Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gabriel attal premier ministre - Page 3

  • AVEC L’AFFAIRE CIOTTI, LES REPUBLICAINS DE VANVES SONT AUSSI SOUS PRESSION

    «Nous dénonçons vigoureusement la décision contre-nature d’Éric Ciotti d’unir Les Républicains au Rassemblement National et soutenons la décision prise par le bureau politique de l’exclure du parti» a indiqué Sandrine Bourg, déléguée LR de la 10ème circonscription des Hauts-de-Seine qui a réuni au lendemain des élections européennes, son comité de circonscription, pour faire le point de la situation après les élections européennes et la dissolution de l’Assemblée Nationale avec ses répercussions avec notamment d’Eric Ciotti, président de LR qui a mis le feu aux poudres

    Georges Siffredi président du conseil Départemental des Hauts de Seine où siége Sandrine Bourg avait annoncé dés lundi, décidé de claquer la porte : «Suite à l’annonce d’Éric Ciotti, qui renie les valeurs qui constituent l’essence même de notre famille politique et fondent mon engagement depuis 43 ans, j’ai décidé de quitter Les Républicains» expliquait il dans un communiqué «J’ai toujours revendiqué mon attachement au gaullisme : il est urgent aujourd’hui de tracer le chemin d’une droite qui ne se compromet pas, mais reste fière de ses valeurs, au service de la France et des Français ». Philippe Juvin,  président de la fédération LR des Hauts-de-Seine et député sortant  de la 3e circonscription  n’excluait pas alors une démission en bloc des élus LR du territoire, qui compte dix-sept maires LR et quatre parlementaires. «Les plats de lentilles sont toujours froids» fustigeait il, dénonçant la position d’Éric Ciotti pour sauver son siège de député et pourquoi pas décrocher un ministère, quand bien même au sein d’un gouvernement RN. «Ce n’est pas notre ADN, pas notre culture politique, nous sommes le département de Nicolas Sarkozy et Patrick Devedjian» insistait l’ancien maire de La Garenne-Colombes.

    Il faut reconnaitre que ces élections européennes ont été un véritable séisme même si les Altoséquanais ont de nouveau placé en tête la liste de la majorité (Renaissance) qui a obtenu 19,55 % des suffrages exprimés (en perdant 14 points par rapport à 2019) et que les socialistes ont obtenu 16,54 % des suffrages exprimés, marquant une percée historique pour le parti dans un territoire traditionnellement ancré à droite. «Nous prenons acte du vote des électeurs lors des élections européennes dimanche dernier. Même si les scores des LR sont au dessus de la moyenne nationale (11,77% pour Issy-les-Moulineaux, 9,46% pour Vanves), notre voix et celle de notre candidat Francois-Xavier Bellamy n’ont pas réussi à convaincre» constatait Sandrine Bourg dans un communiqué publié sur son site facebook  où elle annonçait que LR Dans la 10e circonscription des Hauts de Seine soutiendrait Gabriel Attal. «Compte tenu des alliances locales historiques avec l’UDI et de notre souhait de combattre sans compromission les extrêmes et leurs alliés (de droite comme de gauche), nous avons pris la décision de ne pas présenter de candidat LR aux élections législatives et de soutenir la candidature de Gabriel Attal, la plus à même de battre les extrêmes. Cette position est d’ailleurs partagée par les 4 Maires de notre circonscription » soulignait elle en ajoutant « Nous veillerons cependant à ce que les valeurs de la droite républicaine que nous défendons, ainsi que notre voix, continuent à être entendues lors des prochaines échéances».

