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  • STADE DE VANVES : UNE ASSEMBLEE GENERALE INEDITE POUR UNE ANNEE TOUT AUSSI ETONNANTE

    Pour la premiére fois  de son existence depuis 80 ans, le Stade de Vanves a tenu une assemblée générale virtuelle le 4 Mars (sur la photo, une AG En présentielle avant)  grâce à Zoom pour dresser le bilan d’une saison particulière (2019-2020), et des perspectives pour une nouvelle saison tout à fait inédite. Alors que ses effectifs ont connu jusqu’en 2019-2020 une constante augmentation avec 5220 stadistes ( 5014 en 2018-2019), soit + 4,11%,  «grâce à la qualité de nos installations sportives» selon Bruno Chauvet, président du Stade de Vanves,   ils ont plongé de 31,9% pour 2020-2021 avec 3593 stadistes à cause de la crise sanitaire, ce qui n’a pas empêché la Natation d’évoluer en championnat National 1, le Basket en nationale 2, au sade de Vanves de tenir ses portes ouvertes à la Rentrée 2019, sa course de Noël début 2020 alors que la France allait se confiner à la mi-mars

    Pendant ce confinement, les sections ont fait preuve d’imagination pour garder le contact avec leurs adhérents, ce qui n’a pas été simple : Le rugby a ouvert un compte Instagram, le tennis un site en ligne, des cours ont été organisé en ligne par la danse, la gym volontaire, l’Escrime, Aerts martiaux…). Lors du déconfinement, il a fallu que les sections s’adaptent avec des cours et des entraînements dans les parcs et forêts (Arts Martiaux, escrime), avec la prolongation des entrainements en Juillet/Août… tout en s’adaptant aux nouveaux horaires, la nécessité de nettoyer les équipements et surfaces après utilisation, gérer l’absence de vestiaires… Sachant que chaque section avait du communiquer le protocole sanitaire édicté par leur fédération sportive au secrétariat tant du stade de Vanves que de la direction du service des sports, et reçu plusieurs courriers du bureau du stade Vanves pour les tenir au courant de l’évolution de la situation, et des mesures de précaution à prendre. Heureusement, le Stade de Vanves a bénéficié des aides de l’Etat pour l’activité partiielle et la sécurisation de l’emploi de ses salariés

    L’objectif de la nouvelle saison est de retrouver les stadistes prévus tout en faisant face à un nouveau reconfinement en Octobre, maintenant un couvre-feu, avec une réduction des plages horaires disponibles, le maintien des cours à distance, la demande de créneaux horaires exceptionnelles (Dimanche et vacances scolaires), et retarder l’application du couvre feu à partir de 17H30 au lieu de 17H au PMS A.Roche mis en place pour que les gardiens puissent fermer avant 18H et vérifier que tout le monde soit siorti de cet équipement sportif. «Je confirme que l’on va pouvoir lâcher du lest pour le couvre-feu» a indiqué Marie Caroline Cohen, maire adjoint chargée des sports. La volonté de cette association omnisports est de faire tout son possible pour que ses adhérents puissent continuer leurs activités sportives malgré ses conditions exceptionnelles. «Je suis admiratif de ce que vous faîtes» a conclu François Praud ex-président du Stade de Vanves.  

  • L’ILE DE FRANCE COMME VANVES ECHAPPE AU CONFINEMENT LE WEEK-END…POUR L’INSTANT

    Mais quel psychodrame pour l’éviter. Face à l’aggravation de la situation sanitaire dans les huit départements franciliens mais aussi dans 12 autres départements, le premier ministre s’est donné une semaine le  25 Février dernier pour décider à des confinements territoriaux comme à Nice et à Dunkerque, après concertation avec les élus concernés, en les plaçant en «surveillance renforcée».

    Les événements se sont précipités dés le soir même lorsque la mairie de Paris annonçait vouloir aller plus loin en proposant au gouvernement un confinement de 3 semaines dans la capitale afin «d'avoir la perspective de tout rouvrir» à son issue. Face aux réactions, elle a dû tempérer cette idée de confiner la capitale. Mais trois jours après, elle était contre un confinement le week-end en faisant part de son désaccord avec cette décision  qu'elle jugeait «difficile, dure, voire même inhumaine» et prônait, au contraire l'accès aux espaces publics pour la population :«Plus on restreint les espaces publics et les temps d'aération pour les familles, moins on lutte contre le Covid. C'est ce que nous avons appris du premier confinement, à l'extérieur on a moins de risques d'attraper le Covid dès lors que l'on porte un masque et que l'on est respectueux des gestes barrières». Bien entendu, Gabriel Attal, porte parole du gouvernement avait réagit à ce revirement sur CNews :«Je ne vais pas prendre le risque de commenter une position de la mairie de Paris puisqu'on voit qu'elles évoluent. Il y a eu trois positions en trois jours. D'abord on nous a dit il faut confiner complètement et strictement la ville de Paris, ensuite vendredi ce n'était finalement plus qu'une hypothèse et aujourd'hui, il n'en a jamais été question !».  

