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gpso - Page 154

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    Vanves commence à prendre des airs de vacances même si ce n’est pas tout à fait le cas encore pour beaucoup d’habitants. Mais la chaleur de ses derniers jours invite à la non-chalance. Aujourd’hui, Gilbert Chauvin passe le relais à l’Amandine après 20 ans au service de la restauration de Vanves. Beaucoup de personnalités, d’amis devraient se retrouver ce soir à partir de 19H pour lui dire en-revoir et bon courage pour une nouvelle vie. Et saluer les nouveaux propriétaires Annie et Pascal Guignard qyui devraient ré-ouvrir après quelques travaux pour la mi-Août. Demain, la ville de Vanves accueille la réunion publique sur la création d’un jardin sur la dalle couverte du périphérique porte Brancion qui aura lieu à 19H à la mairie. Ce seront les quelques temps forts de cette semaine, ce qui n’empêche un retour sur la semaine  passée qui a été marqué par plusieurs événements.

    PRESIDENTIELLE : VOTE SUR LES PRIMAIRES

    Au moins, chez le PS, les militants sont sollicités pour donner leur avis et leurs opinions, même si leur participation n’est pas à la hauteur des espérances de leurs responsables. Jeudi dernier, ils avaient l’occasion entre 17H et 22H de venir voter à leur permanence de la rue rue sadi Carnot sur le projet de rénovation de leur parti, portant sur le non cumul des mandats et la mise en place de primaires pour désigner leur candidat à la présidentielle de 2012. Sur 30 adhérents à jour de cotisation, 16 ont votés : 12 Pour, et 4 Contre. Au niveau national 76,65% ont approuvés ce projet de rénovation. « Ce vote est intervenu après un débat en section le mardi précédent. Les avis étaient très partagés sur ces primaires, et le sont surtout sur ses modalités d’ouverture. Beaucoup ont soulevé la question sur la parité hommes-femmes et bien sûr sur le non-cumul des mandats » explique Fabian Estellano, secrétaire de la section PS de Vanves en constatant : « J’ai rencontré des vanvéens qui m’ont demandé : « Quand est-ce qu’on vote pour les primaires ! » Et ils n’étaient pas socialistes ». Preuve que cete question intéresse beaucoup de citoyens vanvéens. Mais à l’UMP et au NC, ils dorment ou ils sont déjà en vacances.

    CANTONALES : L’UMP RENACLE SUR VANVES

    Elles sont déjà dans toutes les têtes, même si les candidatures ne sont pas officielles. Le PS en est à la candidature à la candidature qui doit faire l’objet d’un vote de la section : Guy Janvier est sur les rangs comme sortant avec pour suppléante, Valérie Matthey. Le maire Bernard Gauducheau est candidat avec pour suppléante possible, Françoise Saimpert, pour reprendre son siége perdu en 2004. Mais voilà, Première Heure, Journal par Fax révélait Vendredi dernier la cuisine interne qui secoue l’UMP, pour les investitures aux cantonales qui a fait l’objet d’une réunion du bureau politique de la fédération UMP 92. Ses responsables ont décidé que pour les siéges du NC, une délégation ira rencontrer André Santini et Hervé Marseille pour parlementer ; « d’autant plus à l’UMP on renâcle sur un soutien à Bernard Gauducheau à Vanves ou à Jean Loup Metton à Montrouge ».  

    CONSERVATOIRE : OUVERTURE EN AVRIL 2013

    Le Conseil de la Communaité d’Agglomération de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) a examiné Jeudi dernier l’attribution du marché de la maîtrise d’œuvre pour la construction du nouveau conservatoire rue de Solférino, au cabinet 3 Badin et Renaud. Il faut rappeler que ce projet a fait l’objet d’au avis public à la concurrence lancé par Arc de Seine qui avait reçu 96 candidatures. Un jury avait permis de sélectioner le 20 Octobre 2009 trois équipes de maîtres d’œuvre dont les cabinets Fabre et Speller, Badia et Berger, 3 Babin et Renaud. Et le jury avait classé ce dernier en premier de la liste lors de la réunion du jury le 11 Mai 2010, qui a été retenu car « il répond au mieux aux besoins de la communauté d’agglomération : Exploitation intégrale du sous-sol permettant d’optimiser la gestion des espaces tout en assurant un traitement acoustique, large parvis ouvert sur l’espace public permettant de marquer clairement le statut d’équipepment public, configuration d’un auditorium permettant de s’adapter à l’ensemble des configurations possibles liées aux activités de danse, théâtre et musique, projet s’inscrivant dans une démarche de développement durable volontaire de par la compacité du bâtiment et par les choix constructifs proposés ». Les travaux devraient se mponter à 10,52M€ et être terminé pour Avril 2013.  

