Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • LES RENDEZ-VOUS DE LA SEMAINE A VANVES APRES UN WEEK-END OU LA NEIGE A ETE LA VEDETTE AVEC LES SERVICES TECHNIQUES DE LA VILLE ET DE GPSO

    La neige a été finalement la vedette incontestée de ce week-end à voir tous ces familles qui se sont promenés dans les places et les rues de Vanves, à défaut du Parc Frédéric Pic fermé,  avec leurs enfants pour profiter de la neige. Jamais place de la République n’avait été aussi fréquentée, en dehors du Village des Terroirs. Les services techniques de GPSO et de la ville de Vanves ont démontré leur efficacité dés l’épisode neigeux de la nuit de Vendredi à Samedi. Dés vendredi en fin d’après midi, M.Chaumette DGS des Services Techniques était en alerte, faisant pré-saler les rues de Vanves, et  même pendant la soirée du personnel communal au pavillon Dauphine durant laquelle, il a fait fermer la partie de la rue Victor Hugo qui longe le lycée Michelet dénommé par la côte de « l’enfer »... puis la descente de la rue Sadi Carnot Dimanche. Samedi matin, il était avec les cantonniers pour déblayer la neige des trottoirs menant au marché, maniant lui-même la  pelle… Malgré une accalmie jusqu’à la nuit, la neige reprenait de plus belle dans la nuit de Samedi à Dimanche et continuait à tomber dimanche à l’heure de la messe, du marché, et de l’apéro…

     

    Là ce n’était plus 2 à 5 cm mais bien 10 cm de neige, et plus dans certains secteurs,  avec des axes et des rues impraticables par les automobilistes. Les services de GPSO qui étaient mobilisés depuis 2 jours et 2 nuits,  ont commencé par les grands axes pour aller vers les plus petits, pour faciliter surtout la circulation des bus, mais la RATP n’en a fait circuler aucun durant la journée de Dimanche.  Alors qu’il était conseillé à tous les franciliens comme les vanvéens de prendre les transports en commun, de ne pas utiliser leur véhicule. L’accés au métro a été dégagé trois fois durant la journée de Dimanche par les équipes de GPSO et de la ville qui avait sorti « la lame »de dénéigement pour les axes de circulation.  Mais la neige dite « séche » qui tombait, ne facilitait pas leurs interventions, car elle était fine, collante, peu mouillante. Les parcs et squares étaient bien sûr fermés, pour des raisons de sécurité, à cause notamment des arbres et de leurs branches qui pouvaient s’abattre ou casser à cause du poids de la neige.

     

    Au milieu de l’après midi de dimanche, Bernard Gauducheau qui suivait heure par heure la situation, faisait le point avec M. Chaumette qui était toujours sur le terrain avec d’autres responsables des services techniques de GPSO dont Yann Tixier qui ont tenu une réunion  en fin d’après midi pour l’ensemble des 9 villes de la Communauté d’agglomération, afin de faire là aussi le point et surtout préparer  le lendemain puisque la neige devait encore tomber jusqu’à 1H du matin et l’alerte se prolonger jusqu’à 16H lundi. L’objectif était là aussi de dégager les grands axes de circulation en priorité, surtout pour les transports en commun et l’accés au métro bien sûr, les principaux équipements de la ville, les écoles notamment etc. Mais il n’y avait pas que la neige, car la municipalité organisait une astreinte sociale pour s’assurer qu’il n’y ait pas de vanvéens isolés en dificulté ou dehors.   

     

    Mardi 22 Janvier

    A15H à l’Hôtel de Ville : Réception des gardiens d’immeublesde Vanves par le maire avec Voisins solidaires et le groupe la Poste. Bernard Gauducheau a souhaité les mettre à l’honneur et de les remercier notamment pour le lien social qu’ils maintiennent avec les habitants.

    Mercredi 23 janvier

    A 9H30 au Conseil Régional : B.Gauducheau participe à la Commission permanente du Conseil Régional   

    Jeudi 24 Janvier

    A 15h à l’Hotel de Ville : Réunion du Conseil Local de la Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD)

    A 19H30 au lycée Michelet : Dans le cadre des conférences du Jeudi qui se tiennent dans le théâtre (ouvert à tous) : Conférence sur « le couple franco-allemand : mariage de raison, communauté réduite aux acquêt, ou divorce avec consentement mutuel » d’Alain Nojon

    Vendredi 25 Janvier

    A 9H30 au Conseil Général : Guy janvier (PS) participe à la séance plénière consacrée au vote du budget 2013 du département des Hauts de Seine

    A 16h à l’hôtel de ville  : Réunion de la ville  avec GPSO au sujet de la domanialité du quartier du Plateau

    Samedi 26 Janvier 2013

    A 15H à La Palestre : Fêtes des conseils de quartier du Plateau et du Centre Saint Rémy

    A 20H au gymnase A.Roche : Match de basket Aviators Vanves GPSO – Angers Etoile Or ST Léonard

    Dimanche 27 Janvier

    A 11H place de l’Insurrection : Traditionnelle cérémonie liée à la journée de commémoration en mémoire des Victimes de l’holocauste devant la stèle des victimes vanvéennes du nazisme au square de l’insurrection.