    Quant à valérie Pécressse, président de la Région ile de France, elle était plus réservée :« Il ne faut pas prendre des mesures privatives de liberté qui ne sont pas efficaces. Il faut prendre des mesures strictement proportionnées à l'évolution de l'épidémie et que ces mesures soient réversibles en cas d'inefficacité » prévenait elle en demandant, en cas de re-confinement le week-end, à ce que les marchés en plein air et les lieux de culte restent ouverts et à ce que les aides aux commerçants soient revues à la hausse. Tout comme les maires des Hauts de Seine qui  demandaient, dans ce cas,  le maintien des marchés alimentaires et que les parcs et jardins restent également ouverts.

    Même si des hésitations n’ont pas manqué jusqu’au dernier moment, selon l’AFP, le gouvernement a écarté l'hypothèse d'un confinement les week-ends en IDF, en ayant eu affaire à des élus franciliens plutôt hostiles ou réservés contrairement à Nice, Dunkerqe et dans le Pas de Calais qui le demandaient.  Il apparaît que l'exécutif souhaite «utiliser ce confinement le week-end en dernier recours», mais «la contrepartie est qu’il faut faire comprendre aux habitants qu’ils doivent rester chez eux !», en prenant des mesures restrictives

    Cette mise en surveillance renforcée s’explique aisément par une tension dans les hôpitaux franciliens comme l’indiquait l’ARS : 72% des lits en réanimation étaient occupés par des patients atteints du Covid-19. L'incidence du Covid-19 est supérieure à 320/100.000 à Paris, dans le Val-de-Marne et en Seine-Saint-Denis (280 cas pour 100.000 habitants, contre 207/100.000 dans le pays).  La remontée du nombre de cas a été quasi continue dans la région depuis l'assouplissement du deuxième confinement, début décembre. Le léger mieux observé au moment des fêtes, dans toute la France, a été effacé dès début janvier. Puis à partir de février, alors que l'incidence refluait un peu au niveau national, elle a poursuivi sur sa lancée en Ile-de-France.

    Heureusement, les indicateurs du département des Hauts de Seine  sont légèrement moins critiques que ceux du reste de l'IDF : Le taux d’incidence remonte, avec 270 cas pour 100 000 habitants (301,9 en IDF), le taux de positivité des tests augmente aussi : 6,8% (8,2% en IDF), le nombre de lits occupés par des patients atteints de la COVID en réanimation, qui est gérée dans un cadre régional, augmente dans le département : 76,6% (contre 70,6% en IDF). Le préfet Hottiaux a indiqué qu’une politique de tests massive est actuellement déployée : Entre 66 000 et 70 000 tests sont réalisés par semaine. Par ailleurs, les forces de l’ordre ont renforcé les contrôles sur le respect du couvre-feu. Au mois de février, 5 414 personnes ont été contrôlées (contrôle du port du masque) ainsi que 378 établissements recevant du public (dont 87 restaurants). Il a indiqué, que, dans les Hauts-de-Seine, 74 460 injections avient été réalisées (47 537 1ères injections et 26 923 2ndes doses) fin Février. Pour les dotations de doses, les centres ont tous reçu leur notification de dotation jusqu’au 28 mars inclus et disposent ainsi d’une visibilité sur un mois. Ainsi, sur le mois de mars, 26 182 rendez-vous ont déjà été programmés dans les centres». 451 médecins généralistes se sont portés volontaires pour cette phase de démarrage dans les Hauts de Seine de la vaccination des 50-65 ans dont 2 à 3 Vanves

  • VANVES VILLE IDEALE : PAS TANT QUE CELA EN MATIERE DE SECURITE

    Vanves est classée 117ème sur les 2007 villes notées parmi 6807 communes classées par le site ville idéale sur lequel des habitants de ces villes les notent et donnent leur avis. Vanves obtient la note de 4,87 pour la sécurité. Les commentaires qui l’accompagnent traduisent plutôt un ressenti, des incivilités qui gênent la tranquillité, les énervent lorsqu’ils se produisent trop souvent mais peu d’actes vraiment délictueux. Manifestement, le tabassage de Yuriy à Beaugrenelle et l’arrestation de vanvéens mineurs, ont suscité de nombreux réactions 

    «Les déclarations du maire de Vanves au sujet des bandes du plateau impliquées dans le récent tabassage d'un jeune homme sont à l'image de la politique de l'autruche pratiquée par la ville en matière d'insécurité : «A ma connaissance, il n'y a pas à Vanves une bande identifiée capable de commettre un acte aussi abject que le tabassage dont a été victime Yuriy» Au lieu de regarder la situation en face et de tenter d'infléchir le cours des choses, l'équipe municipale se voile la face en feignant de découvrir le phénomèn » a réagit  Geralain en ajoutant «Ce n'est pas en tournant des clips ridicules (cf #lalavanves) que l'on peut lutter contre la mainmise de bandes mafieuses sur tout un quartier. La police municipale est inexistante en soirée, précisément au moment où les délinquants occupent le terrain. Tant qu'un maire n'aura pas le courage d'entamer une profonde restructuration du quartier en détruisant les barres, le plateau sera toujours en une des journaux à la rubrique des faits divers..».

