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liste « un nouveau souffle pour vanves » (ps)

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE SANS SECOND TOUR MAIS DE CAREME

    Et pendant les élections municipales, la vie continue à Vanves ! Heureusement. Le maire a donné quelques bonnes nouvelles concernant Vanves, notamment le quartier du Clos Montholon : Lidl devrait s’agrandir, une créche  parentale devrait s’ouvrir dans les locaux occupés auparavant par le CAUE 92 et une entreprise high tech de 15 personnes devrait s’installer dans le quartier. Vanves et sa communauté catholique devrait accueillir, dans le cadre du Carême,  mercredi soir un compagnon de route du père Jerzy Popieluszko lorsqu’ils étaient ensemble au séminaire, pour parler de la foi dans les pays de l’Est de l’Europe et notamment des jeunes. Ainsi  qu’ Henri de Rohan-Csermak, titulaire du grand orgue de Saint Gemain l’Auxerrois qui donnera un concert dans le cadre de l’inauguration de l’Orgue de Saint Remy auquel il a participé en tant que conseiller de l’ARIAM 92

    Lundi 24 Mars

    A 19H30 à Panopée (Festival Artdanthé) : « Piranha » de Wagner Schwartz qui est une métaphore du corps en réclusion

    A 21H au théâtre (Festival Artdanthé) : « Guillaume Perrret & The Electric Pic » : Un groupe qui mêle des thèmes ambitieux et des improvisations endiablées et dont la musique assume l’héritage de la pop progressive des annés 70, fusion de jazz, de funk et de métal.

    Mercredi 26 Mars :

    A 19H30 au théâtre (Festival artdanthé) : « Jeff Koons à Versailles » du collectf d’artistes interprétes « Production of Time cie » venant de différents pays d’Europe dont la ligne directriceest de concrétiser des œuvres d’artistes polémiques finalement avortées pour raison politique ou simple découragement. Là, il s’agit de la résurrection d’une satire acerbe du monde contemporain et de la complexité des rapports amoureux pour 8 interprètes à partir d’un événement : le projet original de Jeff Koons d’une comédie musicale pornographique dans la galerie des glaces du château de Versailles

    A 20H30 à à l’église Saint Remy : Conférence pour le Carême de l’AED (Aide à l’Eglise en Détresse)  par Mgr Ryszard Wasik(Prélat de sa Sainteté), compagnon du père Jerzy Popieluszko  (1947-84) au temps des bataillons de séminaristes » où les autorités polonaises tentaient de briser la vocation de futurs prêtres. Il avait traduit et adapté en français « Mon cri était celui de ma patrie » biographie de son ami Popielisszko. Il abordera  le théme : « Les saints et bienheureux en Pologne au XXéme siécle et les JM de Cracovie en 2106 », c'est-à-dire qu’il expliquera comment est vécue la foi dans ces pays de l’Europe de l’Est qui rejoignent l’UE et notamment parmi les jeunes

    A 21H à Panopée (Festival artdanthé) : « Cigue » une création de/et interprété par  Eric Arnal Burtschy, en résidence au théâtre Le Vanves.   

    Vendredi 28 MARS

    A 19H30 à Panopée (Festival artdanthé) : « Les fumeurs noirs » création de Remy Yadan. Un travail scénique avec la participation de nombreux interprétes (comédiens, danseurs, musiciens, chanteurs…à) au croisement  de la performance et de la théâtralité.

    A 21H au Théâtre (Festival artdanthé) : « Une excellente piéce de danse »de Thomas Ferrand, en résidence au théâtre Le Vanves qui a créé un poéme scénique, avec du sexe, du feu et toutes sorts de théories.

    Samedi 29 Mars

    A 14H30 au Théâtre (Festival artdanthé) : « Hiemat, une chronique allemand » film avec projection des épisodes 1 à 6

    A 16H30 au PMS A.Roche : Match Expograph-Vanves contre Metro Football

    A 20H30 à l’église Saint Remy : Concert d’orgue donné par Henri de Rohan-Csermak, titulaire deu grand orgue de Saint Gemainl’Auxerrois qui nterprétera des œuvres de Bach, Sweelink, Couperin,

    Dimanche 30 Mars

    A 11H au Théâtre (Festival atdanthé) : « Hiemat une chronique allemande » film avec projection des épisodes 7 à 11.

