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  • BUDGET 2018 DE VANVES : LES SUBVENTIONS AUX ASSOCIATIONS

    Le montant des subventions versées aux associations s’élévera  à  1 033 222 €  (contre 1 042 152 € en 2017). Comme chaque année, Françoise Saimpert adjointe au maire chargée des associations a précisé lors du conseil municipal du 28 Mars, que l’examen de chaque demande a fait l’objet d’une étude ou d’un examen approfonde des demandes, au cas par cas. Certaines associations ont proposé elle-même d’abaisser leur subvention. D’autres n’en ont pas demandé comme l’ASTI (Association de Solidarité avec les travailleurs immigrés). Des nouvelles bénéficient de subventions : Grain à Moudre, APED 94, La Licra, MedraTribu Aït Mansour.

    CULTURE : 210 625 €  (204 100 € en 2017  ) :  Les Amis des Arts :150 ; Art Evolution :  8 000  ; Œuvre participative : 1000 ; Tourmaline Cie L’Escarboule : 3 000 ; Ateliers d’Expression :12 000 ;  Biblioclub : 178 000 ; Les Caractéres : 1800 ; Image Vanves (CIV) : 1500 ; Club Culturel Anglo Américain : 150 ; La Compagnie de l’Echaugette :1 000 ; Du Grain à Moudre : 200 ; Hauts de Seine Chansons : 800 ; Musici Artis Paris : 1300 ; Lézards en Scéne : 400 ; Lire et Faire Lire : 375 ; Pour le Renouverau des Orgues de Saint Remy : 700 ; Rives Méditéranéenne : 150 ; Vanves Art &Culture : 100

    SPORTS : 536 718 € (558 460 € en  2017 ) :  ASLD (Asssociation Sportive du Lycée Louis Dardenne) : 800 ;  ASSEV (Association Sportive Saint Exupery de Vanves) : 5 510 ;  Arc de Seine Kayak : 200 ;  Stade de Vanves : 524 808 ;  Institut de Goryuju Karaté Do France : 1500 € ; Comité des Médaillés de la Jeunesse et des Sports 92 (CDMJDS 92) : 100 € ; UACM/UALM (Union Athlétic du collége et du lycée Michelet) : 3800 

    SANTE, SOCIAL, SOLIDARITE  : 28 600 € (  31 550 € en 2017 ) :  APED 94 : 100 ;  Les Amis de Madina : 300 ; Les  Amis du Rosier Rouge : 300 ;Balmaya : 200 ;  La Croix d’Or (Alcool Assistance) : 300 ; La Croix Rouge :1 300  ; Ecole des Sables : 300 ; Enfance Benin :300 ; France Alzheimer : 700 ; Institut Lannelongue pour le fonctuionement : 15 000  et pour l’accueil de Jour : 5 500 ; La Licra : 500 ; Medra Tribu Aït Mansour : : 100 € ; Parenthése : 800 € ; Protection civile de Vanves-Malakoff : -à0 ; SAIS92 : 500 € ; Solidarité et Entraide Saint Luc de Vanves : 1000 ; Solidarité Vanves – Mali : 300 ; Votre Ecole chez nous : 500

    ANIMATIONS ET LOISIRS : 102 400 € (97 840 € en 2017 ) : Club Vanvéen de Danse Sportive : « 50 ;  La Fabrique à Brac : 450 ; Les Généalogistes de Vanves : 150 ;   Scrabble Club de Vanves :150 ; Saint Exupery Amitiés : 600 ; SIAVV (Syndicat d’Initiative) : 25 000 et è( 000 pour le personnel ; Vanves Billard Club : 400 ; Vanves Pocker Club :150 . Zeste de Zen : 150 €

    ENFANCE ET JEUNESSE : 1250 € (1450 € en 2017 )  : Scouts Unitaires de France (St Benoit Issy-Vanves) : 350 ; En sortant de l’Ecole : 500 ; Randscouts et randguides de Vanves : 400 €

    MEMOIRE : 2150 € ( 1250 en 2017  ) : AOR 92 (Association des Officiers et Militaires de Réserves des Hauts de Seine) : 200 ; FNACA :750 ; Société d’Entraide des Membres de la Légion d’Honneur : 450 ; UNC : 750

    RESSOURCES HUMAINES : 91 000 € ( 91 000 en 2017 ) : Caisse de Solidarité du Personnel communal : 91 000 € 

    SECURITE : 500 € ( 500 € en 2017)    :  ADAVIP 92 (Association d’aides aux victimes d’infractions pénales) : 200 ; Association Sportive et culturelle des policiers de Vanves : 200 ; Prévention Routière : 100 

    PETITE ENFANCE  59 979 € (55 092 € en 201è ): Elphy (Jardin d’enfants)  : 28 926 ;  Association Grenadine :3 909; Les P’tites Canailles : 27 144