    Pour  Francis «L'insécurité notoire de la ville de Vanves, justement décriée sur internet déborde maintenant sur les villes voisines (comme l'atteste l'affaire Yuryi). Non contente de polluer la vie des Vanvéens, les bandes de « jeunes» locales s'affrontent désormais hors de la ville dans le 15ème arrondissement voisin». Pour Mireille : «Un maire qui découvre la délinquance ça laisse songeur.. il ne voit pas les bandes à l'oeuvre dans sa ville (cf interview dans le Parisien). A t-il été envisagé de demander aux policiers municipaux d'effectuer leur ronde en soirée plutôt qu'en début de matinée quand les dealeurs dorment ? Les problèmes d'insécurité de la ville pouvaient être ignorés quand ces derniers restaient cantonnés à la cité du Plateau, mais maintenant que les bandes de Vanves opèrent dans le 15ème et à Issy, la colère gronde chez nos voisins qui demandent à nos édiles d'agir. Le problème ne peut plus être ignoré depuis l'affaire Yuriy ». Ondy x considère que «concernant l'affaire Yuri, dans ce même département du 92 y'a déjà eu ce genre d'histoires dans le passé avec une issue bien plus tragique je pense notamment aux rixes entre Asnières et Gennevilliers, Chatenay et le Plessis etc .. avec beaucoup moins de médiatisation que ça mais bon, dés que ça parle du 15ème et de Vanves forcément faut que ça fasse la une vu que ces villes ne sont pas habitués aux faits divers»

    «Pas eu de problème de sécurité personnellement, mais la rubrique fait divers laisse à penser que cela viendra: cambriolages, agressions dans les transports, à la Poste...Tirs de mortiers réguliers, incendies fréquents des immeubles ou parking…. » constatait Carole Zeigler  «Beaucoup de délinquance avec des règlements de compte assez fréquents depuis quelques temps (avec des fins tragiques malheureusement» ajoutait Maeva92 «En terme de sécurité faut pas abuser c'est pas le Bronx ici. Je vois juste que les gens sont paranoïaques, les gens sont pour la plupart gentils et il y aura toujours un ou deux fouteurs de merde, peu importe la ville» selon XXX qui ne partage par leur avis. Tout comme Salut : «Oui on peut voir des regroupements de jeunes qui squattent un peu le soir, oui ça deal peut-être un peu, par contre je ne me retrouve pas du tout dans les commentaires négatifs qui laissent croire que Vanves est une zone tribale. Jamais je n'ai ressenti la peur ni ai eu vent d'agressions ou de violences à Vanves en 10 ans, il faut arrêter la psychose. Certes la police et la mairie pourraient faire leur job au lieu de laisser faire les quelques nuisances nocturnes mais globalement les propos postés sont démesurément exagérés et ne reflètent pas la réalité ».
    «Les cités du Plateau, Porte de Briançon, et les HLM de L'avenue de Verdun sont gangrenés par le trafic de stup. Malheureusement il faudra encore des décennies avant que Vanves ne soit agréable. Oui les commodités sont là mais la qualité de vie est déplorable. Rodéo de motocross la nuit en été, des travaux de partout. Bref le jeu n'en vaut pas la chandelle. À 8500 euros le m2 pour vivre au milieu des dealers» se plaint Emasson. «Trop de trafic de stupéfiants et des quartiers à éviter comme Le Plateau, Porte de Briançon, avenue de Verdun. Pour ma part, j'habite au Plateau où le trafic est omniprésent, les jeunes ne vivent pas forcément dans ce quartier mais trainent dans le secteur de la rue auguste comte, des guetteurs dans mon bâtiment, des cris toute la journée et des tirs toutes les 2 semaines, je ne conseille Vanves qu'aux investisseurs de long terme» conseille Ambroisie92  «Aucune considération pour les jeunes parents. 3 cambriolages en 1 an. La mairie vous ignore jusqu'aux élections. Passez votre chemin même si la ville semble bien située La délinquance est omniprésente, les bandes de trafiquants contrôlent les allés et venues dans le quartier du plateau» ajoute Catherine92