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gpso - Page 19

  • UN PREMIER SECTEUR CONCERNE DEPUIS LUNDI A VANVES PAR LA NOUVELLE COLLECTE DESDECHETS ALIMENTAIRE DU GPSO

    Un premier secteur de la ville de Vanves est concerné par la collecte des déchets alimentaires depuis 6 février 2023 : IL s’agit de tout les quartier riverain du parc des expositions et du lycée Michelet jusqu’à l’Avenue Victor Hugo, et dans le bas de Vanves entre le parc du lycée, de l’avenue du Général de Gaulle et du Centre Ancien. Des éco-animateurs passeront à partir de fin janvier 2023 chez les habitants des pavillons ou des immeubles pour les équiper et  présenter les bonnes pratiques. Les nouveaux bacs de collecte seront distribués entre le lundi 23 janvier et le vendredi 3 février 2023. Pour ce secteur, deux collectes pour les déchets alimentaires auront lieu chaque semaine (nouveau bac marron) : les mercredi et samedi.

    Le déploiement de la collecte des déchets alimentaires s’effectuera progressivement de 2023 à 2025 sur l’ensemble du territoire de GPSO, et à Vanves dans d’autre secteurs : Lorsqu’un secteur sera concerné, ses habitants recevront un courrier dans leur boîte aux lettres pour les en informer en amont et des éco-animateurs se présenteront à leur domicile pour vous équiper et vous présenter les bonnes pratiques.

    Ainsi,  Grand Paris Seine Ouest (GPSO), «fidèle à son identité de territoire innovant et durable», a souhaité franchir une nouvelle étape en matière de tri des déchets, en lançant progressivement la collecte des déchets alimentaires. «Ainsi, pour la première fois sur un territoire tel que le nôtre, une collecte des déchets alimentaires va être progressivement mise en place à Boulogne-Billancourt, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, et Vanves, Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray en bénéficiant déjà» explique GPSO sur son site.

    Un tiers de nos déchets ménagers sont des déchets alimentaires. Aujourd’hui ces déchets, quand ils ne sont pas compostés, sont traités sans différenciation. Epluchures mais également carcasses de poulet, arêtes de poisson ou encore les restes de nos repas sont autant de ressources à valoriser. GPSO anticipe l’échéance fixée par la loi. En effet, la généralisation du tri à la source des biodéchets est rendue obligatoire en France à partir du 1er janvier 2024 dans le cadre de la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi anti-gaspillage (loi AGEC). Après de premières expérimentations réussies depuis 2018 à Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray, le territoire de GPSO, chargé de la collecte des déchets, s’engage dès maintenant dans cette démarche afin de réussir au mieux cette transition et de continuer à porter son engagement environnemental.

    «L’enjeu économique de cette nouvelle collecte est particulièrement important quand on sait que le tarif de traitement d’une tonne d’ordures ménagères s’élève à 103€, alors que celui d’une tonne de déchets alimentaires n’est que de 19€ (Tarifs de traitement SYCTOM 2022). Elle permettra d’optimiser le coût global de traitement de nos déchets. Mais l’enjeu est aussi environnemental, puisque les déchets issus de nos assiettes vont à terme produire de l’énergie par méthanisation et contribuer ainsi à la production d’une énergie renouvelable se substituant aux énergies fossiles. Ils seront aussi utilisés pour fabriquer un compost destiné à l’agriculture, limitant ainsi le recours aux engrais chimiques».

  • PAS DE TROTTINETTES EN LIBRE SERVICE A VANVES MAIS UNE CAMPAGNE «PARTAGEONS LA RUE»

    Avec la réforme des retraites, le retour des gréves, le retour du grand froid, l’actualité de cette semaine concerne les trottinettes avec l’annonce d’u référendum à Paris par Anne Hialgo sa maire. A Vanves, le problème ne se pose pas puisque dès 2019, au moment où elles se popularisaient, l’intercommunalité Grand Paris Seine Ouest  (GPSO) bannissait les trottinettes électriques en libre-service sur son territoire ( Boulogne-Billancourt, Chaville, Marnes-la-Coquette, Vanves, Issy-les-Moulineaux, Ville-d’Avray, Meudon et Sèvres). Mais GPSO méne tout de même une campagne de sensibilisation sur le théme « Partageons la rue, c’est un espace pour tous », avec guide pratique,  car d’autres moyens de locomotions existent comme les scooters en libre-service, gyropodes, hoverboards et autres

    La maire de Paris a annoncé un référendum sur les trottinettes en libre-service car elle souhaite les interdire : «Mon idée, c’est qu’on arrête, mais je respecterai le vote des Parisiens, même s’il est contraire à ce que j’aimerais». Seules les 15.000 trottinettes de location qui sont en circulation sont concernées. Il n'est pas question d’interdire aux Parisiens qui ont leur propre trottinette de rouler avec, comme c’est le cas à Vanves. Force est de reconnaitre qu’elles sont à l’origine de nombreux problèmes: des usagers indisciplinés, qui ne respectent pas le code de la route, montent parfois à plusieurs sur une trottinette, roulent en contre sens, frôlent des piétons, ce que redoutent nos seniors.