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : RETOUR SUR LE PASSE

    Eclairage sur le Grand Paris d’un historien à un moment où une nouvelle étape se dessine avec le déblocage sur le SDRIF et l’adhésion de notre communauté d’agglomération  GPSO et de ses 7 villes de droite dont Vanves à Paris Métropole. Emmanuel Bellanger est l’auteur d’un livre passionnant sur « Sceaux et le Grand Paris, du patriotisme municipal aux solidarités métropolitaines XIX-XXéme siécles » (Collection Regards sur Sceaux) préfacé par Bertrand Delanoë maire de Paris avec une interview de Philippe Laurent, son maire qui en a été à l’initiative. Chargé de recherche du CNRS au Centre d’histoire sociale du XXe siècle de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Emmanuel Bellanger est un spécialiste de l’histoire politique, sociale, urbaine de la banlieue parisienne et du Grand Paris. Il est l’auteur de plusieurs contributions sur les élus locaux, les fonctionnaires territoriaux et les politiques publiques locales.

     

    Emmanuel Bellanger : « C’est le retour d’un Grand Paris dont la gouvernance est longtemps restée taboue ».

     

    Vanves Au Quotidien - En quoi l’idée d’un Grand Paris n’est pas nouvelle ?

    Emmanuel Bellanger : « L’histoire du Grand Paris est née avec l’urbanisation et la densification de l’agglomération parisienne au XIXe siècle. Loin d’être une invention récente, la formation d’un Grand Paris, liant la capitale aux communes de la première couronne, est souhaitée et revendiquée par les élus de l’agglomération parisienne. Le Grand Paris épouse les limites administratives de la préfecture de la Seine et du conseil général de la Seine. Cette assemblée départementale joue le rôle essentiel d’instance de gouvernement d’agglomération. Elle constitue un puissant levier d’intégration et de cohésion urbaine pour les communes avoisinant la capitale.

    Dans cette configuration institutionnelle de coopération, incarnée durant l’entre-deux-guerres par l’autorité d’Henri Sellier, maire de Suresnes et secrétaire général de l’association des maires de la Seine, la ville de Paris cofinance une part importante des équipements des villes de la proche banlieue sous pression démographique.

    VAQ - Expliquez-nous comment est-on passé du patriotisme municipal aux solidarités métropolitaines au cours du XXe siècle ?

    E.B. : « L’image des communes repliées sur elle-même, rivées sur leurs acquis, incapables de nouer des ententes, des compromis avec les collectivités environnantes, qui forment avec elle ce qu’il est convenu d’appeler le « Grand Paris », est en dissonance avec la réalité. Le conseil général de la Seine réalise en banlieue des cités jardins d’habitations à bon marché, les ancêtres des HLM, des dispensaires, des écoles de plein air, des crèches… Il finance l’assainissement du département et son alimentation en eau potable, se lance dans de grands travaux de lutte contre les inondations. De leur côté, les communes du Grand Paris innovent en inventant, à partir des années 1900, de grands syndicats intercommunaux du gaz, des pompes funèbres, de l’électricité, de l’eau, des cimetières, des hôpitaux…

    Le Grand Paris du XXe siècle devient le territoire par excellence des coopérations départementales et intercommunales. Cette expérience exemplaire est cependant interrompue par la loi du 10 juillet 1964. Cette loi fondamentale démembre le département de la Seine au profit des nouvelles entités départementales et désolidarise la capitale de sa proche banlieue.

    VAQ - Quel regard porte l’historien sur les initiatives prises aujourd’hui tant par les élus avec Paris Métropole que le gouvernement avec le projet du Grand Paris ?

