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gpso - Page 151

  • LES MOTS QUI FACHENT AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : EMPRUNT, COMMERCE, PREEMPTION, JEUNESSE, THD, GPSO….

    4 vanvéens s’étaient déplacés mardi soir par curiosité, pour assister au dernier Conseil Municipal avant les vacances. 39 délibérations étaient inscrites à l’ordre du jour qui ont été examinées en 3H. « On mérite la médaille de la citoyenneté lorsqu’on voit le nombre de vanvéens présents » constatait l’un des quatre spectateurs à la fin lors d’un pot offert par le maire aux élus et vanvéens présents. Guy Janvier (PS) considérait de son côté avoir joué son rôle d’opposant avec ses co-listiers sans en avoir rajouté pour ne pas faire durer un conseil qui aurait pu être plus long. Ce qui n’a pas empêché quelques pics et échanges vifs entre le maire NC et le Conseil Général PS qui augure bien de la campane pour les cantonales.

     

    Pour le compte administratif 2009, Bernard Gauducheau a indiqué que « 2009 amorçait des tendances positives concernant les marges financières de la ville » avec « un retour à des niveaux d’épargne jamais connu depuis 2001, ce qui a permis le recours à l’emprunt ». Et il a parlé de « cercle vertueux …permettant de limiter les dépenses de fonctionnement ». En notant que l’appel d’offre sur l’opération Cabourg a permis d’économiser 1 ME. Pour Guy Janvier (PS), « il traduit la politique menée dans cette ville que nous partageons pas ». Il s’en est pris aux politiques de la jeunesse, du commerce « qui ne sont pas à la hauteur des besoins »… « Il suffit de se promener à Vanves pour s’apercevoir que des commerces ferment et sont remplacés par des activités bancaires ». Du coup Alain Toubiana lui a répondu, un peu plus tard à l’occasion de l’édition 2010 de la journée du Commerce de Proximité, plus calmement « car je ne voudrais pas apparaître dans votre blog comme vous ayant agressé. Tous les locaux sont occupés à Vanves. Une seule banque a repris un local sur le Plateau »  - « toujours fermé » selon Claudine Sharfe (PC) – «  On a installé un camion pizza à la piscine. La caisse d’Epagne va être reprise » -  « Par une banque » s’exclame Guy Janvier (PS) – « ce sont elles qui ont de l’argent » réplique Alain Toubiana qui  a continué sans se laisser distraire  : «  La 3éme tranche du FISAC permettra de rénover 3 vitrines, et de réaliser une signalisation commerciale avec l’aide de GPSO. Je ne suis qu’un pauvre conseiller municipal. Et je le fais avec mon cœur. Et on ne travaille pas dans la même direction » - « J’apprécie ce fait M.Toubiana. On fait tous le souhait que le commerce se développe » a précisé Guy Janvier(PS) . – « J’ai  proposé que vous donniez des idées » lui  a-t-il répondu – « On lui les a mis sur la table. On vous a demandé d’utiliser le droit de préemption. On a fait  des propositions en matière d’économie sociale et solidaire (ES)  qui ne se font pas » a répliqué le conseiller général.    « Mais déjà à votre époque, c’était difficile. Il faut rester serein »  a répliqué Isabelle Debré qui se souvenait de ses années de minoritaire au conseil municipal.  

     

    Pierre Toulouse (Verts) a insisté « sur le faible taux d’équipement par rapport à la population ». Le maire a répondu que « les projets d’équipements ne sont pas neutres »  en citant Cabourg (20 ME), Le Conservatoire (15 ME), les travaux de voirie…avec le soutien de GPSO. « Il y a malgré tout des investissements dont nous n’aurons pas à rougir lorsqu‘on pourra les comparer dans le temps » a-t-il répliqué en apportant des précisions sur le retard pris par le parking Papillon qui permettrait l’ouverture de100 places de parkings supplémentaires : « Les raisons en sont des travaux de sécurité demandés par la BSPP à hauteur de 300 000 E et le transfert à GPS des compétences circulation-stationnement ». Il est à noter d’ailleurs que les nouveaux transferts de compétence à GPSO, ont provoqué de nombreux retards dans plusieurs projets qui auraient dû commencer cette année, comme une affiche l’explique à l’entrée du parc F.Pic pour sa rénovation.

