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EVENEMENT - Page 8

  • MOBILISATION AU LYCEE MICHELET DE VANVES MAIS SANS PERTURBATIONSNOTOIRES. ..POUR L’INSTANT

    Ses derniers jours ont été tendus à Paris depuis l'utilisation du 49-3 par Elisabeth Borne. La lutte contre la réforme des retraites se poursuit durant cette première semaine de printemps. D’autant plus que le vote sur les deux motions intervenus lundi en fin d’après-midi, n’ont pas permis de renverser le gouvernement

    Donc la tension n’est pas prêt de retomber. «Quel que soit le résultat du vote des motions de censure lundi à l’Assemblée, ce sera chaud !» avait prévenu dés vendredi Gérald Darmanin en visioconférence avec les préfets. Dans une note datée du 18 mars, dont le JDD a fait état pu, la direction du renseignement de la préfecture de police (PP) pointait le rôle du NPA et de LFI, qui «attisent le débat sur l’illégitimité du Président et du gouvernement et tentent de mobiliser la jeunesse dans les lycées mais surtout les étudiants et le monde universitaire».​

     Comme par hasard, dés lundi matin, des galicots avaient été apposés sur les grilles d’entrée du lycée Michelet sur lesquels on pouvait lire « stop à l’autoritarisme » ou « Ni Retraite misére ! Ni bac Blanquer ! », mais ils ont vite disparu pour réapparaitre mardi. Malgré la mobilisation à Michelet, une large partie des élèves ne s'est pas sentie perturbée et soutien le mouvement. Avec une vingtaine de professeurs grévistes, il y avait forcément moins de monde pour surveiller les épreuves de spécialités du bac lundi après midi.  L'établissement a dû faire avec les effectifs disponibles pour que tout se déroule bien. D’ailleurs, dans toutes les académies, le mot d'ordre était de ne pas perturber ces premières épreuves écrites du baccalauréat, qui devaient durer les trois premiers jours de la semaine. 

    A côté de cela, en dehors des manifs, des ordures ménagéres à Paris, des débats à n’en plus finir sur les chaînes d’infos, lle bruit à couru à Vanves,  qu’il y aurait une manif mardi soir vers 18H ? Tn tous les cas, la principale préoccupation des vanvéens, dans les conversations, était de savoir s’il y aurait école jeudi pour les parents d’éleves, comment ils iraient travailler sans métrio, bus, ni RER,  s’ils allaient de nouveau connaître la galére de l’automne dernier avec desstations à service à sec, à cause du durcissement des blocages dans lesraffineries qui devraient connaître des arrêts de production. La situation est pour l’instant peu tendue en Île-de-France en comparaison de plusieurs départements du Sud-Est. Les Hauts-de-Seine se démarquent un peu avec un taux supérieur de stations en difficulté (6,4% au dernier pointage) La situation est en tout cas à suivre. A court terme, les stocks sont suffisants pour faire face. Mais, les choses pourraient évoluer si un afflux de consommateurs se précipitaient à la pompe pour faire des réserves avec leur bidon de secours.

  • LES REPERCUSSIONS A VANVES D’UNE NOUVELLE GREVE POUR METTRE A L’ARRET LE PAYS

    Les syndicats opposés à la retraite, font le pari de mettre la «France à l'arrêt» mardi 7 mars. Objectif : faire plier l'exécutif alors que le projet de loi est examiné, en ce moment, par le Sénat. Réponse du gouvernement par la voix du vanvéen ministre des comptes publics, Gabriel Attal qui a haussé le ton. En marge d’une visite au Salon de l’Agriculture samedi dernier, à laquelle l’accompagnait Sévérine Edou, conseillére municipale (Renaissance ) de vanves,  a  appelé les opposants à la réforme à « la responsabilité  et à sortir de l’hypocrisie» : «Quand j’entends les responsables expliquer qu’ils veulent bloquer la France, en réalité c’est les Français qu’ils vont bloquer. Quand j’entends certains qui disent qu’ils veulent mettre l’économie à genoux, c’est les travailleurs qu’ils vont mettre à genoux », a-t-il fustigé. «Les grèves pour certaines reconductibles qui vont toucher des secteurs clés de l’économie comme les transports, vont pénaliser «ceux qui triment, c’est-à-dire les Français qui doivent se lever le matin, prendre leur métro, leur RER, leur voiture pour aller travailler. Les cols blancs en général ils peuvent télétravailler, ils peuvent aller travailler à vélo parce qu’ils habitent pas très loin de leur travail. Ceux qui galèrent le plus quand il y a des blocages ce sont les Français qui travaillent le plus dur, c’est pour ça que j’appelle à la responsabilité» a-t-il ajouté.