    A 12H30 au Pavillon Dauphine : Banquet des Seniors

    A 16H au gymnase Jean Bouin à Issy les Moulineaux : Match de l’équipe de Hand contre Issy les Moulineaux 

  • GROSSES TETES ET BONAPARTISTES CONVAINCUS A VANVES POUR LE TROPHEE DU BICENTENAIRE

    60 sur 64 équipes inscrites, à cause de la neige (pour les bretons),  ont participé ce week-end au XVIéme Trophée du Bicentenaire en hommage bien sûr à Napoléon et aux guerres napoléoniennes. Le théme de cette édition, c’était la Bérézina. Tout à fait d’actualité…en ce week-end d’intempéries neigeuses mais voilà, il ne neigeait lors de cette célébred bataille, le temps étant particulièrement doux, a expliqué Frédéric Bey, ce vanvéen féru de jeux de guerres et de stratégies, organisateur de cette manifestation lors de la visite de Bernard Gauducheau et d’Isabelle Debré.  

     

    Ces jeux de Wargames  sont une façon de célébrer Napoléon. Ces jeux de guerre se pratiquent sur cartes, c’est le cas à Vanves, ou avec des figurines ou sur écran d’ordinateur. Frédéric Bey son organisateur a lancé ce championnat sur la période nopoléonienne qui suit la chronologie du bicentenaire de ses batailles depuis 1996 jusqu’en 2016, de la bataille de Rivoli organisé au Château de Vincennes avec 44 participants jusqu’à Waterloo en 2016 sûremment à Vanves. Il a pour support un jeu de la série « Jours de gloire » portant sur les batailles napoléoniennes lors de leur bicentenaire sauf en 2003 et 2004 ce qui explique le décalage d’un an entre la véritable date de la bataille et le déroulement de ce trophée.  Les trois premières éditions de ce championnat se sont déroulées au Château de Vincennes puis ailleurs et à Vanves à partir de 2001 sur le théme de Marengo (1800) avec 50 participants, avec un record en 2010 : plus de 150 participants. Généralement ce sont à 80% des pratiquant de Wargames réguliérement, avec une majorité d’hommes, de 8 à 68 ans dont 50%s ont franciliens, des provinciaux et quelques étrangers. « Après l’idée de commemorer les victoires de Napoléon à notre façon, celle des jeux d’histoire, est venu le serment, la promesse d’aller jusqu’au bout » explique Frederic Bey qui est le concepteur d’un grand nombre de wargames dans la revue de jeu d’histoire « Vae Victis » et l’auteur d’articles sur l’art militaire durant la période napoléoniennne dans la « revue Napoléon ».    

     

    La curiosité ce XVIéme Trophée était cette étude universitaire d’Emile Kern, enseignant dans un lycée sur « l’impossible commémoration de Napoléon, Napoléon III à Nicolas Sarkozy » vendu sur l’un des stands installé dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville. Il explique et raconte que « ces commémorations se sont déroulées dans des contextes politiques différents sous Napoléon III, avec une certaine indifférence à cette époque. La IIIéme République a alterné entre une attitude prudente et un engagement très fort en 1921. Le jeune PCF né du rejet viscéral de la guerre, maudissait le despote, dont les tueries préfiguraient à ses yeux la boucherie dont sont responsables les généraux et maréchaux de la Grande guerre. 15 ans après, le même PCF avec la SFIO durant le Front Populaire, proclamait abruptement qu’il continuait l’histoire de France et célébrait de concert la mémoire de celui qu’il vouait aux gémonies avant d’invoquer, dans la résistance, le génie du vainqueur d’Iéna ».