     

    DE l’ENERGIE A REVENDRE !

    D’ailleurs, il a été beaucoup question de cette communauté d’agglomération (CA) avec l’adhésion de la ville à GPSO Energie avec la convention qui a donné lieu à un exposé de la directrice de l’agence de l’Energie. Elle a présenté ses actions et surtout l’accompagnement de Vanves : « Nous travaillons avec les services techniques de la ville. Nous prenons connaissance de son patrimoine. Nous commençons à réfléchir à une vraie stratégie énergie dans ses bâtiments, à entamer une étude pour hiérarchiser les besoins, à définir un plan d’action qui doit être confié à un stagiaire ». Le Conseil Municipal a ensuite procédé à trois votes : Tout d’abord l’élection du représentant de la ville (B.Roche) et de son suppléant (J.Gazel) qui a donné lieu à un  vote à main levée car les verts ont proposé Claire Papy après avoir vainement tenté d’obtenir un second représentant (de la minorité municipale). Le PS a refusé de participer « à cette mascarade parce qu’il n’y a pas de représentation de l’opposition à GPSO » selon Guy Janvier. « Mais il n’y a qu’un poste » a répliqué Bernard Gauducheau.

     

    Ensuite la convention entre GPSO Energie et Vanves : son objectif  est de définir une politique de gestion énergétique du patrimoine bâti, de dresser un bilan énergétique de l’hôtel de ville, un accompagnement du projet de rénovation du parc F .Pic et de réaliser une fiche référence sur Cabourg. Les Verts ont considéré « qu’on est en deça de ce que l’on pouvait espérer d’une telle convention. Tout cela n’est pas lisible pour la population. On ne parle même pas d’Agenda 21. Il y a très peu d’articles de sensibilisation dans V.I. sur les initiatives de GPSO (en dehors des sujets sur l’énergie) ». Claire Papy s’est inquiété  « du manque de sensibilisation à destination des professionnels du bâtiment, des propriétaires » en parlant de l’OPAH St Remy,  de l’habitat social et des copropriétés.  Bernard Gauduceau a expliqué que « l’on recherche une méthodologie, que les services techniques recherchent une façon de faire. On ne va pas aussi vite que vous le souhaitez ».Enfin, l’une des premières traduction de cette action est la campagne d’information européenne « Display » qui doit permettre d’afficher dans les bâtiments publics les consommations d’énergie afin d’inciter les usagers à les diminuer.

     

    THD  ET PREEMPTION

    Les avenants apportés à l’opération Cabourg et notamment le déménagement du local Numéricâble donnérent lieu à quelques échanges. Guy Janvier a indiqué que « le PS est contre ses travaux car nous avons toujous été opposé à une aide publique de (59 ME) à cette société privée. C’est pourquoi nous avons déposé un recours car le THD Seine aurait pu très bien se faire sans cette aide. D’ailleurs le tribunal administratif de Versailles vient d’annuler cette délibération du Conseil Général ». Les Verts ont aussi voté contre « car Numéricâble n’est pas un service public et la ville n’a pas à financer un tel déplacement » selon Pierre Toulouse. Bernard Gauducheau a tenté d’expliquer que « tout cela est le résultat d’une histoire, celle du câble, et la politique à l’époque était de faire bénéficier de cette nouvelle  technologie toute la population ». Le maire a considéré qu’il ne faut pas fermer l’accès des vanvéens au THD. Et puis c’est vous qui avait fait voter l’occupation de ce local par Numéricâble lorque vous étiez maire ». David Mahé a considéré  que « c’est un devoir des élus d’assurer un accès égalitaire au THD des vanvéens. Par cette initiative contre le THD vous retardez cet accès aux vanvéens » - « La droite est plus sociale que la gauche »  s’est alors exclamé le maire. – « Vous n’avez pas de leçon à nous donner. Vous avez clairement souhaité que Vanves soit une ville de plus en plus résidentielle » a alors accusé  Guy Janvier. « Désinformation » lui a répondu Bernard Gauducheau.

