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  • ELECTIONS DEPARTEMENTALES A VANVES : UNE CAMPAGNE APATHIQUE, ATONE

    L’ensemble des politiques, élus et militants, reconnaissent que cette campagne est particulièrement apathique, notamment à Vanves par rapport à Clamart où les lendemains de l’alternance gauche-droite sont assez chaud, avec les polémiques sur le logement et la cité 3 F à la Plaine, l’aménagement du quartier de la gare, l’interdiction de distribuer des prospectus etc… Peu de réunions publiques sont prévues : L’UMP avec Isabelle Debré et Jean Didier Berger à l’école Larmeroux hier soir et le 18 à Clamart (au théâtre Jean Arp), le FdeG/PC le 16 à Clamart (Maison des Associations) et le 18 à Vanves.  EELV ne fera pas de réunions publiques privilégiant le terrain. Quant au  PS, il  n’a communiqué ni dates, ni lieux pour l’instant.

    Les candidats privilégient plutôt de terrain à Vanves, devant Intermarché, Carrefour Market, mais aussi Lild au Clos Montholon, la gare Vanves/Malakoff mais aussi de Clamart où transitent des Vanvéens, le métro, tôt le  matin et en fin d’après-midi mais aussi le dimanche pour toucher les vanvéens qui vont au marché de Malakoff comme l’a fait le PS dimanche dernier.  Mercredi dernier, dés le matin, Boris Amoroz (FdeG/PC) était sur le Plateau avec Lucie Heurter et Gérard Aubineau pour commencer à distribuer leurs programmes résumés dans un « quatre pages ». Les portes à portes sont aussi de règle en fin d’après midi : «L'accueil est d'ailleurs particulièrement bon dans les HLM de l'office départemental à Vanves, ses habitants étant particulièrement sensibles aux problématiques et aux politiques du conseil général. Du côté de Clamart, le projet d'opération spéculative du maire, souhaitant détruire les 700 HLM des 3F interpelle non seulement les habitants desdits 3F, mais tous les habitants des HLM du Haut-Clamart lors de nos portes-à-portes »indique Boris Amoroz.

    Isabelle Debré (UMP) multiplie aussi les visites et les portes à portes, avec ou sans Jean Didier Berger, et participe à de nombreux manifestations locales comme ce fut le cas pour l’inauguration de la créche Pomme Canelle, et ce  sera le cas pour le match Expograph Vanves-Marseille samedi à 15H au PMS André Roche où elle donnera le coup d’envoi. Le programme des candidats UMP a été distribué le week-en dernier. Catherine Naviaux et Roland Nabiau, candidats écologistes privilégient le terrain, avec des rencontres avec les électeurs « dans des secteurs où ils ne sont pas forcément d’accord avec nous ». Elle a commencé à distribuer cette semaine, son  programme avec un quatre pages départemental intitulé« Vers plus de démocratie, Vers un environnement préservé, Vers une solidarité renforcée », et un tract plus local insistant les circulations douces entre Clamart et Vanves, les transports en commun

    Guy Janvier (PS) fait  même les sorties d’école avec Remy Carton son suppléant. Tout comme à droite, le conseiller général socialiste  est victime aussi de la « gréve de campagne » de certains élus et militants. La plupart des jeunes qui ont fait la campagne des municipales ne sont pas aussi présents  et mobilisés qu’en 2014,  en dehors de Remi Carton, qui parait - sur les réseaux sociaux - plus préoccupé par les motions et la préparation du Congrés PS que la campagne elle-même selon ses détracteurs. Mais ils sont tous les deux, sur le terrain pour tracter, boîter, rencontrer les électeurs. Cette gréve ou ce timide soutien s’explique aussi par le fait que la section est « hollandaise » alors que Guy Janvier est aubryste. Et le message de soutien de Martine Aubry n’a pas plu à certains. En tous les cas, le conseiller général  sortant  a le mérite de la persévérance,  ne se décourageant en aucune sorte devant l’adversité, ni les sondages qui se révèlent catastrophiques pour le PS. Il arrive tout de même en seconde place à 25% des voix contre 36% à I. Debré et JD Berger. « Tout est possible, rien n’est joué ! » répéte t-il inlassablement.

