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  • VANVES N’A PAS ETE EPARGNE PAR DES AFFRONTEMENTS ENTRE BANDES

    Les affrontements entre bandes sont en légère hausse dans l'agglomération parisienne, selon le préfet de police. Laurent Nuñez expliquait ces jours-ci sur RMC, avoir recensé 98 affrontements entre bandes dans l’agglomération parisienne  en 2024, contre 93 l'an passé, dont 25 à Paris avec celle qui a coûté la vie à un lycéen de 16 ans dans le 13e arrondissement le 17 Décembre dernier. «Environ 20% des affrontements dans l'agglomération parisienne touchent un établissement scolaire » comme ce fut le cas devant le LEP Dardenne avant les vacances de la Toussaint.

    « Ce sont le plus souvent des lycéens ou des individus qui ne sont pas déscolarisés»  a expliqué Laurent Nuñez qui soulignait que l'âge moyen des membres des bandes était cette année de «16 ans et 10 mois », contre « 17 ans et 10 mois » l'an dernier. Les services de la préfecture de police suivent environ 45 bandes sur toute l'agglomération parisienne, dont 37 à Paris.

    Laurent Nuñez a indiqué en outre que depuis le début de l'année, « les services de police étaient parvenus à éviter 81 affrontements. Environ un millier de personnes sont interpellées chaque année » a-t-il affirmé. Depuis le début de l'année, «370 jeunes ont été déférés» devant la justice dans le cadre de ces affrontements entre bandes

    Pour le préfet de police, «ce qui est important dans la prévention des affrontements entre bandes, c'est vraiment la détection. Mais on n'arrive pas à tout prévenir ». Selon le parquet, «anticiper les passages à l’acte est d’autant plus difficile qu’ils se préparent souvent à la dernière minute, sur les réseaux, et que les jeunes se déplacent, pour s’affronter parfois loin de leur lieu de scolarisation ou d’ancrage ». C’est pourquoi, les pouvoirs publics (élus, services de police nationale et municipale,  préfecture de région, Education nationale, la direction de la protection judiciaire de la jeunesse et Parquet) organisent « une veille active qui peut permettre le déploiement de forces de police et d’obtenir la dispersion des groupes avant le passage à l’acte » C’est ainsi que pour le match de football entre des équipes  de Vanves et de Malakoff, un escadron de policiers a été déployé dans le PMS André Roche dimanche dernier.

    Comme l’a déclaré le maire Bernard Gauducheau dans Actu.Hauts de Seine « Vanves n’est pas du tout le Bronx des années 1960 » : «Les récents évènements ne doivent pas créer tant d’inquiétudes : Sur les 30 000 habitants de la commune, il y a une douzaine d’individus à risque ». Tout en relevant que « ces derniers temps, on constate que le phénoméne touche des jeunes de plus en plus jeune » et que « ces bandes évoluent dans une zone limitée, où l’on trouve le 14ᵉ arrondissement de Paris, mais aussi de Châtillon, Clamart et Issy les Moulineaux.

    Depuis fin Octobre, un groupe local de traitement de la délinquance (GLTD)  a été mis en place par le parquet de Nanterre. « Ce dernier, temporaire, a pour but de réunir tous les acteurs, allant des municipalités en passant par la police et les acteurs éducatifs . Nous avons par exemple été mis en lien avec la Protection judiciaire de la jeunesse et les services pénitentiaires, car certains des jeunes impliqués sont déjà connus de la justice. L’enjeu de ce groupe, c’est de pouvoir intervenir le plus en amont possible» expliquait il

  • BERNARD GAUDUCHEAU A PROPOS DES RIXES ENTRE BANDES : « Vanves n’est pas du tout le Bronx des années 60 ! »

    Le Site d’Actu.92  est revenu sur les rixes qui se sont déroulés, avant les vacances de la toussaint devant des établissements scolaires de Clamart, de Malakoff et devant le LEP Dardenne  dans notre commune - « Vanves entre violences et loi du silence, les bandes de jeunes dans le collimateur des pouvoirs publics » - où il est indiqué que le 29 octobre, cinq jeunes issus de Vanves et de Malakoff ont été interpellés.