    E.B. : « Si l’histoire ne se répète pas, force est de constater que la recherche aujourd’hui d’une gouvernance métropolitaine n’est sans résonance avec l’histoire du département de la Seine créé sous la Révolution française. La rupture fondamentale de 1964 a contribué à couper la capitale et les départements de la Seine-Saint-Denis, du Val-de-Marne et des Hauts-de-Seine de leur environnement institutionnel.

    Cette rupture a surtout brisé le système de péréquation qui existait au temps du Grand Paris et dont profitaient les communes les plus exposées aux maux de la civilisation urbaine (croissance démographique déséquilibrée, étalement urbain non maîtrisé, enclavement, désindustrialisation, paupérisation…). Jusque dans les années 1960, en dépit des clivages politiques très marqués entre la banlieue rouge prédominante et la capitale d’esprit plus conservateur, les collectivités locales les plus riches participaient à l’intégration urbaine des collectivités les plus pauvres.

    Depuis le tournant des années 2000, les collectivités locales semblent vouloir tourner la page de leur isolement et réparer ce que l’État avait contribué à défaire en 1964. Il est paradoxal de mesurer qu’au moment où le pouvoir central institue en province, en 1959 et en 1966, des gouvernements d’agglomération sous la forme des districts urbains et des communautés urbaines, il met un terme à l’expérience politique de l’agglomération capitale qui avait pourtant fait ses preuves. La priorité, à l’époque, se polarise sur l’institutionnalisation du district de la région parisienne, inconciliable selon Paul Delouvrier à la tête du district, avec le maintien du département de la Seine et de sa préfecture, considérée comme un État dans l’État.

    Aujourd’hui, la création du syndicat mixte Paris Métropole, l’institution d’un secrétariat d’État au développement de la région capitale, les prises de positions du Président de la République ou la médiatisation du projet du sénateur Dallier et des propositions du comité Balladur marquent sans conteste le retour d’un Grand Paris dont la gouvernance est longtemps restée taboue.

    VAQ - Quelles leçons de l’histoire nos élus du Grand Paris ont il intérêt à retenir pour demain ?

    E.B. : « Dans l’intérêt de leurs concitoyens, leurs prédécesseurs, de toutes tendances politiques, ont montré l’exemple en dépassant les clivages partisans et en acceptant de mutualiser une partie de leur richesse. Laisser certains territoires de l’agglomération parisienne s’enfoncer dans la ghettoïsation et la paupérisation aura, in fine, de graves conséquences sur la cohésion de l’ensemble du territoire métropolitain. Le courage politique aujourd’hui est de faire œuvre de pédagogie et de s’engager dans une coopération exemplaire. L’attractivité de la métropole francilienne en dépend.

  • LES MOTS QUI FACHENT AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : EMPRUNT, COMMERCE, PREEMPTION, JEUNESSE, THD, GPSO….

    4 vanvéens s’étaient déplacés mardi soir par curiosité, pour assister au dernier Conseil Municipal avant les vacances. 39 délibérations étaient inscrites à l’ordre du jour qui ont été examinées en 3H. « On mérite la médaille de la citoyenneté lorsqu’on voit le nombre de vanvéens présents » constatait l’un des quatre spectateurs à la fin lors d’un pot offert par le maire aux élus et vanvéens présents. Guy Janvier (PS) considérait de son côté avoir joué son rôle d’opposant avec ses co-listiers sans en avoir rajouté pour ne pas faire durer un conseil qui aurait pu être plus long. Ce qui n’a pas empêché quelques pics et échanges vifs entre le maire NC et le Conseil Général PS qui augure bien de la campane pour les cantonales.

     

