Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

VANVEENS - Page 13

  • UNE GRANDE FIGURE DE LA PAROISSSE SAINT FRANCOIS DEVANVES S’EST ETEINTE : GENEVIEVE POUPARDIN

    Une figure des paroisses vanvéennes et surtout de Saint François et du Plateau s’est éteinte cet après-midi à l’hôpital Pompidou : Geneviéve Poupardin. Elle était l’âme de la conférence Saint Vincent de Paul, mais plus que cela, connaissant parfaitement tout son petit monde dans cette paroisse Saint François, où elle a été très active jusqu’à ses derniers temps lorsque les affres de l’âge et de la maladie vous bloque chez soi, s’occupant pratiquement de tout, avec beaucoup de coeur : distribuer judicieusement les secours sans s’en laisser compter, organiser ses goûters chantant avec Pierre Meige, l’excursion annuelle qu’elle préparait minutieusement, et surtout la distribution des colis de Noël… Toute sa vie a été consacrée aux autres dans cette paroisse, mais aussi au collège Saint Exupery avec les séjours de vacances de ces collégiens…

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    CONSEILLER : Le remplacement de Jeremy Coste a fait l’objet de discussions au dernier bureau municipal et pose un dilemme au maire avec le précédent provoqué par la démission forcée de Dephine Roy de son poste d’adjoint au Maire puisqu’elle n’habitait plus la commune : Il reste cinq non élus et le prochain à monter est Omar Hijaz que tout le monde connait bien sur le Plateau surnommé « Omar le Taxi ». Or deux maires adjoints UMP et UDI ont indiqué au maire qui n’en savait rien qu’il passerait six mois de l’année au Maroc où il posséderait une maison, ce qui est tout à fait son droit. Mais voilà, ils n’en ont pas moins constaté que ce serait incompatible avec une fonction de conseiller municipal qui doit habiter sa commune toute l’année et être un élu de proximité avec les vanvéens comme l’a rappelé le maire lors de son intervention lors de la soirée inaugurale du Mois du Commerce. Ainsi le maire est pris à son jeu, car s’il applique la « jurisprudence Roy », il doit demander à Omar Hijaz de se retirer et de faire monter Antoinette Girondo. Il lui reste 2 jours puisque le nouveau conseiller municipal qui remplace Jéremy Coste doit être installé le 12 Novembre prochain comme c’est indiqué dans l’ordre du jour du Conseil Municipal. .

    CITOYENS D’HONNEUR : 4 Vanvéens ont rejoint Vendredi soir, les 130 vanvéens qui ont déjà reçu le diplôme de citoyen d’honneur de la ville de Vanves depuis Janvier 2003. Une cérémonie couplée cette fois-ci avec la remise des médailles du travail et non plus avec la réception des nouveaux vanvéens en Janvier : Un lycéen avec Simon Salomon, élève en terminal Economique à Michelet où il a participé à l’organisation du 150éme anniversaire de cet établissement scolaire renommée et surtout créée le journal lycéen de Michelet, membre du CMJ de Vanves et du Conseil Régional des Jeunes. Un autre jeune, Jules Merckry qui s’est distingué le 6 Juin 2015 en intervenant très rapidement à la suite d’un malaise cardiaque place de la République, pour tenter de sauver la victime en allant chercher le défibrilateur au parc F.Pic. Il a faillit rééditer son exploit ce soir là lorsqu’un des médaillés du travail a été pris d’un malaise, dû plutôt à l’émotion d’être mis en avant par le maire comme tous les autres récipendiaires qu’un trouble cardiaque. Un acteur/restaurateur, François Feroleto (sur laphoto ave c Emmanuel Delmas, sommelier) créateur de la crêperie La Girafe ouvert depuis 2013 place de la République a reçu ce diplôme avec et Sylvie Daniéli, ex-gardienne de l’immeuble du 96/100 J.Bleuzen