    A 15H au PMS A.Roche : Match de Football Vanves- Colombienne 2

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : DERNIERES HEURES INTENSES…DE BALLADES

    Les candidats des différentes listes vont beaucoup se ballader à pied à travers la ville pendant cette dernière journée de campagne électorale bien qu’elle soit close la veille du scrutin à minuit. Mais ils ne peuvent plus distribuer de tracts depuis vendredi minuit. Et il est interdit à tout candidat de porter à la connaissance du public un élément nouveau de polémique électorale à un moment tel que ses adversaires n'aient pas la possibilité d'y répondre utilement avant la fin de la campagne électorale (art. L. 48-1). C’est pourquoi, les quatre listes et surtout les deux principales vont faire acte de présence autour du marché et des pôles commerciaux de Vanves ce matin, les cafés-restaurants à l’heure du déjeuner, élargi à d’autres lieux l’après-midi, plateau, parc F.Pic, centre ancien…

    Vendredi matin, têtes de listes de listes et co-listiers de chaque liste en étaient à mesurer les répercussions de cette soirée électorale de Jeudi soir. Chacune des deux principales listes avaient envoyés chez l’autre ces observateurs mais cette fois-ci très discrets, qui tweetaient. La meilleure preuve en est cet échange à quelques centaines de métres de distances et à une demi heure prés : « En face, on les sent essoufflé 13 ans après. Sont ils capable de travailler ensemble, entre UDI et UMP » s’interrogeait Antonio Dos Santos. «  On a un centre d’intérêt unique – la ville – et les vanvéens. C’est cela qui nous réunit. On n’est pas là pour régler des comptes entre UDI et UMP » répliquait Bernard Gauducheau quelques minutes  plus tard. 

    Si Isabelle Debré, sénateur et 1ére adjjointe  a présentée le Comité de Soutien, Guy Janvier, conseiller Général (PS) a pu dire quelques mots : « Je connais bien Vanves ! J’en ai été le maire, j’en suis le Conseiller Général et j’ai tout fait pour aider Vanves. J’aime cette ville. C’est pour cela que Vanves doit changer ». Jean Cyril Le Goff (PS) directeur de la campagne d’Antonio Dos Santos a ironisé sur l’effet « banc »  - Le Ps propose d’installer des bancs dans Vanves pour nos seniors – puisque la ville vient d’en installer un devant l’hôtel de ville.Une vanvéenne a été mise à l’honneur durant cette soirée électorale, par le maire sortant : Jacqueline, 81 ans que beaucoup de vanvéen connaissant, car chaque matin, elle dépose, ici et là, à l’occasion d’une grande tournée, qui l’améne d’Issy à la gare de Clamart et à Vanves, les « 20 Minutes », »Direct Matin », « Métronews »

    Contraitement au 5 mars dernier, il n’y a pas eu guerre des tweets : « Salle comble, Marisol est là ! » côté PS – « Voilà ce qu’est une salle vraiment comble » répliquait l’UDI, photos à l’appui. A croire que les directeurs de campagne cherchaient à calmer le jeu entre tous ces jeunes pousses politiques. Extraits : « Bgauducheau qualifé de « professionnel de la politique » : « une critique qui l’honore car « ce n’est pas en amateur qu’on gére une commune »selon Jeremy Coste, directeur de campagne (UDI/UMP). « Il parait qu’être professionnel de la politique « quand on brigue une mairieest un défaut. Vent de paniquer ou complexe » (selon Sandrine Bourg (UMP)  « Les gens qui se la racontent se mettent au dessus des autres alors qu’ils ont juste un complexe » selon Hanna Sasportas (UDI/UMP). « Tu sais quand tu as un  bon maire, quand il dit bonjour, il connait les prénoms de tout le monde » selon la désormais célébre Sandrine Bourg (UMP) qui a été affublé d’un surnom par les jeunes socialistes que la décence empêche d’écrire. Autre vedette, Nicolas Monté dont les tweets restent très intello. 

  • ELECTIONS MUNICIPALES A VANVES : GUY JANVIER CONSEILLER GENERAL PS : « Nous sommes dans la configuration de 1995 »

    Même s’il a pris sa revanche aux cantonales de 2004 et 2011, cette élection municipale, après sa défaite de 2001 puis de 2008 a un goût particulier pour Guy Janvier. 13 ans aprés, il souhaite qu’une victoire jette un pont entre son mandat (1995-2001) et celui qu’Antonio Dos Santos entamera (2014-20). C’est la raison pour laquelle, il se consacre pleinement à cette campagne, et a tenu à être sur la liste à la 13éme place. Il s’en explique sur le blog Vanves au Quoditien

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi vous êtes vous représenté sur la liste PS alors que vous avez démissionné du Conseil Municipal ?