     

    Il revient sur 1969 « qui aurait pu êtte l’apothéose de cet événement avec, prévu en Août, le discours  d’hommage prononcé par le « Grand Charles » sur le « Petit Caporal » que l’échec au référendum d’Avril a empêché », exprimant le regret que les Français n’aient pas pu connaître l’opinion et les réflexions du Général de Gaulle sur Napoléon Bonaparte. « Les autres bicentanires ont alterné moment de désintérêt,de  tensions comme celles soulevées par les polémiques de 2005 et regain de publication par les éditeurs » note t-il en relevant « la frilosité de Jacques Chirac qui a refusé de célébrer le bicentenaire d’Austerlitz alors que son premier Ministre Dominique de Villepin est un fin conaisseur de Bonaparte » et qui a autorisé « la présence remarqué de la flotte française aux fêtes de Tralfagar présidé par sa gracieuse majesté, dans le cadre de l’entente cordiale ».   

  • LES 50 ANS DU JUMELAGE DE VANVES ET DU TRAITE FRANCO-ALLEMAND

    Vanves se jumelait avec une ville allemande du landkreiss de Basse Saxe voilà 50 ans,  en 1963, la même année de la signature du  traité franco-allemand  par le Général de Gaulle et le chancelier Konrad Adeauner qui est célébré mardi prochain, 22 Janvier 2013, à Berlin par François Hollande et Angela Merkel. Occasion de rappeler qu’à l’époque il ne s’agissait pas de Lehrte, mais du landkreiss de  Burgdorff (BasseSaxe), district rural comportant plusieurs communes dont Lehrte (avec Sehnde, Mellendorf, Bissendorf, Gailhof, Steinwedel). Ce fut à  la suite de réformes administratives et territoriales entre 1972/74 et  1980 qui ont permis à l’Allemagne de réduire le nombre de ses communes – ce qu’on n’a jamais réussi à faire en France  - et  que Vanves se jumela directement avec Lehrte avec la signature d’une nouvelle charte en 1986.

     

    A l’époque, et dés l’année 1956, le Landreiss-Burgdorff – district rural de Burgdorff – avait pris contact avec la ville Puteaux pour un échange permanent entre leurs jeunes. Malheureusement il n’y en eu qu’un seul. De même,  les efforts déployés en 1959 pour établir des échanges avec la ville de Clamart échouérent. La troisiéme tentative avec Vanves fut la bonne, car deux volontés se sont retrouvés grâce à l’Union Internationale des Maires pour la compréhension franco-allemande qui mit en relation ce landkreiss de Burgdoff et la ville de Vanves, après avoir informé le 30 Juillet 1960 les responsables du landkreiss que René Plazanet maire de Vanves cherchait un partenaire allemand pour faire des échanges.

     

    Mais c’est seulement en Mai 1963 après des échanges de correspondances entre l’ambassade d’Allemagne à Paris et le maire de Vanves, que put avoir lieu la première visite des élus Vanvéens à Burgdorff, que leur rendit en Juin 1963 une délégation allemande composée notamment des burgermeister de Burgdorff (M.Kannacher) et Lehrte (M.Witte).  Une charte d’amitié fut signée lors de la seconde visite des élus vanvéens à Burgdorfff à l’occasion de la session du Conseil du Kreis le 21 Octobre 1963. Cet engagement était signé et ratifié solennellement lors du Conseil municipal de Vanves le 25 Mai 1964 en présence de la délégation allemande. « Il consacrait ainsi une amitié durable entre les deux partenaires » selon Lucette Defaix, alors directrice du CEG-CES Fille Dardenne (LEP Dardenne maintenant)  et surtout européenne convaincue de longue de date qui est quelque peu à l’origine de ce jumelage, et l’a porté sur les fonds baptismaux avec d’autres vanvéens : Mmes Letourny, Baudour, MM Thirard, professeur d’allemand, Suiro principal du collége St Exupery, Magne président du Stade de Vanves

     

    Lucette Defaix n’avait cessé de lutter pour la paix et le rapprochement des peuples, et de travailler en vu de voir se concrétiser ses idées par le jumelage. « Cette recherche d’échange s’inscrivait bien évidemment dans la ligne politique de rapprochement souhaité par des hommes d’Etat conscients de la nécessité de construire l’Europe, tel Schumann, Adenauer. Et en 1963, notrre jumelage a coïncidé avec le traité d’amitiés Franco-Allemand signé par Konrad Adeauner et le Général de Gaulle » constatait elle. Elle  avait  veillé à la bonne marche de ce jumelage pendant ses dix premières années, veillant à le consolider par des rencontres et des échanges de jeunes et d’adultes, suscitant de nombreuses rencontres individuelles d’hôtes français dans le Kreiss de Burgdorff. L’un des échanges qui a le mieux fonctionné durablement a été celui du collége Saint Exupery et de son association St Ex Amitiés abec le Club Franco-Allemand de Lehrte en rappelant tout de même parmi les pionniers les sections handball, football, natation et même tennis