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VANVEENS - Page 16

  • PORTRAIT D’UN GARS DE VANVES : JEAN MARIE RENAULT UN AMOUREIX DE VANVES

    Il y a un vanvéen qui profite bien de sa retraite depuis le début de cette année, et il le mérite bien. C’est à dire, depuis que le Club Murillo a été dissous le  31 Décembre 2014, comme le blog Vanves au quotidien l’avait annoncé voilà quelques jours : Jean Marie Renault dont personne n’imagine à Vanves, qu’il reste les bras croisés : «  J’ai crée tout d’abord le club de Tennis de table dont j’ai été responsable pendant 10 ans du temps d’André Roche, sur le Plateau. J’emmenais tous les jeunes en Allemagne faire des compétitions.  Mon fils m’a remplacé lorsque j’ai passé la main. Puis j’ai créé avec mon épouse, le Club de Danse Sportive, Terpsichore. Gérard Orillard nous ayant attribué  une salle dans le sous sol de  l’école Marceau. Nous avons été jusqu’à 250 adhérents. Nos avons émigré ensuite à la salle Raphael Baes (là où se trouve maintenant l’espace Jean Monnet)  puis à la Piscine. Cela a été 20 ans formidable, avec des compétitions nationales que nous avions accueillis au gymnase Magne » raconte t-il. Et lorsqu’il a de nouveau passé la main, il s’est laissé embrigadé dans le club Murillo pendant 13 ans. Pour tout cela, il aurait dû recevoir un des trophées du bénévolat décerné le 5 Décembre dernier à Vanves à l’occasion de la journée National du Bénévolat. Il mériterait le diplôme d’honneur de citoyen de la ville de Vanves

    Mais Jean Marie Renault est surtout un Vanvéen de vieille souche : « Je suis né en face du marché de Vanves, au 11 rue S.Carnot, dans une fratrie de 20 enfants, de parents champenois, avec un pére agent communal durant 30 ans comme paveur, éboueur, croque mort, cantonnier… il a fait tous les métiers dans cette mairie.  Nous étions la famille la plus grande de Vanves. 2 maires ont été parrains de 2 de mes frères, MM Kerautret et Plazanet » raconte t-il en nous plongeant tout de suite dans le « Vanves » d’il y a 60/70  ans. « J’ai fait ma scolarité à l’école Saint Charles rue A.Fratacci qui n’existe plus. A cette époque, mon père louait un cheval à la ferme à côté du Rosier Rouge, pour aller au petit Clamart où il  cultivait un petit jardin, dans les années 50 » se rappelle t-il en vous décrivant avec précision ce Vanves des années 50 qui n’a plus rien à voir avec celui des années 2010. « J’ai continué comme apprenti boucher rue du Bac pendant 3 ans, puis j’ai travaillé dans la boucherie de la rue de la République face à l’église, chez  M.Jarry, pendant 20 ans. Un  de mes copain qui était taxi, m‘a conseillé de rentrer à la RATP où j’ai travaillé pendant 26 ans comme machiniste, en ayant commencé à conduire le « 58 » ajoute t-il.

    « Je ne pourrais jamais partir de Vanves ! »

    « Des 20 fréres et sœurs, 7 à 8 sont encore en vie, et  on est deux à être resté à Vanves avec mon frére René qui habite rue Marceau Vanves c’est ma ville ! J’y ai passé toute ma jeunesse. J’ai habité rue Larmeroux, puis rue de la République au dessus de la boucherie de M.Jarry, puis dans le bâtiment au dessus de l’Amandine et face au Pavillon de la Tourelle, avec ce café le Tout Va Bien et sa chanteuse qui m’empêchait de dormir, et maintenant Auguste Comte.  J’ai vu et vécu l’évolution de Vanves. Comme cette rue Sadi Carnot avec son marché et son théâtre maintenant, alors que dans ma jeunesse, c’était pratiquement à cet emplacement  que se trouvait une ferme, où j’allais chercher du lait. Il y avait encore un tram à l’époque avec ses rails qui circulaient dans le centre ancien, montait la rue de la Mairie (A.Fratacci). Je ne regrette pas cette évolution. Et je ne la quitterai pour rien au monde » assure t-il. Son endroit préféré : le parc Falret ou Frédéric Pic , « le long de ses maisons entre le parc et la rue JB Potin », et la place du Pdt Kennedy.        

