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URBANISME - Page 43

  • LES CONSTRUCTIONS EN COURS OU EN PROJETS A VANVES

    Ce court Conseil Municipal de Mercredi dernier a donné l’occasion à Pascal Vertanessian, maire adjoint chargé de l’urbanisme, sur les constructions en cours ou en projet dans la ville, ce qui devrait intéresser beaucoup de vanvéens : 541 logements seront ainsi construit d’ici 2018. « Tout cela aura des conséquences sur la ville, car ils vont provoquer une augmentation dde la population puisque nous atteindrons les 30 000 habitants, sachant que notre vlile est la 3éme des Hauts de seine en terme de progression démographique » a déclaré le maire Bernard Gauducheau

    - La résidence social au Rosier Rouge : 120 logements étudiants porté par le Secours Catholique, Toît et Joie, le cabinet d’architecte Haour

    - La Résidence à l’angle des rues Pruvot et d’Issy dont les travaux se terminent

    - Le 9 rue Barbés (7 logements) en cours de travaux

    - Le 16 rue Marcheron (22 logements) à la place du garage retardé à cause d’un recours amiable aujourd’hui. Muais ce n’est qu’un des avatars qu’a connu ce projet puisque le premier promoteur a été rejeté par la ville et les riverains. Ce nouveau projet a été imaginé par l’architecte Archimat et porté par la SARL B3 et le groupe Le Bozec

    - Le 25 rue René Coche avec un immeuble de 21 logements à l’emplacement d’un pavillon en meulière qui est la première réalisation de Novim Promotion

    - Rue Victor Basch (42 logements ) par First Logement en face de la gare qui fait l’objet d’un recours contentieux

    - Le 41 bd du Lycée (24 logements) sur une parcelle  biscornue qui va jusqu’à l’avenue du Général de Gaulle

    - Le 1-3 rue Raymond Marcheton (38 logements) porté par MDH,  à l’angle avec la rue de la République à l’emplacement de deux pavillons détruits cet été (sur la photo)

    - La résidence Niwa de Bouygues Immobilier rue A.Briand (158 logements dont 36 sociaux)

    - Le 39 rue S.Carnot (64 logements)

    - Les 34/36 rue Marcel Yol ( 36 logements) par  la société Promotion Immobilière France Logis

    - Le 14 bis rue V.Hugo (13 logements) à l’emplacement d’un pavillon, porté par la SCC VH14   

    Auxquels il faut ajouter des projets non cités par le maire adjoint

    • Une résidence hôtelière de grand standing à l’angle des rues Marcel Yol/Henri Martin, à l’emplacement de Fêtes et Feux
    • L’immeuble de Legendre Immobilier face à la mairie à l’emplacement des deux bâtiments occupés par le conservatoire jusqu’à l’été 2015.
  • PHOTOS DE L’ETE 2016 A VANVES : LE CERCLE DES PAVILLONS DISPARUS

    Les gravats des pavillons se ramassent à la pelle à Vanves. La dernière destruction se déroule rue Victor Hugo dans cette montée dite de « l’enfer » face au lycée Michelet.  Un pavillon habitée dans le passé respectivement,  par deux élus de Vanves, Isabelle Debré et Françoise Djian, qui l’ont loué à son propriétaire qui a décidé de vendre ce terrain à un promoteur pour y construire un petit immeuble de 13 logements. Deux autres pavillons ont disparu cet été à l’angle des rues de la République et Raymond Marcheron face à l’école Larmeroux où le promoteur  MDH doit construire un immeuble de  38 logements en accession. Un troisième est menacé à l’angle de la rue René Coche et de l’allée du Progrés, mais dans ce dernier cas,  une pétition a été lancé « pour éviter de cette petite merveille architecturale de style « Art Nouveau » inspirée de l'école Guimard soit détruite, car elle est menacée par les visées d’extension immobilière du Grand Paris », et plus particulièrement pour le projet First, puisque plusieurs propriétaires ont décidé de vendre leurs pavillons à ce promoteur.

  • LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES CHOISIT LEGENDRE IMMOBILIER POUR CONSTRUIRE UNE RESIDENCE SUR L’ANCIEN TERRAIN DU CONSERVATOIRE

    Le paysage urbain devant l’hotel de ville va être complétement modifié à l’occasion de la vente des terrains occupés par le Conservatoire de musique avant son déménagement à l’ODE rue de Solférino et du pavillon en face de l’autre côté de la rue Guy Mocquet (au 22 rue Mary Besseyre) qui s’étend sur une parcelle à peu prés semblable. Le conseil municipal de Mercredi a déclassé et désaffecté cette emprise de 989 m2 occupé par une boutique d’OGF et le pavillon derrière, le pavillon à l’angle Mary Besseyre/Guy Mocquet et le bâtiment le long de ctte rue qui méne au monument aux morts. Et il a désigné. Le promoteur Legendre Immoblier a été désigné par ce Conseil Municipal pour édifier un immeuble de 2890 m2 sur 5 niveaux (Un rezdee chaussée et 4 étages)  34 logements (2384 m2) de 2 à 4 pièces avec un espace extérieur (terrasse ou loggia) , 506 m2 de local commercial et un parking de 36 places

    Il a été préféré à Accueil Immobilier, Axe Promoteur, Emerige , OGIC qui s’étaient portés candidats, même si c’est le projet le plus  dense et le massif des 5 proposés, à cause de son architecte contemporaine soignée, sophistiquée. Le bâtiment apparaît comme une masse de pierre sculptée en fonction de l’orientation,  associant matérialité de la pierre et légéreté de grands volumes vitrés,  avec des logements de 2 à 4 pièces, terrasses ou loggias avec des jardinières intégrés dés la conception du projet. Le rez-de-chaussée est entièrement vitré et toutes les façades sont revêtues d’une pierre de Bourgogne collée. Les menuiseries extérieures sont en aluminium et les garde-corps sont réalisés en verre. Le cœur d’îlot est traité en jardin aluminium et les gardes corps sont réalisés en verre. La touture-terrasse est végétalisé. Enfin, l’enveloppe du bâtiment avec des façades et toitures fortement isolées avec mur béton, menuiseries extérieurs à rupture de pont thermique et vitrage à faible émissivité.