    Pour le compte administratif 2009, Bernard Gauducheau a indiqué que « 2009 amorçait des tendances positives concernant les marges financières de la ville » avec « un retour à des niveaux d’épargne jamais connu depuis 2001, ce qui a permis le recours à l’emprunt ». Et il a parlé de « cercle vertueux …permettant de limiter les dépenses de fonctionnement ». En notant que l’appel d’offre sur l’opération Cabourg a permis d’économiser 1 ME. Pour Guy Janvier (PS), « il traduit la politique menée dans cette ville que nous partageons pas ». Il s’en est pris aux politiques de la jeunesse, du commerce « qui ne sont pas à la hauteur des besoins »… « Il suffit de se promener à Vanves pour s’apercevoir que des commerces ferment et sont remplacés par des activités bancaires ». Du coup Alain Toubiana lui a répondu, un peu plus tard à l’occasion de l’édition 2010 de la journée du Commerce de Proximité, plus calmement « car je ne voudrais pas apparaître dans votre blog comme vous ayant agressé. Tous les locaux sont occupés à Vanves. Une seule banque a repris un local sur le Plateau »  - « toujours fermé » selon Claudine Sharfe (PC) – «  On a installé un camion pizza à la piscine. La caisse d’Epagne va être reprise » -  « Par une banque » s’exclame Guy Janvier (PS) – « ce sont elles qui ont de l’argent » réplique Alain Toubiana qui  a continué sans se laisser distraire  : «  La 3éme tranche du FISAC permettra de rénover 3 vitrines, et de réaliser une signalisation commerciale avec l’aide de GPSO. Je ne suis qu’un pauvre conseiller municipal. Et je le fais avec mon cœur. Et on ne travaille pas dans la même direction » - « J’apprécie ce fait M.Toubiana. On fait tous le souhait que le commerce se développe » a précisé Guy Janvier(PS) . – « J’ai  proposé que vous donniez des idées » lui  a-t-il répondu – « On lui les a mis sur la table. On vous a demandé d’utiliser le droit de préemption. On a fait  des propositions en matière d’économie sociale et solidaire (ES)  qui ne se font pas » a répliqué le conseiller général.    « Mais déjà à votre époque, c’était difficile. Il faut rester serein »  a répliqué Isabelle Debré qui se souvenait de ses années de minoritaire au conseil municipal.  

     

    Pierre Toulouse (Verts) a insisté « sur le faible taux d’équipement par rapport à la population ». Le maire a répondu que « les projets d’équipements ne sont pas neutres »  en citant Cabourg (20 ME), Le Conservatoire (15 ME), les travaux de voirie…avec le soutien de GPSO. « Il y a malgré tout des investissements dont nous n’aurons pas à rougir lorsqu‘on pourra les comparer dans le temps » a-t-il répliqué en apportant des précisions sur le retard pris par le parking Papillon qui permettrait l’ouverture de100 places de parkings supplémentaires : « Les raisons en sont des travaux de sécurité demandés par la BSPP à hauteur de 300 000 E et le transfert à GPS des compétences circulation-stationnement ». Il est à noter d’ailleurs que les nouveaux transferts de compétence à GPSO, ont provoqué de nombreux retards dans plusieurs projets qui auraient dû commencer cette année, comme une affiche l’explique à l’entrée du parc F.Pic pour sa rénovation.

     

    DE l’ENERGIE A REVENDRE !

    D’ailleurs, il a été beaucoup question de cette communauté d’agglomération (CA) avec l’adhésion de la ville à GPSO Energie avec la convention qui a donné lieu à un exposé de la directrice de l’agence de l’Energie. Elle a présenté ses actions et surtout l’accompagnement de Vanves : « Nous travaillons avec les services techniques de la ville. Nous prenons connaissance de son patrimoine. Nous commençons à réfléchir à une vraie stratégie énergie dans ses bâtiments, à entamer une étude pour hiérarchiser les besoins, à définir un plan d’action qui doit être confié à un stagiaire ». Le Conseil Municipal a ensuite procédé à trois votes : Tout d’abord l’élection du représentant de la ville (B.Roche) et de son suppléant (J.Gazel) qui a donné lieu à un  vote à main levée car les verts ont proposé Claire Papy après avoir vainement tenté d’obtenir un second représentant (de la minorité municipale). Le PS a refusé de participer « à cette mascarade parce qu’il n’y a pas de représentation de l’opposition à GPSO » selon Guy Janvier. « Mais il n’y a qu’un poste » a répliqué Bernard Gauducheau.