    Guy Janvier : « J’ai démissionné du conseil municipal avec l’idée que si on voulait regagner la mairie, il fallait renouveler notre équipe – Anne Laure Mondon, Jean Cyril Le Goff, moi-même depuis 1989. Quand j’ai été réélu Conseiller Général, j’avais dit que, dans la perspective des élections municipales, on ouvre les représentants de l’opposition au conseil municipal à des personnalités nouvelles, et notamment à Valérie Mathey qui avait été ma suppléante au moment des cantonales et avec qui j’avais gagné.  Il fallait absolument, pour regagner cette ville, que cela ne repose pas uniquement sur Guy Janvier qui est connu, et sur les deux élus municipaux. Il faut ajouter l’idée du non cumul de mandat, repartant pour un mandat de conseiller général, je ne me sentais pas complétement utile au conseil municipal.

    Je suis de nouveau sur la liste à une position où je ne serais pas élu si on perd, hypothèse que je n’envisage pas, et où je serais élu si nous gagnons. En fonction de ce qu’Antonio Dos Santos souhaitera, je serais à la disposition du futur maire et de l’équipe municipale. Le fait d’être en position éligible à la place 13, petit clin d’œil à la chance, et d’être sur la liste, est une bonne chose 

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne ?

    G.J. : « C’est peut être ma diziéme campagne, entre les campagnes locales et nationales. J’ai un très mauvais souvenir de la campagne de 2008.  Donc, je vis très bien cette campagne 2014, parce qu’elle est bien organisé, cohérente, avec un directeur de campagne, Jean Cyril Le Goff, un candidat, Antonio Dos Santos qui est légitime. C’est une des raisons pour lesquelles, je crois en notre victoire. Car il y a une cohérence, une progression dans la campagne. Tout cela est de bon augure. Parce qu’aujourd’hui, on ne peut plus se permettre, dans les élections politiques, même locales, d’être des amateurs. La campagne a un caractére « professionnel » qui est bonne. Où je me trouve à l’aise

    VAQ - En quoi est elle différente de celle de 2008 ?

    G.J. : « En 2008, nous avions un problème de direction de campagne, puisqu’elle a fait défaut en plein milieu de campagne. Nous avons failli sur le document de campagne, puisque lorsque Robert Badinter est venu faire la première réunion publique, il n’était pas prêt. Nous n’en avions que 60 exemplaires, à trois semaines de l’élection. J’avais conçu un programme sur le développement durale, avec ses trois piliers, économique, environnemental et social. Il n’était pas mauvais. Et d’ailleurs, j’ai crû comprendre qu’un certain nombre de candidats aux prochaines élections, y avaient pioché un certain nombre de choses. Il était déjà vert avant que l’on puisse dire qu’il l’était. Mais nous avons surtout pêché sur l’organisation de la campagne. C’est pourquoi aujourd’hui, notre campagne me parait bien partie parce que l’organisation est bonne, et c’est fondamental en politique. Et je porte ce programme pour 2014-20 car il y a un certain nombre de choses qui me paraissent indispensables, la démocratie participative qui a été un de mes axes forts lorsque j’étais maire, la politique de la  jeunesse  et la cohésion sociale.

    VAQ - Quels sont les enjeux de cette élection municipale 2014 ?