     

    Il en a été de même à propos des acquisitions foncières de la ville : « C’est zéro. Un grand néant. La ville n’a pas utilisée son droit de préemption. Quelle est la différence entre une politique de droite qui suit la marché et une politique de gauche qui essaie de peser. Vous n’utilisez pas le droit de préemption. Et cela symbolise bien la politique que vous menez : Regardez la place de la République qui se meure sans activités. A part Jazz Défense, une fois par an ! . Si vous aviez fait joué le droit de préemption, on aurait pu installer un équipement public » a expliqué Guy Janvier – « Quand vous aviez le droit de préemption, vous ne l’avez pas utilisé »  a répliqué le maire. La bataille des cantonales risquent d’être du même acabit.   

     

    JALOUSIE

    Les questions orales ont donné lieu à une petite crise de jalousie du front de gauche PS/PC vis à vis des Verts qui ont pu poser 3 questions alors que le PS n’a pu en poser qu’une et que le PC représenté par Claudine Sharfe en avait déposé une seconde…mais pas enregistrée à temps à cause d’un bug…bienvenu pour la Majorité Municipale. Et ce n’est pas la première fois. Le Maire a répliqué qu’il ferait voter dans le Règlement Intérieur une limitation à deux questions orales. Les verts ont re-soulevés la question des antennes relais à la suite d’une interpellation lors d’une réunion de quartier, se sont étonnés que les nouveaux mobiliers urbains et notamment les abri bus n’offraient pas les mêmes services d’affichage dynamique que Decaux, notamment sur les temps d‘attente et la destination des bus – « c’est une question de temps ! » - et sur la circulation et les chantiers dans les rues J.Bleuzen et R Marcheron  en demandant de les mettre en sens unique et d’essayer par là même des itinéraires alternatifs via Malakoff et la rue de la République. Un avis a été demandé au Conseil Général. Les socialistes ont interrogé la municipalité sur le RSA : Ils sont  633 à Vanves.  

  • AVEC GPSO, VANVES SE TROUVE SUR UN TERRITOIRE DE QUALITE, EN MOUVEMENT, ATTRACTIF ET INNOVANT

    A l’occasion du Forum Agenda 21 du GPSO vendredi dernier à Boulogne, avec des élus et des associatifs des 7 communes de la communauté d’agglomération, qu’a animé Bernard Gauducheau, Vice président chargé de ce dossier, un diagnostic très intéressant, réalisé par le BE (Bureau d’Etudes) INDDIGO a  été présenté et servira de base de travail aux ateliers thématiques qui devraient se réunir entre le 28 Juin et le 2 Juillet prochain

     

    Un mot caractérise ce territoire de 350 000 habitants, 21 000 entreprises, 160 000 emplois  selon le BE Inddigo : la qualité en terme d’espaces, de patrimoine  d’emploi, de services. Il est toujours en mouvement, attractif (+6% d’habitants entre 1999 et 2006, +16,5% d’établissements entre 2000 et 2008),  avec une concentration accrue à Boulogne et à Issy les Moulineaux (73% des établissements), une composition commerciale globalement équilibrée, mais un recul de l’offre de proximité, une offre importante en transports en commun, mais avec une densité insuffisante au regard du nombre d’emplois et d’habitants. Aucun mode lourd de transports en commun ne traverse la Seine, aucun site propre, les liaisons de rocade ne sont pas  très bonne et il y a peu de continuité entre les liaisons douces. 

     

    Il est créateur d’emplois : + 43% entre 1997 et 2007 avec un taux d’augmentation annuelle 5 fois supérieur à l’accroissement démographique, dont la plupart se concentre à Boulogne et à Issy, mais une dissymétrie des flux qui illustre l’attractivité du territoire, mais aussi la difficulté de certains salariés à se loger sur le territoire. Le BE ne cache pas qu’une réflexion sera à mener sur le niveau d’équipements en services sociaux et médico-sociaux, les établissements privés de santé n’étant pas surreprésentés sur le territoire par rapport à la moyenne départementale. Ce territoire connaît une attractivité croissante pour les ménages parisiens qui  n’ont plus les moyens pour acheter à Paris – pour 250 000 € : Entre 60 et 65 m2 dans l’ancien. La construction de logements prévus par les PLH est de 1640 logements par an entre 2006 et 2013 dont 38% en logements social, sachant que celui-ci représente 18,8 du parc de logements mais avec une certaine hétérogénéité selon la commune. Par contre en matière de culture, sports et loisirs, le niveau d’équipement est remarquable et structuré y copris pour les communes les moins peuplées.

