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  • VANVES ET LE COVID-19 : PRENDRE LES TRANSPORTS EST MOINS DANGEREUX QUE BOIRE UNE BIERE SUR UNE TERRASSE VANVEENNE

    Les vanvéens sont vigilants dans ce contexte de crise sanitaire, notamment sur les réseaux sociaux où il s’expriment.  Alors que Paris et la petite couronne venaient de passer en zone d'alerte maximale, entraînant de nouvelles restrictions pour freiner la propagation de l'épidémie, des centaines de voyageurs se retrouvaient entassés et bloqués dans les couloirs du métro, comme l’ont montré de nombreuses vidéos diffusées sur les réseaux sociaux et relayés par leurs soins. Et notamment sur la ligne 13 que beaucoup d’entre eux empruntent, et qui  a encore une fois subi l'ire de passagers massés près de quais rendus difficile d'accès par la surabondance de passagers. ET pourtant le préfet de police a confirmé que les transports publics ne feraient l’objet d’aucunes restrictions,  du moins pour l'instant, au contraire de nombreux autres lieux de contact comme les salles de sport, les gymnases, les piscines, les congrès ou les bars.  Ce qui apparait, à leurs yeux, complétement incompréhensible

    «Les transports en commun ne sont pas un lieu de contamination particulier», s'est justifié Jean-Baptiste Djebbari ministre délégué aux transports, en rappelant que «toutes les études scientifiques prouvent que moins de 1% des contaminations se passent dans les transports». En cela, le «protocole sanitaire extrêmement strict», déjà en place dans ces lieux de transit et en particulier le port du masque obligatoire suffit à limiter les risques au maximum. D’ailleurs Santé Publique France  indiquait que sur l'ensemble des 2830 clusters identifiés entre le 9 mai et le 28 septembre, les transports (l'avion, le bateau et le train) ne représentaient que 1,2% du total et une extrême minorité des clusters en cours d'investigation. Les contaminations ont principalement lieu dans les «entreprises hors établissements de santé», pour un quart, en «milieu scolaire et universitaire», pour un cinquième, et dans les «établissements de santé» ou les «événements publics ou privés et rassemblements temporaires de personnes», pour un dixième chacun. Pourtant , à la Mi-Juin, le Haut Conseil de la Santé Publique considérait les transports en commun comme «des lieux clos à risque de transmission du virus». Qui croire ?

    «Les règles sanitaires sont plus strictes dans les transports que dans les bars. Le port du masque est, par exemple, permanent», rappelait Ile de France Mobilités, la haute autorité des transports en IDF où siége le maire de Vanves. «Nous n'avons pas connaissance de clusters dans les transports en commun. Toutes les études, y compris à l'étranger, montrent que ces lieux sont sûrs. Les mesures prises suffisent à garantir que le risque de contamination est limité» ajoutait elle.  De surcroît, l'absence de touristes, le développement de modes de transport alternatifs et le télétravail viennent parallèlement réduire la pression sur les lignes. «Les images particulièrement impressionnantes partagées lundi sur les réseaux sociaux sont le résultat de «dysfonctionnements» sur la ligne 13. Il y a eu un concours de circonstances, avec deux incidents à la suite», expliquait-on la RATP qui décidé de mobiliser ses agents pour canaliser les flux, pour éviter que les scènes d'attroupements sur les quais de la ligne 13, dans les couloirs du métro ou dans le RER B se reproduisent. Il n’en reste pas moins que le message est clair : prendre le métro est désormais moins risqué que boire une bière en terrasse

  • VANVES APPELLE A SOUTENIR L’ARMENIE COMME LES HAUTS DE SEINE ET DE NOMBREUX ELUS

    173 maires, députés, Sénateurs dont le maire de Vanves avec ses collégues d’Issy les Moulineaux, André Santini et de Clamart, Jean Didier Bergeret qui accueillent une forte communauté arménienne, mais aussi de Florence Provendier  députée de la 10e circonscription (Issy/Vanves), Anne Hidalgo, Valérie Pécresse… ont signé une tribune dans le JDD de dimanche dernier appelant la France à sortir de sa position de neutralité face à «l’agression azerbaïdjanaise contre les Arméniens» au Nagorny Karabakh, région séparatiste que l’Azerbaïdjan cherche à reconquérir.
    Dans cette tribune publiée dans le JDD, en collaboration avec le Conseil de coordination des organisations arméniennes de France, ces élus estiment que la diplomatie française, qui  «ne ménage pas ses efforts, devrait à la lumière des événements récents de l’année 2020 reconsidérer profondément sa stratégie. Le 12 juillet dernier et sur plusieurs jours, écrivent les signataires, «l’armée azerbaïdjanaise a déjà attaqué non pas le Haut-Karabakh, mais l’Arménie dont les frontières sont pourtant unanimement reconnues par la communauté internationale (...) Cette attaque représentait une agression insupportable contre un pays ami de la France, auprès duquel nous avons une responsabilité historique et universelle au regard du génocide dont son peuple a été victime en 1915…Une responsabilité qui doit nous conduire à dépasser cette position de neutralité absolument intenable lorsque depuis quelques heures, les populations civiles sont attaquées : des femmes et enfants ont été tués, et la ville de Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh, éloignée de plusieurs kilomètres de la ligne de front, a été la cible de bombardements. La neutralité ne saurait être un blanc-seing aux offensives qui n’ont pour seul objectif, la disparition des populations arméniennes de ce territoire». Les signataires dénoncent également le rôle de la Turquie qui «alimente violemment le conflit par des déclarations belliqueuses de soutien aux Azerbaïdjanais« et à travers »l’envoi de miliciens - pour ne pas dire de djihadistes - à la solde de la Turquie, acheminés en Azerbaïdjan depuis la Syrie où ils étaient venus semer la mort en particulier contre les populations kurdes…Pour l’ensemble de ces raisons, concluent les signataires, nous considérons que la diplomatie française doit réexaminer sa stratégie dans le conflit du Haut-Karabakh : dénoncer avec force l’agression azerbaïdjanaise et exiger l’arrêt immédiat des violences de la part de l’Azerbaïdjan sous peine d’un soutien massif aux autorités du Haut-Karabakh qui passera par la reconnaissance de leur légitimité pleine et entière»

