Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tweets

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : DERNIERES HEURES INTENSES…DE BALLADES

    Les candidats des différentes listes vont beaucoup se ballader à pied à travers la ville pendant cette dernière journée de campagne électorale bien qu’elle soit close la veille du scrutin à minuit. Mais ils ne peuvent plus distribuer de tracts depuis vendredi minuit. Et il est interdit à tout candidat de porter à la connaissance du public un élément nouveau de polémique électorale à un moment tel que ses adversaires n'aient pas la possibilité d'y répondre utilement avant la fin de la campagne électorale (art. L. 48-1). C’est pourquoi, les quatre listes et surtout les deux principales vont faire acte de présence autour du marché et des pôles commerciaux de Vanves ce matin, les cafés-restaurants à l’heure du déjeuner, élargi à d’autres lieux l’après-midi, plateau, parc F.Pic, centre ancien…

    Vendredi matin, têtes de listes de listes et co-listiers de chaque liste en étaient à mesurer les répercussions de cette soirée électorale de Jeudi soir. Chacune des deux principales listes avaient envoyés chez l’autre ces observateurs mais cette fois-ci très discrets, qui tweetaient. La meilleure preuve en est cet échange à quelques centaines de métres de distances et à une demi heure prés : « En face, on les sent essoufflé 13 ans après. Sont ils capable de travailler ensemble, entre UDI et UMP » s’interrogeait Antonio Dos Santos. «  On a un centre d’intérêt unique – la ville – et les vanvéens. C’est cela qui nous réunit. On n’est pas là pour régler des comptes entre UDI et UMP » répliquait Bernard Gauducheau quelques minutes  plus tard. 

    Si Isabelle Debré, sénateur et 1ére adjjointe  a présentée le Comité de Soutien, Guy Janvier, conseiller Général (PS) a pu dire quelques mots : « Je connais bien Vanves ! J’en ai été le maire, j’en suis le Conseiller Général et j’ai tout fait pour aider Vanves. J’aime cette ville. C’est pour cela que Vanves doit changer ». Jean Cyril Le Goff (PS) directeur de la campagne d’Antonio Dos Santos a ironisé sur l’effet « banc »  - Le Ps propose d’installer des bancs dans Vanves pour nos seniors – puisque la ville vient d’en installer un devant l’hôtel de ville.Une vanvéenne a été mise à l’honneur durant cette soirée électorale, par le maire sortant : Jacqueline, 81 ans que beaucoup de vanvéen connaissant, car chaque matin, elle dépose, ici et là, à l’occasion d’une grande tournée, qui l’améne d’Issy à la gare de Clamart et à Vanves, les « 20 Minutes », »Direct Matin », « Métronews »

    Contraitement au 5 mars dernier, il n’y a pas eu guerre des tweets : « Salle comble, Marisol est là ! » côté PS – « Voilà ce qu’est une salle vraiment comble » répliquait l’UDI, photos à l’appui. A croire que les directeurs de campagne cherchaient à calmer le jeu entre tous ces jeunes pousses politiques. Extraits : « Bgauducheau qualifé de « professionnel de la politique » : « une critique qui l’honore car « ce n’est pas en amateur qu’on gére une commune »selon Jeremy Coste, directeur de campagne (UDI/UMP). « Il parait qu’être professionnel de la politique « quand on brigue une mairieest un défaut. Vent de paniquer ou complexe » (selon Sandrine Bourg (UMP)  « Les gens qui se la racontent se mettent au dessus des autres alors qu’ils ont juste un complexe » selon Hanna Sasportas (UDI/UMP). « Tu sais quand tu as un  bon maire, quand il dit bonjour, il connait les prénoms de tout le monde » selon la désormais célébre Sandrine Bourg (UMP) qui a été affublé d’un surnom par les jeunes socialistes que la décence empêche d’écrire. Autre vedette, Nicolas Monté dont les tweets restent très intello. 

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALES A VANVES : Tweets, questionnaires, audition….

    La campagne municipale est en train de prendre un cours très high tech qui passe complétement au dessus de la tête des vanvéens, en dehors des branchés et des adeptes des nouvelles technologies, férus de réseaux sociaux et de tweets. Un exemple. Mercredi soir, alors que les deux listes « Vanves avec vous » (UDI/UMP) et « Un nouveau souffle à Vanves » (PS) tenaient chacune une réunion de proximité, la première à l’école Max Fouestier, la seconde à l’école du Parc, les jeunes co-listiers de chaque camp se sont livrés une guerre de tweets vengeurs et quelquefois violents dans les termes, sur laquelle, le blog aura l’occasion de revenir. La vedette est sans contexte, non pas un jeune, mais Pascal Vertanassian (UDI) jugé particulièrement violent dans ses écrits par le camp d’en face. Un spécialiste qui anime le site internet de la liste UDI/UMP et qui a eu l’idée de commencer à dévoiler son programme par tweet…Pas sûr que beaucoup de vanvéens les aient lus.

    Heureusement que les tractages, les boîtages, porte à porte, présence dans les cafés et réunions d’appartements ou de quartiers raménent sur terre tout ce petit monde politique, car il n’y a rien de tel pour conquérir des voix, foi de Bernard Gauducheau et d’Antonio Dos santos. Ses deux candidats avec les autres, Lucile Schmid (EELV) et Boris Amoroz (FdeG)  bien sûr, sont d’ailleurs très sollicités car ils ont reçus des questionnaires « nombreux et touffus dont certaines questions se croisent » selon l’un d’entre eux, notamment du Secours Catholique et du collectif local « Campagne pour un logement 92 », du Pacte Civique, de la FCPE,  de contribuables de GPSO… Ils ont été sollicités par la JCE (Jeune Chambre Economique) de GPSO et de son antenne Vanvéenne pour participer à un  dialogue citoyen qui se déroulera à 14H salle Latapie (rue de Châtillon) Samedi. Chaque candidat disposera d’une demi heure pour dialoguer avec les participants dans une salle qui ne s’y prête pas bien sur plusieurs niveaux, et difficilement accessible aux PMR (Personne à mobilité réduite). 

    Ce dialogue citoyen organisé samedi prochain par la JCEF (Jeune Chambre Economique Française) GPSO/Vanves permettra aux vanvéens, au moins une fois dans cette campagne, de pouvoir les entendre et se faire une idée de ce qu’ils proposent, même s'ils expriment à tour de rôle et pas ensemble. Au moins pour ceux qui s’intéressent à la campagne,  car assister à l’une de leur réunion, pour se faire une idée de leur projet,  devient compliqué, car ils l’organisent pratiquement toutes, le même jour et à la même heure, à un endroit opposé de la ville. A croire qu’ils ne veulent s’adresser qu’aux convaincus et militants ou sympathisants de leur cause, et ne pas gagner les indécis ou ceux qui n’ont pas d’à priori (politique). Mais au fait, qui est responsable de l'attribution des salles ?