     

    Le BE a constaté qu’il a un potentiel naturel relique qui reste très important, avec les forêts de Meudon et de Fausse Reposes qui sont des maillons essentiel de la ceinture verte de Paris, des territoires remarquables inventoriés comme riche sur le plan naturaliste  avec Meudon (forêt de feuillus avec une faune encore inféodée), les étangs de Chalais et de Meudon (batraciens et insectes), 6 espaces naturels sensibles, et une biodiversité « banale » qui se maintient par endroits grâce à un tissu urbain ouvert (maisons individuelles avec jardins).  Mais voilà, il souffre de nombreuses ruptures de continuités écologiques à cause des infrastructures de communications fragmentant les ensembles, d’une pression humaine forte avec un besoin de fréquentation des espaces naturels, d’une pression foncière,  une utilisation de produits phytosanitaires dans les parcs et jardins privatifs nuisant à la biodiversité, une qualité de l’air marquée par la pollution automobile, et des nuisances sonores provenant essentiellement des transports avec un fort impact de l’héliport d’Issy, et de voies rapide (D910, RN118…). Son territoire est globalement et fortement consommateur d’énergie et émetteur de gaz à effet de serre, bien qu’inférieur à la moyenne nationale (5 t eq.CO2/hab. Contre 6 en France). Il manque de déchetterie pour certains habitants et il ne connaît pas de gestion des déchets verts.

  • VANVES AVEC GPSO S’ENGAGE A REJOINDRE PARIS METROPOLE ET A ARRETE UN AGENDA 21

    Beaucoup d’élus, dans l’opposition,  se plaignaient que l’on ne parle pas assez de la nouvelle communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest (GPSO) ou qu’elle ne soit pas assez agissante. Depuis Vendredi dernier, ils sont servis. Non seulement ils ont assistés au démarrage d’une grande concertation sur l’élaboration de l’agenda 21 Vendredi matin, mais hier, un communiqué de presse a annoncé que le Bureau Communautaire du 10 Juin a décidé de soumettre au Conseil Communautaire du 24 Juin, le principe d’adhésion de leur établissement public au syndicat mixte Paris Métropole.

     

    « Si nous nous sommes GPSO, ce n’est pas pour rien ! »

     

    Alors que la plupart des élus de la Majorité Présidentielle étaient très réticent pour rejoindre Paris Métropole créé voilà plus d’un an, GPSO et ses 7 Maires ont décidé de s’engager ensemble pour l’adhésion à Paris Métropole : « Nous avons constaté que le dossier d’aménagement du Grand Paris s’était quelque peu débloqué la semaine dernière à la suite du déjeuner accordé par le Président de la République à Jean Paul Huchon et à Bertrand Delanoë. Où il a été dit, d’une part que le SDRIF serait transmis au Conseil d’Etat, d’autre part, effectivement le Grand Paris pourrait s’appuyer sur les compétences de Paris Métropole. A partir de là, il nous apparaissait évident qu’il fallait entrer dans Paris Métropole. Et nous allons peser très sérieusement, car sur les 110 collectivités adhérentes, nous allons arriver à huit. Et comme il y a deux colléges séparés, avec d’un côté les communes et intercommunalités avec 95 adhérents, nous serons 8 sur 95, et de l’autre les conseils généraux et le conseil régional » explique Pierre Christophe Baguet, président de GPSO. « Si nous nous sommes appelés Grand Paris Seine Ouest, ce n’est pas pour rien. C’est pour peser justement sur le développement. Nous sommes le deuxiéme pôle économique d’Ile de France avec la Défense. Le développement économique passe par GPSO » ajoute le député maire de Boulogne.