    «Ces rivalités entre différentes communes de Paris ne sont pas nouvelles. Selon la cellule bande de la Préfecture de Police de Paris , chargée d’identifier ces groupes souvent très jeunes, les tensions entre Vanves et les communes voisines auraient été portées à leurs connaissances « dès 2020 ». « Il s’agit d’une rivalité de communes, sans groupe identifié et constitué, reposant sur un sentiment d’appartenance à une circonscription et non à un quartier ou secteur défini », détaille une source policière. Ces bandes évoluent dans une zone limitée, où l’on trouve le 14ᵉ arrondissement de Paris, mais aussi de Châtillon, Clamart et Issy lesMoulineaux. « Les points de ralliements de ces violences sont souvent autour des établissements scolaires. Ces derniers temps, on constate que le phénomène touche des jeunes de plus en plus jeunes » analyse Bernard Gauducheau, maire de Vanves » selon Atcu.Hauts de Seine qui indique que « La cellule bande a ainsi identifié 7 épisodes de rixes entre 2020 et 2024, soit à peine deux par an»

    Pour ce qui est des causes de ces actes, le flou règne, selon Actu.92 qui a interrogé le maire de Vanves : « Il est très difficile d’identifier le pourquoi de ces violences, car la loi du silence règne, tant chez les auteurs que chez les victimes. On a par exemple des parents à qui on dit de porter plainte, mais ils ne veulent pas », et en conclut : «Insultes, trafic de stupéfiants ou histoires de filles… Les hypothèses sont multiples, mais ne deviennent jamais des certitudes ».

    Pour pallier ce phénomène, des mesures ont été mises en place au fil des années par la municipalité, selon Actu 92 qui cite des groupes d’éducateurs qui assurent une vigilance permanente dans les zones sensibles, des médiateurs entre Mai et Octobre qui circulent à des horaires tardifs sur des lieux où l’on sait qu’il y a des rassemblements de bandes.

    Depuis fin Octobre, un groupe local de traitement de la délinquance (GLTD)  a été mis en place par le parquet de Nanterre. « Ce dernier, temporaire, a pour but de réunir tous les acteurs, allant des municipalités en passant par la police et les acteurs éducatifs : « Nous avons par exemple été mis en lien avec la Protection judiciaire de la jeunesse et les services pénitentiaires, car certains des jeunes impliqués sont déjà connus de la justice. L’enjeu de ce groupe, c’est de pouvoir intervenir le plus en amont possible» a indiqué Bernard Gauducheau à Actu 92 en soulignant que « les récents évènements ne doivent pas créer tant d’inquiétudes : Sur les 30 000 habitants de la commune, il y a une douzaine d’individus à risque. Ce n’est pas du tout le Bronx des années 60 ! ».

  • UNE INSECURITE CHRONIQUE SUR LE PLATEAU DE VANVES IGNOREE

    Quelques riverains de la rue Marceau, dont l’ex-maire de Vanves, ont été victimes de cambriolages et d’agressions par de jeunes individus de couleurs ces derniers jours dont Guy Janvier a fait état à Bernard Gauducheau son successeur : Son épouse qui rentrait chez elle en pleine après-midi a senti une présence derrière elle alors qu’elle ouvrait la porte de son jardin. Elle s’est retournée et s’est retrouvé devant un jeune assez grand et costaud :« qu’est-ce que vous voulez ? » lui a-t-elle demandé. Il a désigné son collier. Elle s’est mise à crierpour alerter le voisinage,  ce  qui l’a fait fuir, avec un de ses complices resté en retrait.

    Cet incident intervenait quelques temps après une tentative de cambriolages de son pavillon alors qu’ils étaient en province. Heureusement un voisin a aperçu l’individu et a prévu la police qui est intervenue très rapidement, en moins de 3 mn,  pour arrêter ce jeune en flagrant délit. Entretemps, ce voisin attentif avait prévenu Guy Janvier de cette intrusion. Mais ce n’est pas la seule, puisque dans un pavillon voisin, quelle ne fut pas la surprise d’un couple d’être réveillé en pleine nuit, par du bruit au rez-de-chaussée. L’épouse s’est levée et a descendu les escaliers pour apercevoir un individu en train d’entre dans la salle de bain : « Mais qu’est-ce que vous faîtes là ? » - « dormir » lui a-t-il répondu alors qu’il s’apprêtait à s’installer dans la baignoire. Voyant l’époux arriver, il prit la fuite et sauta par-dessus le mur qu’il avait escaladé pour s’introduire dans le jardin…

    Beaucoup de ses victimes et habitants de ce quartier ont des doutes sur cette bande de jeunes, dont Guy Janvier en connaît quelques uns,  qui trainent devant le restaurant Il Giardino, avec une tactique très simple, Ils garent toujours une de leur voiture en double file, pour ne laisser passer les véhicules qye sur une file, s’amusant sur la chaussée les faire ralentir et rechercher sûrement une altercation . Voilà les tristes faits, souvent ignorés par les autorités de la ville jusqu’au moment où des victimes les saisissent de ces faits qui contredisent le discours majoritaire d’une ville paisible et tranquille, sans bandes, ni trafics, ni violence.