    L’avis des riverains présents dans le public était très réservé, ainsi que ceux des élus de l’opposition. « Nous étions réservé sur ce projet en terme d’équilibre et decadre  de vie  de ce quartier Avec un prix de ventre de 76600 € le m2, cela signifie qu’un 2 pièces coutera au minimum 305 000 €. R+3 c’était déjà beaucoup dans cette zone, mais R+4 !  On n’est pas contre les projets immobiliers nécessaires pour le bon développement de notre commune. Mais dans un quartier pavillonnaire, cette construction parait démesuré et risque de dénaturer cette zone. On aurait pu penser que la ville préserve à ce quartier son caractère pavillonnaire. Notre crainte s’est amplifiée lorsque nous avons appris que la parcelle du 22 rue Mary Besseyre avait été vendue, par un particulier, à un promoteur immobilier. Nulle doute que celui-ci construira au maximum de ce que notre PLU permet, densifiant et faisant disparaître le caractère vert et arboré de ce quartier Mais, nous direz-vous, vous n’êtes pas responsable de la vente par un particulier de son bien, certes, mais vous êtes responsable de ce qui ce qui se fera sur la parcelle que la Ville vend» constatait Anne Laure Mondon (PS) en s’interrogeant sur les impacts  sur le stationnement, le dimensionnement de la voirie, sur les propriétés adjacentes en termes d’ensoleillement, de luminosité, de valeurs de leurs biens –  « de telles constructions seraient bien mieux ailleurs que là » - sur le devenir de ce quatrtier- « la mairie aurait pu en profiter pour réaliser un équipement  dont auraient profité les vanvéens (médiathéque du futur, maison des associations) » – et en demandant un projet plus concerté et plus rassembleur. Mais le maire avait déjà répondu à Lucile Schmid en considérant que « la vie associative ne se plaint pas de l’insuffisance de locaux. L’espace Giner répond bien à leurs demandes, et on a le théâtre, La Palestre, Latapie, Danton, l’Escal, les écoles…. ».

    « Vous nous proposer à nouveau de privatiser un terrain public, appartenant à la commune de Vanves et donc à tous les Vanvéens, à un promoteur immobilier. Évidemment, la politique de réduction de la dépense publique du gouvernement soit-disant socialiste, qui se traduit pour les communes par la baisse drastique des dotations, a entre autre pour objectif volontaire de pousser les communes à privatiser et vendre leurs biens et leurs terrains pour équilibrer leurs budgets » a constaté Bopris Amoroz  (FG/PC) en portant le débat sur  le logement social « dont la construction doit être une priorité, car elle contribue à améliorer le vivre-ensemble dans chaque quartier, dans la métropole parisienne » en mettant en cause de département a pris la décision de favoriser la construction sur les seules communes soumises à des obligations de rattrapage en application de la loi SRU; la région qui a  pris la décision similaire de limiter l’aide régionale à la construction aux seules communes dont le taux de logement social est inférieur à 30%. ; et le gouvernement qui n’engage pas de véritable politique de défense et de promotion du logement social . « Et qu’est-ce que vous nous proposez monsieur le Maire ? Vendre à nouveau des terrains municipaux pour une opération immobilière avec des logements à 7600 €le mètre carré .C’est autre chose que méritait ce terrain municipal ! »

    « Ce projet ne sort pas d’un chapeau. Il fait a l’objet de longues discussions ! On a le mérite d’être clair. La municipalité était très préoccupée par le devenir de ce quarrtier et ce qui pourrait être fait. Nous avions annoncé nos intentions de traiter de manière intelligente ce secteur pavillonnaire, en tenant compte de l’hôtel de ville, de ses jardins  Avec R+4 on apporte une réponse à minima face à la pression foncière et au gouvernement qui nous invite à faire plus. On a proposé aux riverains de se rencontrer, d’en parler et voir ce qu’on peut apporter comme améliorations » a répondu le maire en constatant qu’il y a une demande importante de logements. «Nous aurons une cinquantaine de nouveaux logements sociaux derrière le conservatoire et face au cimetière, deux résidences sociales  au Rosier Rouge (100 logements au total), 22 logements sociaux repris par Hauts de Seine Habitat à l’ange Avenue de la Paix et rue du Docteur Arnaud…" a-t-il indiqué en revenant au projet de Legendre Immobilier : « 30 logements, c’est 100 personnes. Cela ne va pas révolutionner ce quartier. On a fait le choix de la modernité et pas de pasticher l’hôtel de ville. Et on ne le remettra pas en cause » at-il prévenu. « Même le projet en face, à la place du paillon du 22 Mary Besseyre,  sur une parcelle de même taille, devrait être de même nature et du même gabarit. On ne veut pas spolier les propriétaires qui ont envie de vendre leur pavillon et de réaliser une opération immobilière. Il faut s’inscrire dans la durée » a-t-il conclut