  • LA GALERE D’UN JEUNE DE VANVES, BRIAN : « J’ai arrêté au Petit Vanves parce que je me sentais plus à ma place dans ce restaurant en me retrouvant dans la rue »

    La galére se rencontre à tous les coins de rue de Vanves, et pas nécessaire là où on l’attend, d’autant plus qu’elle est très souvent invisible. C’est le cas pour Brian, au look branché de ses jeunes trentenaires sportifs, bien dans sa tête, que rien ne distingue des autres, qui est pourtant,  aujourd’hui,  à la rue. Beaucoup de Vanvéens l’ont rencontré, tout au moins ceux qui ont fréquenté Le Petit Vanves, lorsque ce restaurant était dirigé par  JP Coupé, puis maintenant JP Anselme qui a repris ce restaurant, où il était serveur-barman. Et pourtant, comme on dit, il vit la galère de la rue, alors qu’il a un boulot, bien payé, chez Picard maintenant. Tout simplement parce qu’il s’est vu refusé un logement. Heureusement, il bénéficie de la solidarité d’amis et de rencontres qui l’hébergent, mais cela ne dure qu’un temps.   « Je ne l’ai pas choisie (cette vie de galère), mais on m’y a contraint en ne cassant de chez moi. « Bouger vous le cu pour ne pas rester dehors » est mon crédo. Je ne baisse pas les bras ! J’ai pas mal pris de coup dans la tronche au niveau vécu. Cela a fait que peu importe la galère, il faut rester la tête droite et ne pas baisser les bras, toujours avancer, ne pas s’arrêter. C’est comme à la Légion, tu marches ou tu crèves »

    Il vous explique que seretrouver dans la rue, ce n’est pas difficile : « Bêtement sur un coup de tête, ou autres. Cela peut être vis-à-vis des parents ou d’une petite amie. Ce qui a été mon cas, deux fois de suite. La première fois, à cause de mes parents, à l’âge de 18 ans. Cela dépend si on est une tête brulée ou pas, parce que je n’étais pas facile lorsque j’étais plus jeune, à 17/18 ans, car je me laissais pas faire facilement. J’avais une belle mére qui ne me considérait pas comme de la famille, plus cela allait, plus je m’éloignais et je m’engueulais avec elle. Un jour elle m’a dit « si tu n’es pas content, tu prends tes affaires et tu te casses ! ». C’est ce que j’ai fait à 18 ans en 2004/05. Je me retrouvais pour la première fois dehors, sans savoir comment faire » raconte t-il.  Il ne s’est pas dégonflé, rejoignant un endroit où il y a de nombreux SDF, pour bénéficier de quelques conseils, comme Saint Michel par exemple, auprès de SDF avec qui, il a sympathisé, et lui ont appris à jongler et à cracher le feu pour gagner quelques pièces grâce à des spectacles de rues. Il a dormi dans le parking sous le parvis de Notre Dame. Il a appris des petits trucs pour s’en sortir, lutter contre le froid en hiver en mettant plusieurs couches de vêtements,  être toujours prêt d’une association pour pouvoir aller prendre un café, manger car c’est très important, se laver pour garder un  minimum d’hygiéne, disposer d’une adresse pour son courrier, chercher du boulot… « Ce qui permet de relever la tête d’avoir des personnes qui vous soutiennent ! ». Cette première galère a durée tout de même 3 ans et demi, entrecoupé par quelques petits boulots, ayant passé son CAP de boulanger, ce qui ne l’a pas empêché de travailler dans le bâtiment, ramasser les ordures chez Veolia… « Pas question d’aller dans les centres d’hébergement où c’est l’enfer au niveau hygiéne, sécurité etc… Je préférais rester dans la rue, aller à Roissy CDG où on pouvait dormir dans l’aéroport avec d’autres… »