  • PETIT RAPPEL HISTORIQUE : L’EPHEMERE OFFICE HLM DE VANVES

    Voilà une petite contribution au débat sur le logement social qui anime beaucoup de débats politique à Vanves

     

    Cette fameuse cité Payret Dortail est le résultat d’un débat qui a seccoué durant de longues années la ville dirigée alors par Frédéric Pic et qui a vu la création  - mais éphémére – d’un Office Municipal d’Habitation entre 1930 et 1938.  Le Conseil Municipal s’était préoccupé entre 1921 et 1923 de constituer un « office Municipal d’Habitation à Bon Marché » (HBM). On ne parlait pas encore d’HLM. Mais voilà, il aurait fallu doter cet organisme de crédits importants. Or la commune se trouvait dans l’impossibilité de constituer les ressources nécessaires. Les effets de la Grande Guerre se faisaient encore sentir. Et puis nos élus s’en méfiaient faisant état des déboires vécues par des villes qui en avaient crées.  Il n’empêche que la municipalité cherchait à édifier un immeuble destiné aux personnes menacées d’expulsion ou habitant les propriétés frappées d’expulsion pour des causes diverses. 

    Elle fait état lors du Conseil municipal du 1er Mars 1925 de démarches pressantes auprés du l’Office d’HBM de la Seine pour édifier un immeuble sur un terrain de la  rue – qu’elle a acquise -  de Chatillon contenant 200 logements à bon marché. Sa construction devait commencer en 1925, mais l’office l’a retardé obligé de pourvoir à des besoins plus pressants et subissant quelques problèmes financiers. Ses ingénieurs avaient néanmoins établi un plan pour 75 logements.

    Ce n’est pas qu’après la construction de cette cité de 135 logements – la municipalité en avait souhaité 400 – que le Conseil Municipal s’est décidé le 8 Mai 1930 à créér l’Office Municipal d’HBM avalisé par l’Etat le 12 Juilllet 1931. Sûremment  parce qu’il ne bénéficiait pas de la possibilité d’attribuer beaucoup de ses nouveaux logements sociaux : 15 à 18 sur les 135, ce qui donna lieu à de graves mécontentements et quelques contentieux. Cet office avait pour mission de construire 40 logements sociaux rue Sadi Carnot. Des terrains furent acquis, des crédits d’Etat furent sollicités puis « sabrés » selon F.Pic « en raison de sa situation financière » et « parce qu’il considérait que la situation du logement à Vanves ne nécessitait pas la construction d’HBM ». Il faut rappeler qu’à cette époque la Ville de Paris avec son Office HBM de la Seine construisait dans la zone dite des « fortifications » toute une série de cité HBM. Du coup, F.Pic prit la décision de dissoudre le 29 Mai 1938 cet office municipal.   

  • RETOUR SUR UN CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES TRES CHARGE

    Vanves Au Quotidien revient sur le conseil municipal du 28 Septembre dernier aujourd’hui seulement car l’actualité vanvéenne et régionale a été très riche ses derniers jours.

     

    SADI CARNOT : 724 912 € est le montant de la participation de la ville de Vanves à la requalification de la voirie et la rénovation de l’éclairage public des rues Sadi Carnot, Marceau et de la place du 8 Mai 1945, sur un montant total de 1 676 725 €, financé par GPSO. Rappelons que ces travaux doivent redonner à cet axe, la place aux piétons et vélos tout en permetant aux personnes de se réapproprier l’espace public, en favorisant le confort dans le déplacemernt des gens non mpotorisés, et en créant des zones de convivialité. Guy Janvier (PS) a demandé « si une concertation sera organisé avec les commerçants de la place du 8 Mai 1945….pour éviter ce qui a été fait Place de la République » -  « On refera un complément de communication » a assuré Bernard Gauducheau, maire NC.

     

    TOIT ET JOIE : 2,9 M€ est le montant de la garantie d’emprunt  octroyé par la ville de Vanves à la société d’HLM « Toit et Joie »  qui l’a siousdcrit à la CDC pour racheter à la société coopérative de production d’HLM « Maison Familiale de la Région Parisiene » un immeuble de 309 Logements situé 14 rue Auguste Comte et 5 rue Louis Vicat. En contrepartie, elle mettra à la disposition de la commune un contingent de 6 logements (20%).