  • VANVES ET GPSO : ECHANGES VIFS A PROPOS DU BASKET AU CONSEIL TERRITORIAL QUI A VOTE SON BUDGET 2018

    Le Conseil territorial de GPSO s’est réunii jeudi soir pour voter son budget 2028. A cette occasion, Jean Cyril Le Goff (LREM) s’est étonné que la subvention de 100 000 € prévue pour le stade de Vanves et surtout la constitution d’une grande équipe de basket intercommunale à partir de l’équipe première de la section basket, ne soit pas inscrite à l’ordre du jour.  Pierre Christophe Baguet, président de GPSO (sur la photo assistant à un match de basket à Vanves)  a indiqué qu’elle sera inscrite à l’ordre du jour du prochain conseil territorial du 21 Juin 2018 et qu’en attendant, la ville de Vanves pourrait faire une avance de 50 000 €. Une proposition à laquelle se serait opposé vivement le maire de Vanves au grand étonnement d’une partie des 80 conseillers territoriaux, en annonçant qu’il ferait faire un audit des comptes du Stade de Vanves. Le président de GPSO l’a malgré tout rassuré en assurant que cette subvention sera versée en Juin, d’autant plus qu’il s’y était engagé par écrit  

    Il n’en reste pas moins que GPSO a voté, à l’unanimité,  son budget 2018, marqué par  une réduction de la fiscalité et des dépenses, une stabilisation des frais de personnel et des  investissements ambitieux malgré un contexte institutionnel instable et incertain, le Président de la République ayant différé à plusieurs reprises ses annonces sur une réforme du Grand Paris. Ainsi, il prévoit une baisse du taux global de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) de 2 % pour 2018, passant ainsi de 4,47% (depuis 2014) à 4,38%, un maintien du taux de la Cotisation Foncière des Entreprises à 20,21 % (le plus faible des territoires de la métropole du Grand Paris), un stabilisation des frais de personnel ( 48,35M€ en 2017 à 48,34M€ en 2018)  tout en maintenant un haut niveau de service public. «La structure des dépenses de fonctionnement par compétence du budget principal fait preuve d’une très grande stabilité depuis plusieurs années. Ainsi, plus de la moitié des dépenses de fonctionnement de GPSO soit 52% reste affectée à la collecte et au traitement des ordures ménagères, à la propreté urbaine et à l’enseignement artistique. Il est à noter que les crédits de la majorité des compétences exercées par GPSO restent stables par rapport au Budget primitif 2017 à l’exception principalement des crédits relatifs à la propreté urbaine en raison du renforcement du service rendu» a indiqué le rapporteur du budget .

    GPSO a adopté un ambitieux programme d’investissement de 158M€ sur la période 2018-2021 pour entretenir les espaces publics et poursuivre des projets structurants des 8 villes du territoire. Il a prévu une augmentation des prestations de propreté à 15,9 M€ pour faire face aux incivilités croissantes, à la création de nouveaux quartiers et la hausse de la population. Enfin, l’exercice 2018 est par ailleurs marqué par des transferts de compétences, notamment celui de l’aménagement (opérations transférées par les villes de Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux et Meudon).

  • GREVICULTURE : LE DEPUTE DE VANVES FAIT LE BUZZ ET TRAITE DE PETIT MARQUIS

    Interrogé sur le terme de «gréviculture» qu'il avait utilisé pour dénoncer «la culture de l'affrontement» de «certains syndicats», Gabriel Attal, député LREM a tenu à défendre le droit de grève, dont «il n'est évidemment pas question de revenir dessus». Le porte-parole de La République En Marche a affirmé « la nécessité de mener la réforme de la SNCF jusqu'au bout ». Il s'agit pour lui de « moderniser le service public du ferroviaire ». Il considère même que l'enjeu de la réforme actuelle est de « sauver la SNCF ».  IL n’empêche que ce terme peu apprécié par certains ministres, a fait le buzz

    Mais voilà du côté de la France Insoumise qui ne le porte pas dans son cœur depuis le débat sur l’université, le député LFI Alexis Corbière  l’a accusé, de reprendre  une expression du Front national en tweetant : « Ce terme «gréviculture» a été inventé et utilisé par les Le Pen père et fille. Dis moi tes références, je te dirai qui tu es... !». IL s’est même fait traiter de « petit marquis » par un éditorialiste de The Huffpost. Mais  Gabriel Attal a de la réplique en faisant savoir que l'expression a également été utilisée par un secrétaire général de la CFDT en 2014.  

    Mais, en réalité, on retrouve le terme dans la presse du début du XXe siècle : Selon les spécialistes,  «le mot est bien plus ancien», qui expliquent que « cette expression est apparue déjà dans l'ouvrage «La science sociale suivant la méthode de F. Le Play » rédigé en 1900. Un livre dirigé par Edmond Demolins, un sociologue royaliste et contre-révolutionnaire,qui  évoque «la lassitude qu'ont laissé percer les commis voyageurs en grève, les orateurs, députés ou autres, chargés d'entretenir le zèle des partisans du chômage (…) On a même trouvé un mot pittoresque pour désigner cette profession malheureusement trop répandue de nos jours. On compte désormais l'appeler la gréviculture». Il apparaît également la même année dans le quotidien catholique L'Univers pour qualifier «le métier consistant à parcourir la France pour exciter les ouvriers à se mettre en grève». Le journal radical-socialiste Le Radical y consacre même un article en 1905