    La rencontre avec son ex-petite amie, Zoé, lui a permis de retrouver une vie quasiment normale : « Je l’ai rencontré à Chatelet où je passais tous les jours à la fontaine des Innocents, avec les tauffeurs, les gothiques, les métalleux qui trainaient sur les marches. Le courant est passé, et elle a demandée à son père si je pouvais rester à la maison. A ce moment là, j’ai pu  trouvé un travail au Petit Vanves comme serveur-Barman en touchant un peu à la cuisine durant 6 ans et demi.  C’était 56 H de travail par semaine, ce qui est lourd à supporter et m’a éloignée de ma petite amie » reconnait il.  Il s’est alors installé dans un  logement de 12 m2  qu’il a loué rue  Solférino, voilà 2 ans, qui a malheureusement brulé suite à un court circuit, les gaînes électriques n‘étant pas aux normes, les murs prenant l’humidité…. « J’ai été logé par les parents d’un ami qui habitait pas très loin, la mairie de Vanves ne pouvant pas me reloger avant 4 ou 5 ans alors que j’avais un boulot bien payé. Résultats : J’ai arrêté au Petit Vanves parce que je me sentais plus à ma place dans ce restaurant en me retrouvant dans la rue. alors que j’avais un travail. Je ne cache pas pas que je voulais déjà arrêter à cause des horaires de travail, mais je n’avais pas de quoi rebondir derrière. Je me suis dit « autant rester » Mais lorsque c’est arrivé à saturation, j’ai arrêté, n’ayant de toute façon, plus rien du tout ».

    Seule satisfaction : Il a pu jusqu’à maintenant, éviter la rue. Il avait rencontré une autre petite amie à Clamart qui habitait un pavillon qui l’a hébergé : «  J’ai cherché du boulot à gauche, à droite, travaillé comme « doc sitting »,  puis chez Picard où je suis  en CDD, à Clamart. Et je suis logé grâce, là encore à un ami, Frédéric, ex-SDF qui a son propre passé, et m’évite de connaitre de nouveau la rue. Lorsqu’on l’a connu, une fois, on n’a pas envie d’y retourner ! » confie t-il en n’en voulant à personne : « Ce serait dégueulasse d’en vouloir à la société parce que d’un côté, on n’est pas non plus tous des anges.  J’ai un peu poussé la chose, mais cela ne devrait pas pouvoir se passer de se retrouver dans la rue, à 18 ans ! C’est un peu dur » ajoute t-il en reconnaissant qu’il a constaté comme beaucoup de vanvéens,  ses derniers temps, de plus en plus de jeunes parmi les SDF. « Beaucoup ont choisis cette vie » vous explique t-il en connaisseur. Mais ce n’est pas une raison !

  • VANVES A LA POINTE DE LA COMMUNICATION GOUVERNEMENTALE : UN VANVEEN, PHILIPPE GOAVEC ANIME LE PORTAIL DU GOUVERNEMENT RELOOKE

    Vanves serait elle à l’origine du nouveau portail du gouvernement lancée dans la nuit du 22 au 23 Septembre dernier ? Pas la mairie bien sûr, ni ces élus, mais l’un de ses habitants qui travaille au SIG (Service d’Information du Gouvernement) : Philippe Goavec. Ce candidat aux municipales 2014 sur la liste PS conduite par Antonio Dos Santos dirige le département Digital SPM (Service du Premier Ministre) ayant en charge « gouvernement .fr , le portail du gouvernement  mais aussi la présence digitale d’autres administrations des services du Premier ministre.

