une décision individuelle en rejoignant la liste PS-Modem. C’est sa décision que nous respectons

    VAQ - Avez-vous cherché à faire liste commune avec le PS ? avec les écologistes ?

    B.A. et O.P. : « Nous avons eu des discussions, différents rencontres tant avec le PS qu’EELV. Nous avons cherché à discuter du programme politique pour Vanves, sur les bases du programme que nous avons constitué à la suite de l’assemblée citoyenne, avec un certain nombre d’idées sur ce qui nous semblait important pour Vanves. Nous en avons tiré la conclusion que ni avec l’un, ni avec l’autre, notre discours ne pouvait trouver une pleine place dans ces listes. Même s’il y avait sur certains points des convergences, car nous sommes tous plutôt marqués à gauche sur l’échiquier politique. Mais beaucoup de choses étaient différentes. 

    VAQ - Est-il vrai que vous auriez dit au PS que vous ne constituerez jamais une liste ?

    B.A. et S.P. : « Je n’ai jamais dit cela, et personne ne l’a dit parmi tous les co-listiers. Notre démarche est surtout d’éviter de faire un accord d’appareil. Il y a eu une tradition des partis de gauche de faire liste commune. Mais il nous a semblé plus important de défendre notre programme, d’expliquer pourquoi nous allons devant les vanvéens et ce que nous leur proposons. Et les discussions que nous avons eu, ont fait que les propositions communes que nous pouvions avoir, nous semblaient insuffisante pour avoir un programme qui puisse réellement faire évoluer la vie des vanvéens dans le bon sens

    VAQ - N’est-ce pas aussi une volonté de garder votre liberté de parole face à un gouvernement de gauche qui ne fait pas la politique que vous attendiez de sa part ?

    B.A. et S.P. : « Garder une certaine liberté de parole est un des points importants, mais cela va beaucoup plus loin. Nous constatons aujourd’hui que la situation est dure pour la population, à cause du gouvernement actuel mais aussi à cause de la politique menée par Nicolas Sarkozy : le chômage, les loyers, le foncier, les impôts augmentent. Le FdeG est une force de propositions contre l’austérité, pour défendre les salaires afin qu’ils soient plus compatible avec le coût de la vie actuelle, pour arrêter de fermer les hôpitaux… Le FdeG est le seul à tenir ce discours fort.

    Et dans le cadre de ses politiques d’austérité qui commencent à paupériser une grosse partie de la population, y compris les classes moyennes qui ne sont plus épargnées, l’idée est qu’au niveau municipale, nous ayons les moyens de faire rempart. Ce n’est pas nous qui allons tous résoudre, faire une politique d’augmentation des salaires, par contre, nous pouvons mettre en place des politiques municipales qui atténuent le choc de l’austérité pour les populations. C’est ce que nous portons dans notre programme  et que nous ne trouvions pas assez dans les autres programmes. Ce qui nous amené à faire une liste à part. Car nous n’allons pas attendre 2017 pour aider les gens, et ainsi pouvoir au niveau municipale, faire tout ce qui est possible pour atténuer ces politiques d’austérité

    VAQ - Quel bilan faites-vous de la politique menée par le maire sortant ?

    B.A. et S.P. : « Il a menée une pollitique de gestionnaire, de bon pére de famille, même si cette expression va être bientôt retiré du vocabulaire législatif français. Il a manqué d’ambition du point de vue social, aménagement de la ville, immobilier. Ce sont les spéculateurs et les promoteurs immobiliers qui ménent la barque à Vanves, les prix de l’immobilier ont augmentés de manière très importante, ainsi que le prix des loyers. Il y a des moyens d’agir contre cela, comme Saint Ouen l’a fait, avec une charte promoteurs immobiliers qui les contraint à limiter les tarifs de façon raisonnée, en fonction de la demande, avec l’accord de la commune,et en intégrant un certain pourcentage de logements sociaux assez importants. Ce qui n’a  pas été fait à Vanves. La seule contrepartie demandée aux promoteurs est d’installer une œuvre d’art, ce qui est intéressant mais loin d’être suffisant pour limiter l’augmentation des prix de l’immobilier. Et le pourcentage de logements sociaux diminue. Quelle volonté y a-t-il de maintenir un logement de qualité abordable pour tous ? Les résidences étudiantes sont privées, et pratiquent donc des loyers très chers (750 € par mois). Du coup, les étudiants peuvent se le payer uniquement grâce à l’APL c'est-à-dire grâce aux impôts qui pésent sur les français. Au lieu d’avoir construits des résidences CROUS ! 

    VAQ – Et en dehors du logement ?  

    B.A. et S.P. : « Sur l’implication citoyenne et la démocratie participative, le résultat est maigre, car une infime partie des vanvéens participent aux conseils de quartier, beaucoup ne se sentent pas du tout impliqués, d’autant plus qu’ils ne décident de rien, se contentant d’assister à des présentations des projets. Alors que la démocratie participe doit permettre de donner en amont, tous les clefs pour avoir un avis éclairé, et la possiblité aux habitants d’intervenir dans le choix des investissements, par rapport à ce qu’ils attendent vraiment. D’autant qu’aujourd’hui les budgets communaux sont restreints. Et avec cette façon de faire, les habitants seraient plus motivés pour intégrer ce genre de structure. 

    VAQ - Avec qui allez-vous constituer cette liste

    B.A. et S.P. : « Autour du regroupement du Front de Gauche tel qu’il existe depuis quelques temps. La liste comprendra des militants, des citoyens engagés, des habitants anciens et récents, étudiants, travailleurs, retraités…

    VAQ - Comment une commune peut servir de bouclier social comme vous le préconisez ?

    B.A. et S.P. : « Elle peut agir sur le logement. Il n’y a pas d’office municipal d’HLM, et ce serait compliqué d’en créer un. Par contre, la municipalité a une arme avec le permis de construire. Comme la mairie n’a pas la possibilité de préempter vu la cherté du foncier, elle a quand même un moyen d’agir en établissant une charte avec les promoteurs dans laquelle elle les oblige à prévoir 30% de logements sociaux, sachant que ce taux peut être modulé en fonction du quartier. Mais il faut à un moment donné que la municipalité gére aussi la manière dont va se développer l’habitat, et ne pâs le laisser à la libre concurrence et au plus offrant. Ou sinon, nous ferons comme beaucoup de communes, en rejetant employés, cadres moyens.  Nous aurons l’occasion d’être plus précis lorsque nous présenterons notre programme. Mais notre volonté est, en matière de jeunesse, mettre en place des structures qui permettent aux jeunes de faire part de leurs besoins, car ils sont à même et mieux placé pour le faire ; et en matière de culture, plus de diversité, plus d’implications des vanvéens, en redonnant un coup de jeunes à la bibliothéque pour les vanvéens en profitent mieux. Notre moteur, c’est ce qu’une municipalité peut faire, elle doit le faire, en matière de santé avec une maison médicale comme à Issy les Moulineaux et Clamart…