    En tous les cas, une chose est sûre, cette circonscription où se présente le plus jeune Premier ministre sera particulièrement scruté. Il a confirmé sa candidature dés lundi. Il était même déjà sur le terrain à Vanves, mercredi en fin d’après midi du côté du parc F.Pic et du centre Ancien, même s’il va se démultiplier à travers la France pour conduire la campagne de la majorité, et soutenir ses candidats, comme c’était le cas hier dans le Nord Pas de Calais. D’ailleurs un signe ne trompe pas lorsqu’il est présente à Vanves : le déploiement de policiers. A tel point que les vanvéens croyaient à un contrôle ou la poursuite de dealers en train de trafiquer

  • VANVES ENTRE EN CAMPAGNE…. SOUS PRESSION, AINSI QUE SON PREMIER MINISTRE

    Au lendemain de l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République, Emmanuel Macron, et de sa décision de convoquer les électeurs dans un délai inédit dans l’histoire de la Vé République, de nombreux maires s’inquiètent de leur capacité à organiser les deux scrutins prévus les 30 juin et 7 juillet dans des conditions satisfaisantes, comme sûrement à Vanves. Le calendrier choisi renforce cette difficulté au moment où les communes sont sollicitées par  l’organisation de nombreuses manifestations estivales, le début des congés scolaires annuels qui pèsent sur les effectifs mobilisables, ainsi que pour trouver des assesseurs pour les formations politiques. La mairie de Vanves aurait annulé les fêtes des écoles prévus l’avant-veille du 1er tour, ce qui a désolé les familles, car c’est la troisième fois après 2023 à cause des émeutes urbaines et en 2020/21 à cause de la crise sanitaire. Mais Vanves En Fête prévus ce samedi, comme la fête de la musique sont maintenues

    Les vanvéens devraient rapidement connaître les candidats qui se présenteront dans la 10e circonscription, puisque la date milite de dépôt des candidatures est dimanche prochain, 18H à la préfecture des Hauts de Seine, la campagne électorale débutant dés le lendemain. Gabriel Attal (sur la photo avec Claire Guichard sa suppléante) , a annoncé qu'il sera candidat dans cette circonscription où il avait été élu en 2022, avec 59,85% des voix au second tour face à la candidate Nupes Cécile Soubelet, avec 8 000 voix d'avance.

    Mais le vanvéen Premier Ministre a été aussi  sous pression ses derniers jours jusqu’à son intervention au JT deTF1 mardi soir, certains s’étonnant qu’il soit aux abonnés absents depuis dimanche.  Selon Le Monde Gabriel Attal n’a pas été mis dans la confidence de l’option dissolution, sur laquelle Emmanuel Macron travaillait depuis quelques mois. Et ce, alors que les discussions se sont accélérées fin mai. Le chef du gouvernement a été informé de la décision du président de la République moins d’une heure avant les résultats de sortie des urnes Mis devant le fait accompli dimanche soir, Gabriel Attal a bien tenté de proposer sa démission comme alternative à la dissolution. « Je suis le fusible », aurait-il dit à Emmanuel Macron qui lui a répondu : «Tu ne démissionnes pas, j’ai besoin de toi pour conduire les législatives »,

    Du coup, Gabriel Attal a affirmé à ses troupes qu’il ira « au bout de son devoir ». Il a exhorté les députés de son parti à « aller de l’avant » pour mettre en avant le bilan de la majorité, soulignant « des réformes courageuses » devant le groupe parlementaire Renaissance, mardi matin. Le soir sur TF1 il a annoncé qu'il se jetait dans la mêlée en déclarant : « oui, je mènerai cette campagne en tant que chef de la majorité »

  • VANVES ENTRE COMMEMORATIONS ET BOUCHONS POUR L’ANNIVERSAIRE DU D-DAY

    Ce jeudi 6 avril a été une journée importante pour la France, avec ce 80ᵉ anniversaire du D-Day, le débarquement sur les plages de Normandie le 6 juin 1944. Ce jour où, par les airs et l’océan, les alliés ont débarqué sur les côtes d’une France occupée par l’Allemagne nazie, marquée la défaite et la honte depuis la capitulation quatre ans plus tôt. Tout au long de la semaine, L’émotion était palpable sur les plages de Normandie mais aussi à Vanves et dans d’autres villes franciliennes, où beaucoup d’habitants ont suivi ces cérémonies à la TV, mais aussi au  collége Saint Exupery où Paul Guillaud, président de l’UNC Vanves, a remis une médaille et un diplôme pour leur participation aux cérémonies patriotiques de Vanves et au Rallye Citoyen au Mont Valérien.