     

    ARBRES : Dorénavant l’entretien des arbres plantés sur les voies départementales ne sont plus gérés par la commune de Vanves. C’est l’une des conséquences de l’accident qui s’était produit avenue du Général de Gaulle à la limite de Vanves et d’Isssy les Moulineaux durant les vacances de l’été 2009. Le Conseil Général a dû renoncer à cette délégation de compétence pour des raisons juridiques le 25 Juin dernier et assurer l’entretien dece patrimine à partir du 31 Décembre 2010.  Du coup, comme Vanves a dû confier à l’interco (GPSO) cet entretien jusqu’à la fin de l’année,  la ville ne disposant plus des moyens humains et techniques nécessaires pour le faire. Ce qui explique aussi le retard pris – d’un an - pour le réaménagement du parc F.Pic.

     

    SACRISTIE : Les travaux de rénovation de la sacristie et des vitraux de l’église Saint Remy, avaient amené l’entreprise Rossi à vérifier et à remplacer plusieurs joints et des volumes de verre endommagés suite à la découverte derrière l’habillage en bois des murs d’infiltration d’eau provenant d’un défaut d’étanchéité des vitraux situés sur la façade pignon. . Mais un fort taux d’humidité dans les murs situé en périphérie du local de la sacristie a été repéré grâce à l’apparition de tâches sur les murs. Les responsables de cette entreprise ont pensé qu’il s’agissait d’infiltrations enprovenance de l’ancienne toîture vétuste dont la couverture a été refaite. Mais de nouveaux relevés d’humidité réalisé un an après, ont révélé un taux élevé d’hulmidité s’expliquant par un phénoméne de capillarité du fait de l’ancienneté du bâti, et de son positionnement en bas du jardin du presbytére. Ainsi de nouveaux travaux ont été préconisés avec la mise en place d’un habillage simple des murs en périphérie, pour le moment traité avec un enduit ciment et chaux, afin de pouvoir terminer la remise au propre de l’ensemble de mla sacristie.  Ils ont été confié à la société Rossi pour un montant de 10 995 €  

     

    CHAPELLE : Le Conseil Municipal a lancée la réhabilitation avec ravalement de sa façade, de la chapelle de la Maison de Retraite Larmeroux en autorisant son directeur, à déposer une déclaration préalable pour ses travaux. C’était attendu depuis longtemps par de nombreux vanvéens attachés pour de multiples raisons à cet édifice construit dans les années 30 par les fréres Marme. Caractérisée par sa structure en piliers de béton revêtus de briquers et les haites baies vitrées étroites qui rythment sa façade, cette chapelle nécessite des travaux de réfection, en particulier un ravalement avec un netoyage de la brique, et une rénovation complète des vitrage en partie aujourd’hui cassés. « C’est une bonne chose de la réhabiliter. Mais comment allez-vous monter le plan de financement ?  J’ai entendu parler d’une société privée ? » a demandé Guy Janvier sans recevoir de réponses de Bernard Gauducheau qui s’est contenté de dire « qu’il est, pour nous, question d’autoriser à déposer une déclaration préalable par le directeur de la Maison de Retraite Larmeroux ». Ce qui ne l’avait empêché de laisser entendre lors de précédentes réunions de quartier que le maitre d’ouvrage de l’opération d’aménagement de l’îlot Marcheron était prêt à jouer les mécénes. N’est-ce pas un certaine société Cogedim ?

     

    TRIBUNAL : Dans le cadre de la recomposition de l’espace Cabourg (groupe scolaire, centres de loisirs, salle polyvalente, centre de jeunesse, restructuration de l’ancien commissariat, réalisation d’un parking souterrain de 80 places), il est apparu nécessaire de l’accompagner d’un ravalement du tribunal d’instance et d’un traitement de ses abords, dans le souci d’une « intégration visuelle harmonieuse ». Or le mur du nouveau parking côté Jacques Cabourg est le même que le mur de structure qui porte l’espace vert situé à gauche du tribunal, et il est physiquement impossible d’arrêter proprement le nouveau mur sans traiter sa prolongation existante. Or ce mur, derrière lequel se trouve un poste de distribution EDF fort important, est fortement dégradé à cause d’infiltrations, d’une mauvaise étancheité. Du coup, des travaux de réfection de ce mur sont nécessaires pour garantir la sécurité des installatioons électriques. Par ailleurs, comme la construction des murs de la nouvelle école élémentaire a nécessité la dépose de certaines portions du grillage existant sur les espaces verts situés de part et d’autre du tribunal, il est apparu nécessaire de les reprendre et d’en changer

     

    A SUIVRE …