    Les accidents ont augmentés de 37 % par rapport à l’année d’avant. Le Journal du dimanche a de son côté estimé que les trottinettes électriques avaient fait 6 000 blessés en 2022. La sécurité routière n’a pas confirmé ce chiffre et assure que le nombre d’accidents les impliquant avait augmenté de 177 % entre 2019 et la période s’étalant d’août 2021 à juillet 2022. La sécurité n’est pas le seul grief relevé par Anne Hidalgo à l’encontre des trottinettes électriques en libre-service. La maire de Paris estime aussi que ces véhicules n’ont rien d’écologique et pointe du doigt les conditions de travail des employés des opérateurs, estimant que ceux-ci s’avèrent très mal protégés

    A ces menaces d'interdiction, les opérateurs ont d’ailleurs formulé plusieurs propositions en novembre dernier,  comme mettre des plaques d’immatriculation pour identifier les contrevenants, plus de patrouilleurs et un contrôle des cartes d’identité pour interdire aux mineurs de les utiliser, ce qui est le cas depuis le 27 novembre dernier

  • LANCEMENT PROGRESSIF DE LA COLLECTE DES DECHETS ALIMENTAIRES PAR GPSO BIENTOT A VANVES

    À partir de janvier 2023, Grand Paris Seine Ouest (GPSO) a souhaité franchir une nouvelle étape en matière de tri des déchets, en lançant progressivement la collecte des déchets alimentaires. «Ainsi, pour la première fois sur un territoire tel que le nôtre, une collecte des déchets alimentaires va être progressivement mise en place à Boulogne, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, et Vanves. Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray en bénéficient déjà. D’ici 2025, l’ensemble des habitants de Grand Paris Seine Ouest seront concernés» a annoncé l’interco dont fait parti Vanves,  dans un communiqué.

     «Un tiers de nos déchets ménagers sont des déchets alimentaires. Aujourd’hui ces déchets, quand ils ne sont pas compostés, sont traités sans différenciation. Epluchures mais également carcasses de poulet, arêtes de poisson ou encore les restes de nos repas sont autant de ressources à valoriser. En effet, la généralisation du tri à la source des biodéchets est rendue obligatoire en France à partir du 1er janvier 2024 dans le cadre de la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi anti-gaspillage (loi AGEC)» explique GPSO. Malheureusement, seuls 1% des déchets alimentaires sont actuellement collectés en Ile de Franc, soit 70 000 tonnes. «Globalement, nous avons une problématique avec des gens très motivés d'un côté et d'un autre, beaucoup qui ne participent pas» analyse Helder De Oliveira, directeur de l'Observatoire régional des déchets d'Île-de-France (ORDIF). «Cela fait 30 ans que l'on fait la collecte sélective des emballages, mais la très grande majorité n'est pas triée. On trie à peu près 60% des bouteilles en verre, 30% du carton et 20% du plastique. On est dans des taux de captage très bas qui n'évoluent que peu». Actuellement, sur les 890 000 tonnes de déchets alimentaires produits chaque année dans la région, 95% sont incinérés. Face à ce constat sévère, comment encourager les Franciliens à plus trier ? «Il faut mobiliser les quatre leviers : logistique efficace (bacs et tournées de bennes), communication, réglementation et incitation financière» poursuit le directeur de l'ORDIF.

    Le territoire de GPSO l’a anticipé avec de premières expérimentations réussies depuis 2018 à Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray. IL s’engage dès maintenant dans cette démarche afin de réussir au mieux cette transition et de continuer à porter son engagement environnemental. «L’enjeu économique de cette nouvelle collecte est particulièrement important quand on sait que le tarif de traitement d’une tonne d’ordures ménagères s’élève à 103€, alors que celui d’une tonne de déchets alimentaires n’est que de 19€ (Tarifs de traitement Syctom 2022). Elle permettra d’optimiser le coût global de traitement de nos déchets» explique l’interco.  «Mais l’enjeu est aussi environnemental, puisque les déchets issus de nos assiettes vont à terme produire de l’énergie par méthanisation et contribuer ainsi à la production d’une énergie renouvelable se substituant aux énergies fossiles. Ils seront aussi utilisés pour fabriquer un compost destiné à l’agriculture, limitant ainsi le recours aux engrais chimiques» ajoute-t-elle.  

    La nouvelle collecte des déchets alimentaires se déploiera progressivement entre 2023 et 2025 sur l’ensemble du territoire. Des éco-animateurs viendront à domicile pour distribuer un kit de tri, constitué d’un bioseau et de sacs transparents et compostables (pour une durée de 6 mois) dans les secteurs concernés, et répondront aux questions sur le tri de ces déchets alimentaires des habitants.