    « Et nous défendrons le respect du développement économique tout en n’étant pas contre un développement harmonieux de  Paris. Mais le développement doit se faire vers le haut et pas vers le bas. Le projet du Grand Paris est de faire une « ville monde » comme le dit Christian Blanc. Et nous voulons nous inscrire dans cette logique là. Et c’est ce que nous faisons avec nos propres communes aujourd’hui. Nous sommes en pleine coopération, élus, entreprises, habitants. GPSO est une communauté qui a du sens sur le plan économique et humain ». Les conseils municipaux des 7 communes de GPSO proposeront à leur conseil municipal respectif de rejoindre également cette instance.

     

    VANVES A ANIME LE FORUM AGENDA 21 DE GPSO

     

    La première série d’ateliers organisé à l’occasion du forum Agenda 21 de GPSO (grand Paris Seine Ouest) vendredi dernier à Boulogne a été frustrante selon les dires de certains participants, élus et associatifs des 7 communes de cette communauté d’agglomération. « Il aurait fallu plus de temps pour pouvoir s’exprimer car le diagnostic et les enjeux bien posés par le bureau d’études Inddigo soulévent beaucoup de questions ». Il est vrai qu’en une matinée, les participants ont eu le droit à une présentation du travail de ce bureau d’études à partir duquel se sont réunis 4 groupes de travail – développement économique ; cohésion sociale et solidarités, habitat, culture, loisirs ; biodiversité et ressources naturelles, risques et nuisances, énergie et climat ; aménagement, mobilités et gouvernance – suivi par une restitution de leurs premiers travaux. Pierre Christophe Baguet, député maire de Boulogne a expliqué que c’est une démarche qui lui tient à cœur en rappelant que « Arc de Seine et Val de Seine n’avaient pas attendu leur fusion au début de l’année pour commencer à agir dans ce domaine, la première ayant mis en place un Agenda 21 et la seconde un Plan Energie Climat territorial  avec des mesures comme le développement des éco-quartiers, des subventions d’équipements aux particuliers (panneaux solaires), un bilan carbone, l’installations d’ampoules leds pour l’éclairage public, une Agence de l’Energie etc… »

     

    « Dès le début de l’année 2009, elles se sont rapprochées pour se mettre d’accord sur la définition d’un projet commun d’Agenda 21 dont le volet « énergie-climat » constituerait le Plan Climat Territorial de GPSO. Ainsi, cet Agenda 21 sera composé d’une stratégie territoriale de développement durable et d’un plan d’actions qui sera renouvelé régulièrement en fonction du niveau d’atteinte des objectifs que nous nous serons fixés » a expliqué Bernard Gauducheau, maire de Vanves qui est chargé de ce dossier et préside un Comité de Pilotage Agenda 21 où sont représentés les 7 communes et dont le rôle  est de s’assurer du bon déroulement de la démarche.

     

    Il a confié au bureau d’études Inddigo la mission de réaliser un diagnostic territorial des enjeux de développement durable à l’échelle du territoire de GPSO en s’appuyant sur le cadre de référence national « Projet territoriaux de développement durable et Agendas 21 locaux » du Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer, décliné en 5 finalités : La lutte contre le changement climatique ; la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources ; la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations ; l’épanouissement de tous les êtres humains ; Une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables.

     

    « Un fois ce travail effectué, le diagnostic n’en est pas pour autant complet.  Pour achever cette phase il convient de le soumettre à la concertation et de le partager avec les acteurs du territoire » a indiqué Bernard Gauducheau qui a expliqué aux participants ce qu’il attendait d’eux : « Vous êtes la substantifique moelle. Vous avez le capital, la matière grise qu’il faut mettre noir sur blanc… Pour pouvoir obtenir des résultats concrets, nous sommes convaincus de la nécessité de hiérarchiser et de prioriser les enjeux et les axes de progrès dégagés par le diagnostic. Cela permettra in fine de dégager les axes prioritaires d’actions qui constitueront l’ossature de l’Agenda 21 ». Cette première phase devrait être suivie par une série d’ateliers thématiques dans la semaine du 28 Juin au 2 Juillet pour permettre aux participants « de produire de façon plus poussée et plus détaillée des idées d’actions pour répondre aux enjeux identifiés comme prioritaires par le Comité de Pilotage à la suite du Forum. Ces rencontres devront ainsi dégager un certain nombre d’orientations qui pourront constituer la trame de l’Agenda 21 et des propositions d’actions qui pourront abonder le plan d’actions de l’Agenda 21 ».