    G.J. : « J’espère que nous allons pouvoir reprendre la mairie le 30 Mars 2014. Je suis moins optimiste qu’Antonio Dos Santos car je ne pense pas que cela se fera le 23 Mars au soir. Je suis assez confiant parce que nous sommes dans la configuration de 1995, avec une seule liste à droite, et 3 listes à gauche. En 1995, il avait manqué 17 voix à la liste de Didier Morin pour passer dés le premier tour. Et malgré cela, on a gagné de 2 voix. Pourtant, ce n’était pas évident avec les deux listes concurrente de MM Deniau et Poly. Je suis plus confiant aujourd’hui parce que Bernard Gauducheau et Isabelle Debré ne vont pas passer au 1er tour.  Je n’y crois pas une seule seconde parce qu’à Vanves, le PS est majoritaire déjà depuis quelques élections. J’ai battu Bernard Gauducheau en 2004 et 2011. François Hollande a fait 56% aux élections présidentielles. Le PS a fait 53% aux élections législatives. Tout cela fait que si Bernard Gauducheau ne passe pas au premier tou comme je le pense, nous aurons une réserve de voix importante que lui n’aura pas. Contrairement à 2008, nous avons à côté de nous, deux listes politiques, les Verts et le Front de Gauche. J’espére que l’écart entre l’UMP/UDI et le PS soit autour de 10 points. Comme nous avons fait alliance avec les démocrates, il est possible que l’écart soit un peu plus réduit. Quand on regarde le résultat des dernières élections, on s’aperçoit qu’à Vanves, on est à 52/53% à gauche, la droite à 46/47%. Il perd normalement une partie des démocrates qui nous ont rejoint. Ainsi, il n’est pas impossible que l’écart se réduise à 7 ou 8 points. Et dans ce cas là, c’est gagné. En tous les cas, ce sera serré. Et il n’y a pas de raison que cela ne se joue pas à 50 ou 100 voix, et que l’on gagne avec un faible écart. Mais on peut aussi gagner avec un score plus fort.

    VAQ - Comment avez-vous vu évoluer cette ville depuis 13 ans ?

    G.J. : « Je ne dirais pas en bien, parce que ce qui a manqué  à Bernard Gauducheau, nous l’apportons dans notre programme. Je pense en particulier à la rénovation du Plateau. J’y habite depuis 30 ans. Qu’est-ce qui a été fait depuis 13 ans ? Strictement rien.  Il a fait des choses dans le bas de Vanves que l’on peut d’ailleurs contester. En matière de jeunesse, sa politique a été une vraie catastrophe et les conséquences sont qu’un certain nombre de jeunes sont devenus des décrocheurs scolaires puis des délinquants. En matière de participation, c’est du « flanc ». Quand on voit les conseils de quartier que nous avions mis en place, avec une fête de quartiers rassemblant 150 à 200 personnes à chaque fois, et qu’aujourd’hui, une fête qui réunit l’ensemble des quartiers n’en réunit de 100 à 150, il y a quelque chose qui ne va pas. Il y a un décalage complet entre les discours sur la citoyenneté, la cohésion sociale. Il est d’ailleurs étonnant que, dans son programme, il insiste dés le départ sur Vanves Solidaire. C’est qu’il y a un manque quelque part. Ce qui ne veut pas dire que des choses n’ont pas été fait comme Cabourg. Mais c’est comme cela parce qu’une association d’habitants s’est opposé au projet de Bernard Gauducheau qui était de construire une tour de 12 ou 15 étages et de mettre l’école en rez de chaussée. Il y a eu une différence entre ce que j’aurais fait si j’avais continué à diriger cette municipalité et ce que Antonio Dos Santos fera s’il est maire le 30 Mars.

    VAQ - Quelles sont les 2 à 3 propositions du projet auquels vous tenez le plus

    G.J. : « Ce n’est pas un programme « clef en main » mais un programme que nous allons faire avec les vanvéens, en les associant, notamment sur le Plateau qui a besoin considérablement d’être rénové. Mais ce n’est pas uniquement une rénovation en dur, mais c’est aussi du lien social, avec tous ces jeunes qui traînent et ne savent plus très bien où ils en  sont. En matière de circulation douce, il faut poursuivre ce que le maire actuel a fait avec le mail Sadi Carnot. En matière d’urbanisme, il y a l’aménagement des terrains A.Briand et des alentours de la gare sur lesquels il va falloir se pencher et revoir  cela de très prés en fonction de l’état d’avancement du dossier.

    VAQ - Le Parisien a parlé d’un résultat incertain ? Qu’est-ce qui pourrait faire pencher Vanves à Gauche ?  

    G.J. : « Vanves est à gauche depuis un certain nombre d’élections. Cela n’aurait rien de surprenant que Vanves redevienne à gauche comme il l’a été pendant quelque temps. Tout cela est de plutôt de bonne augure

    VAQ - Si Antonio Dos Santos se retrouve dans le fauteuil de Maire, est-ce que ce sera quelque part une sorte de revanche ? 

    G.J. : Ce ne sera pas une revanche, Je l’ai prise au moment des cantonales. J’ai battu Bernard Gauducheau deux fois. Pour moi, ce sera un bon pont entre mon mandat et celui d’Antonio Dos Santos, 13 ans après.