    AMAP : Lors de la soirée inter-Amap, Vendredi dernier, avec la projection du film « Autrement,... avec des légumes », bien située dans cet environnement politique et climatique, il a été très peu question de la Cop 21 durant le débat. « Les Amap essaient de se situer en dehors des partis, évitent de faire du prosélytisme, car les questions de vie, de santé et de l'avenir de notre terre appartiennent à tout le monde. Il a surtout été questions des moyens politiques pour maintenir des agriculteurs de proximité, en Île de France. De la foncière "Terres de liens", par exemple. Chaque municipalité peut aider cette foncière, acquérir des parts, aider des agriculteurs à s'établir. Notre mairie pourrait aussi faire amap (c'est à dire acheter une part de la production annuelle d'un maraîcher en amap) et revenir au principe des cuisines scolaires avec de bons produits ! Plutôt que de soutenir dans une belle publicité commerciale gratuite dans le dernier Vanves infos « La Ruche qui dit oui », une « start up » qui encourage « l'économie locale « en proposant des productions situées à moins de 250 kms de Paris ». C'est vraiment local, on en rit ! L'article parle aussi de la « qualité de votre alimentation », mais les produits ne sont pas bio » a réagit un des participants à cette réunion de Vendredi dernier et adhérent de l’AMAP « le Panier Vanvéen ».

  • LECONS DE DEGUSTATIONS PAR UN SOMMELIER DE VANVES : EMMANUEL DELMAS APPREND A MACHER LE VIN

    Emmanuel Delmas sommelier renommé  dédicaçait récemment  au restaurant La Girafe (sur la photo avec François Feroleto, son patron) son livre « Leçons de dégustations - vins » (Edt deLa Martinière). C’était une première pour ce vanvéen qui a été sommelier dans de prestigieuses maisons comme Guy Savoy, la Tour d’Argent, le Plaza Athénée, le Fouquet’s. Il est maintenant consultant en vins et formateur, animant des dégustations dans le but de rendre le vin accessible à tous. C’est ce qu’il fait dans ce livre passionnant à lire

    La première partie de ce livre est consacré à l’environnement qui nourrit le vin par les racines, aux indices laissés par le vin et  à la dégustation pure avec des exemples pour trouver son identité : la couleur, le goût, la bouche. La 2éme partie est consacrée aux terroirs, dont une douzaine remarquables du Nord (Muscadet, Chinon, Chablis, Morgon) et du Sud (Iroulégy, Côte-Rôtie, Patrimonio..) parce qu’ils l’ont touché  dans des domaines qui expliquent pourquoi « ils ont cette gueule là ! ». « Le vin doit avoir la gueule du lieu où il est né, où il a grandi, et les tripes du bonhomme qui l’a fait » expliquait il ce jour là en faisant goûter un côte du Roussillon Village qui « est gentil. Il est fait pour plaire à tout le monde ! ».. . 

    Occasion de donner une petit leçon de dégustation pour mieux apprendre à mieux déguster le vin : « La dégustation permet de redonner ce que le vin a vécu, la couleur, ce que l’on sent et mâcher le vin ».Car ce livre remet les choses à leur place : « Dans les écoles, on apprend à grûmer le vin et du coup je me suis rendu compte que c’était limité car on n’arrive pas à aller plus loin, on n’a plus l’aromatique. On doit  le mâcher, car c’est ce qui donne le goût, les saveurs vont rester plus longtemps, et nous permettre d’être plus imprégnié du vin. Le fait de mastiquer donne le goût du vin, et c’est que faisaient les anciens » expliquait il.  « Rendre le vin accessible n’est possible qu’en racontant son histoire, née de la rencontre d’une vigne et d’un environnement, propulsé par un vigneron humble, curieux et fou de sa terre » conclut il dans ce livre où il remercie des tas de gens qui l’ont accompagné dans l’écriture dont Bernard Gauducheau et Cédric Davy « pour leur bienveillance »