    Goerges Siffredi, président du Département des Hauts-de-Seine avait fait part, de sa préoccupation face à  l'escalade de violences survenue dans le Haut-Karabagh, espérant vivement que «tout sera mis en œuvre pour que les hostilités cessent rapidement» et que «le Groupe Minsk parvienne à faire reprendre le dialogue de manière pacifique, stoppant ainsi les répercussions parmi la population civile.  Occasion de rappeler que le Département entretient des liens forts avec la région du Tavouch, limitrophe de l'Azerbaïdjan et déjà impactée par des affrontements survenus en juillet dernier. C'est dans cette région d'Arménie qu'il met en œuvre depuis plus de 10 ans un programme de développement agropastoral, en partenariat avec le Fonds Arménien de France. «Le Département des Hauts-de-Seine apporte tout son soutien aux victimes et à leurs proches, ainsi qu'à l'ensemble de la population civile» avait il indiqué.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LE PATRON D’INTERMARCHE DE VANVES DEVIENT LE PATRON DES MOUSQUETAIRE

    «Vincent Bronsard, patron des intermarchés de Vanves et d’Irgeval  deviendra président du conseil d'administration d’intermarché et de Netto en novembre, en remplacement de Thierry Cotillard qui occupait depuis cinq ans la présidence d'Intermarché, enseigne phare du groupement, et du discounter Netto» ont précisé Les Mousquetaires dans un communiqué. Ce groupement compte neuf enseignes et exploite près de 4.000 points de vente en Europe dans trois métiers (alimentaire, équipements de la maison/bricolage et mobilité/entretien de la voiture). Son chiffre d'affaires s'est établi à 45,33 milliards d'euros en 2019. Il  compte pour sa part 1.800 points de vente en France et Netto 295.  Le chiffre d'affaires de ses deux enseignes alimentaires, Intermarché et Netto, a atteint 37,2 milliards d'euros (carburant inclus) en 2019, selon les derniers résultats publiés par le groupement

    GABRIEL ET LE NOUVEAU TOUR DE VIS

    Une semaine après un tour de vis contesté dans plusieurs villes pour lutter contre la progression du Covid-19, et dans le Grand Paris (Paris et la petite Couronne)  à partir d’aujourd’hui, car  les indicateurs se sont encore dégradés, Gabriel Attal porte parole du gouvernement expliquait : «Cette annonce était nécessaire la semaine dernière. Là, à Paris par exemple, on a eu quelques jours pour discuter avec les élus locaux, et on a eu  aussi un moment à mettre à profit avec les restaurateurs. On a recueillir leurs propositions pour voir dans quelle mesure on pouvait faire évoluer les choses, et voir les impacts». Tout en précisant «qu’on regarde partout comment limiter les risques au maximum. Pour autant,  il n'y a pas deux poids deux mesures entre Paris et Marseille. On assume d'avoir une stratégie territorialisée et graduée, Ce qu'on veut, c'est qu'il y ait le moins de formes graves de Covid-19 possibles, le moins d'hospitalisations»

    VANVES ET LE NOUVEAU TOUR DE VIS DANS LE GRAND PARIS

    Théoriquement l’ensemble des établissements vanvéens pourront continuer leur activité restaurant mais pas bar après les annonces faites hier matin.  A la condition  que leur chiffre d'affaires soit majoritairement constitué par l'activité restauration, lorsqu’ils auraient néanmoins conservé la classification «débit de boisson». Et qu’ils respectent des conditions draconiennes :  mettre du gel hydroalcoolique à disposition sur toutes les tables et non plus seulement à l'intérieur de l'établissement, maintenir 1 mètre de distance «entre les chaises» des différents groupes de convives qui devront, de leur côté, conserver leur masque la plupart du temps sauf au moment de la consommation des plats. Les groupes de convives seront limités à six personnes (enfants compris) contre dix actuellement. Le paiement à table sera privilégié et les clients seront «incités» à réserver pour éviter les attroupements aux abords des restaurants. Une «jauge» sera mise en place dans les centres commerciaux et les grands magasins, ainsi que dans les universités. Les piscines seront fermées pendant deux semaines à partir de mardi pour les adultes, mais resteront ouvertes aux mineurs «que ce soit dans un cadre scolaire, associatif ou privé», ainsi que les salles de sports et polyvalentes. Par contre, les stades et terrains d'entraînement physique, tous les équipements de plein air pourront rester ouverts à condition de rassembler moins de 1 000 personnes ou 50 % de leur capacité maximale si elle est inférieure à ce chiffre de 1 000 personnes