    Sorti de Science-po, il s’était lance dans e-commerce dans le secteur du tourisme, mais surtout, il avait fait partie de l’équipe Web de campagne de Ségoléne Royal en 2007 puis de François Hollande en 2012 où il s’est occupé du volet « analyse d’audience » pour comprendre comment se comportent les internautes par  rapport à des contenus : « J’avais envie de revenir sur ce terrain là, et continuer mon expertise sur le digital, avec le volet plutôt politique et informationnel. J’ai intégré, en Septembre 2012, cette très belle institution, composée de 80 personnes qui travaillent sur la coordination de la communication gouvernementale, institutionnelle. Avec l’arrivée de Christian Gravel à sa tête depuis quelques mois, on sent une volonté  d’être en rupture et très offensif, de casser les codes, de bouger les murs, de prendre des risques, ce que permet Internet, d’annoncer les messages gouvernementaux différemment que dans une information institutionnelle, très policée se contenant de dire ce qu’elle a à dire. On aborde beaucoup  plus un volet politique de communication » confie t-il en parlant de ce portail gouvernemental qui a été complètement été re-loocké

    MARIANNE CONNECTEE

    « L’ancien site daté de 2009,  n’était plus adapté aux codes et aux usages d’Internet, pas ouvert sur les réseaux sociaux, et commençait à être un petit peu vieux, avec quelques failles. On a changé de tous les habillages sur les comptes tweeter, tumbler, et l’ouverture d’une page Facebook, avec cette Marianne connectée, penchée sur son portable,  qui a été très bien accueillie sur les réseaux sociaux… et cette « base  line » du « gouvernement agit pour vous ». Il est plus clair,   car on a revu les couleurs en sortant un peu du « bleu » républicain pour avoir un « bleu » un peu plus vif, retravailler les polices pour faire en sorte qu’il y ait un confort de lecture, en adoptant un format blog avec de grosses polices, un mélange de format vidéo, tweets…Il est plus structuré parce qu’on s’est rendu compte que les gens ne trouvaient pas l’information qu’ils souhaitaient et recherchaient,  en utilisant beaucoup notre moteur de recherche. Nous avons créé une page qui s’appelle « les actions du gouvernement » dans laquelle on classe l’ensemble des mesures gouvernementales par thématiques et par enjeux. Nous avons choisi les thématiques en regardant les expressions sur google qui parlent aux internautes. Sur les enjeux, nous sommes sur des niveaux plus politiques : « redonner la compétitivité à nos entreprises », « rendre du pouvoir d’achat aux ménages », en étant vraiment dans les éléments de langage du gouvernement » explique t-il .

    « Enfin à chaque fois qu’il y a un nouveau temps politique, nous remettons à jour, notre contenu, sur l’action portée par un ministre avec une date de mise à jour, un petit chapeau pour l’éditorialiser et surtout une « time line » politique, c'est-à-dire qu’on rappelle les étapes politiques pour que les lecteurs  voient comment travaille le gouvernement. Avec 3 questions : « De quoi s’agit il ? », « où en est on ? », «  Comment partager et diffuser ? ». C’est la première fois qu’un site institutionnel s’adresse à des militants ou des activistes en ligne. Dans cette section, l’idée est que les internautes, tweetent,  facebookent, trouvent des infographies, des vidéos à partager sur leurs réseaux sociaux. Nous avons réalisé avec Stephane Lefoll,  « les mots du porte parole » dans laquelle les gens trouvent des petits argumentaires de 1500 signes sur un sujet d‘actualité et la parole gouvernementale sur ce sujet, à partager sur les réseaux sociaux. On retrouve l’agenda du premier ministre dans son agenda presse, et selon l’heure, les 3 prochains rendez-vous du Premier Ministre,  la composition du gouvernement avec des fiches ministres plus lisibles, biographie, dernières actions, son cabinet. Et un espace pour les jeunes « Le saviez-vous » au contenu intemporel pour les initier aux valeurs de la République comme Alain Juppé l’avait fait en 1996 ».