    Comme le gouvernement l’avait annoncé, le recours au télétravail risque d’être inévitable mardi 7 mars, pour ceux qui le peuvent. Face à la mobilisation qui se prépare contre la réforme des retraites, mieux vaut ne pas compter sur les transports collectifs mardi, comme le faisait encore remarquer Clément Beaune, dimanche sur France 3. Le  ministre des Transports  prédisait « une des journées les plus difficiles qu’on ait connue», ajoutant que « ceux qui comptent sur les transports auront de grandes difficulté». Les vanvéens risquent de connaitre quelques difficultés sur la ligne 12 du métro, une  circulation uniquement entre Mairie d’Issy et Concorde de 6h30-9h30 et 16h30-19h30 avec un train sur quatre, sur la ligne 13, une circulation des deux branches uniquement jusqu’à Duroc de 6h30-9h30 et 16h30-19h30 avec un train sur trois, ce qui veut dire que la station Plateau de Vanves-Malakoff sera fermé. Sur la voie ferrée Paris Montparnasse, il y aura qu’un train sur trois. En moyenne 3 bus sur 4 circuleront sur l’ensemble du réseau, même si certaines lignes pourraient être fermées, indique la RATP.

    Les écoles devraient être touchées bien évidemment, à quelques exceptions prés. Les vanvéens qui ont pris leurs précautions, craignent le retour d’une pénurie d'essence, s’il y a reconduction de la gréve. Contrairement aux autres journées de grève, la possibilité d'une reconduction fait planer le risque d'une pénurie de carburant avec des raffineries à l'arrêt et l'impossibilité de faire sortir les camions-citernes. Les éboueurs, les livreurs des plateformes ont été appelés  aire grève par la CGT. Mais il est difficile de savoir dans quelle mesure ce mouvement sera suivi

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    PROMESSE MONASTIQUE CHEZ LES BENDICTINES : Une cérémonie de la profession de foi monastique de Sœur Marie Laure – Laure Zounmenou, dans la congrégation des bénédictines et la communauté de Sainte Bathilde, présidée par Mgr Rougié, Evêque du Diocése des Hauts de Seine s’est déroulé jeudi dernier, journée de la vie consacré, au prieuré Saint Bathlide.  L'intégration avait commencée la veille par un temps de pardon mutuel, avec une nuit de prière, entre mercredi et jeudi, durant laquelle les sœurs se sont relayées... suivie de la célébration à l'église, publique, jeudi puis le soir en communauté, au chapitre accueil de la nouvelle capitulante qui a reçut la Bible de refondation. «Elle devient ainsi membre définitivement de la communauté. Il y aura eu au préalable la question matérielle pour disposer de ses biens, et faire un testament valide.  Elle reçoit son obédience et prend part à toutes les décisions de la vie de la communauté. Peut être nommée ou élue à certaines fonctions, et services que seules des professes perpétuelles peuvent assumer» indique Sœur Marie Madeleine mére supérieur.

    DECES DE PHILIPPE TESSON  :Profonde tristesse d’apprendre le décès de Philippe Tesson (sur la photo), patron de presse qui après Combat, a créé le Quotidien de Paris entre 1974 et 1994 où j’ai travaillé entre 1983 et 1994 comme correspondant des Hauts de Sene et Des Yvelines. Avec ce quotidien libéral, soutien de Valéry Giscard d'Estaing avant de s’opposer aux socialistes et à François Mitterrand, il avait mis le pied à l’étrier à de nombreuses personnalités  que j’ai cotoyé comme Eric Zzmmour qui ne laissait pas penser ce qu’il est devenu, alors jeune étudiant qui travaillait à la rubrique « communication/audiovisuel»: avec Fréderic Lantieri, Jean-Marc Sylvestre…et d‘autres qui ont, un temps, travallé au Figaro Contrairement à d’autres journaux très institutionnels, on pouvait écrire sur d’autres sujets que ceux impartis à sa rubrique, ayant pu ainsi  ramener un reportage sur une visite des territoires arméniens touchés par le terrible tremblement de terre à l’occasion d’un voyage d’André Santini qui jumelait Issy les Moulineaux avec Etchmiadzine, le vatican de l’église apostolique arménienne…paru sur une page, et faire des incursions dans la rubrique politique grâce à tous ces politiques qui étaient basés dans les hauts de Seine  Pasqua, Sarkozy, Santini,  Balkany, Fourcade….Une belle formation pour mettre le pied à l’étrier d’un jeune journaliste qui a découvert à cette occasion un homme qui avait le don de trouver des titres pour la Une décapants, qui écrivait ses éditoriaux assassins à la dernière minute avant d’envoyer le journal à l’imprimerie, présidait chaque matin vers 10H desbconférences de rédaction qui n’en finissaient pas d’où arrivait à s’échapper Yves Hervaux, mon rédacteur en chef… et surtout découvert un passionné de théâtre