    Le vanvéen Premier ministre Gabriel Attal qui exprimait, ces jours-ci,  son impatience de rencontrer le prince William lors des commémorations, tout en soulignant l'importance de cet événement historique, l’a accueilli à Courseuilles-sur-Mer, hier matin, avec le premier ministre Justin Trudeau, là où ont débarqués des soldats canadiens voilà 80 ans. Il a dû apprécier cette rencontre avec le futur roi d’Angleterre, et de participer ensuite sur la plage d’Ohama Beach à la cérémonie aux côtés de nombreux chefs d’Etat, premiers Ministres mais aussi les vétérans qu’il a longuement salué en arrivant à  la tribune officielle

    «Il y a des lieux où l’Histoire s’impose à vous. Les plages du Débarquement en font partie. Je suis d’une génération qui n’a pas connu la guerre, ni ses stigmates les plus immédiats. J’ai eu la chance d’avoir des passeurs de mémoire dans ma famille. Le courage de ces jeunes de 18-20 ans rend modeste. Ils ont débarqué dans un pays qui n’était pas le leur, pour un idéal qui était le leur : la liberté. Cela rend modeste face au tragique de l’histoire, à un moment de l’Histoire où la guerre est de retour sur le continent. Ce qui s’est joué le 6 juin 1944 fait encore écho à tous les combats de peuples et de nations, de femmes et d’hommes sur notre planète, qui aujourd’hui aspirent et luttent pour être en mesure d’exercer librement leur souveraineté et leur liberté » a déclaré le Premier Ministre interrogé par un journaliste de France 2 en ajoutant : « l’esprit de la Bataille de  Normandie est celui du combat contre toutes les formes d’oppression, d’exclusion, mais aussi de la haine qui les accompagne immanquablement. La liberté et la démocratie sont fragiles ».

    À quelques jours des élections européenne Gabriel Attal a vanté l’union comme modèle de sauvegarde : « Ce qui a empêché le pire de revenir en France, toutes ces années-là, c’est l’Europe. L’enseignement de ce qui s’est joué ici, sur les plages du Débarquement, c’est que l’union fait la force. Des Américains, des Anglais, des Canadiens, des Belges, des Hollandais, des Norvégiens… Pour un idéal commun. S’il n’y avait pas eu d’union, il n’y aurait probablement pas eu de Libération. Si, en France, nous avons ce sentiment de protection, avec lequel ma génération a grandi et avec lequel beaucoup de générations vivent… c’est parce que nous savons être plus forts, unis. Quand on se replie sur soi, on est plus fragiles »...

    Il n’empêche qu’à côté de ces célébrations, les vanvéens comme les franciliens n’ont pas été gâté avec la venue de Joe Biden  avec ces bouchons provoquées mercredi matin entre 8H et 11H par la fermeture du Périph pour permettre la circulation du cortége de limousines. Et la galère n’est pas finie jusqu’à son départ Dimanche. Si aucune fermeture n’a été officiellement confirmée par mesure de sécurité, une partie du périphérique de Paris pourrait encore être entièrement coupée à la circulation, aujourd’hui, à cause d’un nouvel aller-retour en Normandie qui est prévu pour de nouveaux hommages, ce qui entraînerait cette fois-ci une fermeture de la même portion du périphérique entre 14h30 et 18h30 et entre 19h30 et 23h30.  Ainsi que Dimanche pour son départ d’Orly, qui  devrait conduire à la fermeture de l’ouest du périphérique entre 10 heures et 14h30. Tout en sachant que Samedi, un périmètre large autour de l’avenue des Champs-Élysées, depuis la place de l’Étoile jusqu’à la place de la Concorde, est à éviter de 7h30 à 14 heures puis de 14 heures à 23 heures.

    Mais là, où on marche sur la tête, c’est que la Préfecture de Police avec le COJO ont organisé des exercices pour la sécurisation des JO de Paris ces jours-ci bloquant d’autres voies rapides, comme si la visite de Joe Biden, et la fermeture de l’A 13 ne suffisaient pas