    TEMPS FORTS ET PRESSIONS MEDIATIQUES

    Ainsi Philippe Gouavec anime cette équipe de 18 personnes répartie en 3 pôles : Un pôle « projets digitaux » qui construit les espaces web avec des chefs de projets et des développeurs et a travaillé sur ce nouveau site. Un pôle « contenu » avec des rédacteurs qui le remplissent, et un troisième « promotion/diffusion » sur les réseaux sociaux, vidéos, infographies ». Tous les lundis, il anime une réunion éditoriale avec la direction, un représentant du cabinet du Premier Ministre et l’ensemble des acteurs digitaux du SIG dans laquelle, sont définis les sujets traités et les angles d’attaques, les messages gouvernementaux prioritaires à faire passer,  comment ils seront  traités à travers articles, tweets, infographies. « Tout au long de la semaine, nous allons décliner l’actualité, avec le Conseil des Ministres qui est un contenu phare et important, en essayant d’anticiper, de proposer des vidéos, filmer un ministre pendant 2 mn d’un temps fort ». Et les temps forts ne manquent pas « où il faut être très réactif,  s’organiser en terme d’équipe pour l’être le plus possible. On n’a pas de passes droits dans le sens où, lors du remaniement ministériel fin Août,  on n’a pas eu la mouture du gouvernement avant son annonce. Mais, on a mis 4 personnes sur la composition du gouvernement, avec des graphistes qui ont préparé les visuels avec biographies et photos, et on a actualisé le site » indique t-il.

    Avec les déclarations de patrimoine,  il a découvert la pression médiatique : « Je me souviens très bien de ce dimanche matin, après mon footing, où j’amène ma fille au manège de Corentin Celton et je vois le titre du JDD  au kiosque : « Demain sur gouv.fr, les déclarations de patrimoine ». Là, vous devenez blême et vous réalisez que vous allez oeuvrer sur quelques choses d’attendus, et mon dimanche a été fébrile. Pour autant, on avait pris toutes les mesures pour tenir la charge. Et le jour J, là, la pression était grande car on a reçu les déclarations qu’il a fallu mettre en ligne, en voyant BFM qui était en direct, sur le site. On a tweeté pour dire que les déclarations arriveraient un peu plus tard à 19H et non pas à 17H comme c’était prévu. On a vu la réaction sur les visages des journalistes. Et on l’a donné à 18H » raconte t-il. Il en a été de même lors de la publication des documents sur la Syrie, ou le remaniement ministériel après les élections municipales : « On a mis une seule page sur le site lorsque JM Ayrault partait parce qu’on voulait être réactif et éviter que des anciens contenus puissent prendre des proportions trop importantes. Et on n’a mis que Manuel Valls. Et la façon dont l’ont interprêté certains journalistes  étaient : « le gouvernement communique ». La page avait beaucoup circulé, reprise dans beaucoup de médias »

     

    Philippe Goavec et son équipe ont de fortes ambitions en termes d’audiences en se donnant l’objectif de faire plus de 8 millions de visiteurs  en un an. « Nous allons nous en donner les moyens en le travaillant, avec une personne dédiée à l’analyse de l’audience et au travail des leviers, tweeter un peu plus, envoyer des mails, apporter un éclairage  complémentaire à celui des médias » indique t-il tout en étant conscient que ce n’est pas évident de faire de l’information institutionnelle, parce que dans la tête des français c’est ennuyant.  « C’est pour cela que l’on est en train de sortir de l’institutionnel avec la petite Marianne. Pour le logement, on a demandé à une jeune graphiste de nous faire tout une infographie sur le logement, avec des dessins qui parlent souvent mieux qu’un texte. Pour être vu, car le web est un TGV lancé à grande vitesse, il faut prendre la locomotive et ne pas être en retard, être réactif, pouvoir très rapidement avoir le message et pouvoir le retranscrire »