     

    Ensuite la convention entre GPSO Energie et Vanves : son objectif  est de définir une politique de gestion énergétique du patrimoine bâti, de dresser un bilan énergétique de l’hôtel de ville, un accompagnement du projet de rénovation du parc F .Pic et de réaliser une fiche référence sur Cabourg. Les Verts ont considéré « qu’on est en deça de ce que l’on pouvait espérer d’une telle convention. Tout cela n’est pas lisible pour la population. On ne parle même pas d’Agenda 21. Il y a très peu d’articles de sensibilisation dans V.I. sur les initiatives de GPSO (en dehors des sujets sur l’énergie) ». Claire Papy s’est inquiété  « du manque de sensibilisation à destination des professionnels du bâtiment, des propriétaires » en parlant de l’OPAH St Remy,  de l’habitat social et des copropriétés.  Bernard Gauduceau a expliqué que « l’on recherche une méthodologie, que les services techniques recherchent une façon de faire. On ne va pas aussi vite que vous le souhaitez ».Enfin, l’une des premières traduction de cette action est la campagne d’information européenne « Display » qui doit permettre d’afficher dans les bâtiments publics les consommations d’énergie afin d’inciter les usagers à les diminuer.

     

    THD  ET PREEMPTION

    Les avenants apportés à l’opération Cabourg et notamment le déménagement du local Numéricâble donnérent lieu à quelques échanges. Guy Janvier a indiqué que « le PS est contre ses travaux car nous avons toujous été opposé à une aide publique de (59 ME) à cette société privée. C’est pourquoi nous avons déposé un recours car le THD Seine aurait pu très bien se faire sans cette aide. D’ailleurs le tribunal administratif de Versailles vient d’annuler cette délibération du Conseil Général ». Les Verts ont aussi voté contre « car Numéricâble n’est pas un service public et la ville n’a pas à financer un tel déplacement » selon Pierre Toulouse. Bernard Gauducheau a tenté d’expliquer que « tout cela est le résultat d’une histoire, celle du câble, et la politique à l’époque était de faire bénéficier de cette nouvelle  technologie toute la population ». Le maire a considéré qu’il ne faut pas fermer l’accès des vanvéens au THD. Et puis c’est vous qui avait fait voter l’occupation de ce local par Numéricâble lorque vous étiez maire ». David Mahé a considéré  que « c’est un devoir des élus d’assurer un accès égalitaire au THD des vanvéens. Par cette initiative contre le THD vous retardez cet accès aux vanvéens » - « La droite est plus sociale que la gauche »  s’est alors exclamé le maire. – « Vous n’avez pas de leçon à nous donner. Vous avez clairement souhaité que Vanves soit une ville de plus en plus résidentielle » a alors accusé  Guy Janvier. « Désinformation » lui a répondu Bernard Gauducheau.

     

    Il en a été de même à propos des acquisitions foncières de la ville : « C’est zéro. Un grand néant. La ville n’a pas utilisée son droit de préemption. Quelle est la différence entre une politique de droite qui suit la marché et une politique de gauche qui essaie de peser. Vous n’utilisez pas le droit de préemption. Et cela symbolise bien la politique que vous menez : Regardez la place de la République qui se meure sans activités. A part Jazz Défense, une fois par an ! . Si vous aviez fait joué le droit de préemption, on aurait pu installer un équipement public » a expliqué Guy Janvier – « Quand vous aviez le droit de préemption, vous ne l’avez pas utilisé »  a répliqué le maire. La bataille des cantonales risquent d’être du même acabit.   

     

    JALOUSIE

    Les questions orales ont donné lieu à une petite crise de jalousie du front de gauche PS/PC vis à vis des Verts qui ont pu poser 3 questions alors que le PS n’a pu en poser qu’une et que le PC représenté par Claudine Sharfe en avait déposé une seconde…mais pas enregistrée à temps à cause d’un bug…bienvenu pour la Majorité Municipale. Et ce n’est pas la première fois. Le Maire a répliqué qu’il ferait voter dans le Règlement Intérieur une limitation à deux questions orales. Les verts ont re-soulevés la question des antennes relais à la suite d’une interpellation lors d’une réunion de quartier, se sont étonnés que les nouveaux mobiliers urbains et notamment les abri bus n’offraient pas les mêmes services d’affichage dynamique que Decaux, notamment sur les temps d‘attente et la destination des bus – « c’est une question de temps ! » - et sur la circulation et les chantiers dans les rues J.Bleuzen et R Marcheron  en demandant de les mettre en sens unique et d’essayer par là même des itinéraires alternatifs via Malakoff et la rue de la République. Un avis a été demandé au Conseil Général. Les socialistes ont interrogé la municipalité sur le RSA : Ils sont  633 à Vanves.