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  • VOILA 70 ANS, LA PREMIERE CLASSE DE NEIGE DE VANVES…ET DE FRANCE SE DEROULAIT A LA FECLAZ

    La première classe de neige qui est finalement à l’origine de toutes les classes dedécouverte de France s’est déroulé à la Féclaz du 31 Janvier au 14 Février 1953. Les 32 écoliers de la classe de M. Discours de l’école gambetta, avaient pris le train, le 31 Janvier au soir pour la Savoie et Chambery où ils étaient arrivés à 6H du matin, pour rejoindre en car  le massif des Bauges, et le chalet de l’Aurore, au pied des pistes de ce village de montagne, et pas encore le chalet actuel du Col du Sire.

    Lorsqu’ils sont arrivés, en début de matnée, ils étaient émerveillés par ce royaume tout blanc qu’ils découvraient  : «L’immensité blanche tenait les enfants immobiles, muets comme fascinés par ce spectacle qui leur semblait irréel à leur yeux » écrivait Max Fourestier, son instigateur dans un livre « L’école heureuse » dont un groupe scolaire porte le nom depuis  1983 sur le Plateau. «Nous avons transplanté la classe à la montagne avec ses écoliers, leur maître, leur professeur de gymnastique, les livres, le tableau noir. Ce n’était pas une colonie de vacances d’hiver, mais un véritable complément au mi-temp pédagogique et sportif coupant, en quelque sorte, en deux parties égales, les trois longs trimestres d’écoles. Elle devait permettre à tous les élèves d’une classe, sans exception, quelle que soit la situation financière de la famille, bénéficier du climat et de l’altitude enneigéees, sans que les études en pâtissent » expliquait il.  « Ce mois de Savoie a été plus efficace que 6 mois d’éducation physique à Paris. Jamais mes éléves n’avaient été aussi détendus, appliqués, attentifs, qu’ici pendant les 3H et demi de classe le matin et l’étude le soir » ajoutait M.Discours  

    Ainsi, ils ont vécu au rythme de la classe le matin, du ski l’après-midi, entrecoupés de temps forts comme les excursions au mont Revard, à Courchevel où ils ont pris pour la première fois, un téléphérique, la visite de l’école des desserts, village auquel est rattaché la Féclaz….Beaucoup ont encore, 70 après, la nostalgie de cette «première» qui eu un retentissement national, comme Gérard Gadras,  commerçant du marché de Vanves à la retraite : « J’ai vécu cette expérience trois années consécutives. Inutiles de vous dire que ce furent les plus bellesa nnées de ma scolarité. Au départ c’était très surprenant de se retrouver tous là ! Mais très vite, il s’est crée une ambiance familiale » témoigne-t-il « Nos camarades nous enviaient beaucoup. A L’époque, nous nous rendions pas bien compte de l’importance de cette première. Mais une chose est sûre : Cette classe de neige, ce mi-temps pédagogique et sportif qui fait penser à ce qui se déroule dans les collèges anglais, nous ont fait aimé l’école car nous avions beaucoup de loisirs et d’activités sportives. Et cela nous motivait pour les études ».

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE MARQUEE ENCORE PAR LES GREVES

    Cette semaine s’ouvre avec une seconde gréve contre la réforme des retraites mardi. La nouveauté est la participation de certaines municipalités qui fermeront leur mairie tout ou partie de la journée. A Vanves, la dernière, fois, elle était restée ouverte, un employée municipale déclarant « qu’à Vanves, on ne fait pas gréve à la mairie ! ». Tout au moins au centre administratif qui était restée ouvert. Mais pas dans les écoles où la plupart des enseignants étaient en gréve.

    Cette semaine passée,  la municipalité, les associations d’ancien combattants, la communauté israélite de Vanves avec quelques vanvéens ont commémoré, vendredi en fin de matinée devant cette stéle du square de  l’Insurrection où sont inscrits le nom de 121 Vanvéens victimes du nazisme, l’anniversaire de la libération du camp de concentration d’Auschwitch et par là même de tous les autres camps tout en entretenant le devoir de mémoire vis à vis de l’inimaginable afin de cela ne se reproduise pas. «Se réunir chaque année doit nous assurer du fait que nous ne laisserons plus jamais une telle ignominie se reproduire» adéclaré le maire de Vanves. La traditionnelle réception des nouveaux habitants avec son «speed dating républicain» s’est déroulé lundi dernier dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville et non à la Palestre comme le blog l’avait annoncé, après deux ans de suspension à cause de la crise sanitaire. Le maire de Vanves s’est bien  sûr réjoui de les accueillir, preuve que «la ville se développer de plus en plus en terme d’attractivité avec de nouvelles familles mais également avec l’arrivée de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express » et des nouveaux immeubles qui, malheureusement densifient Vanves. Enfin, hier, comme dimanche dernier, le repas du nouvel an des seniors s’est bien passé malgré les vicissitudes de l’inscription, avec cette de vanvéens inscrits sur la liste d’attente. Peut être faudra-t-il ajouter un troisiéme dimanche ou d’autres restaurants que Oh…Divin, Les Pieds dans l'Herbe, L'Amandine, La Maison et Le Mercure si cette solution est encore retenue, et qui a l’avantage de mettre en avant les commerçants de Vanves. Ce qui a obligé le maire Bernard Gauducheau, avec Sandrine Bourg adjointe au maire chargé des affaires sociales de faire le tour des restaurants, avec Gabriel Attal ministre des Comptes publics-conseiller municipal, les élus du CCAS étant chargés de l’accueil avec son personnel, et quelques invités surprises qui ne s’étaient pas inscrites et à qui ont été trouvés des places grâce à des désistements de dernière minute.  Le second se tient aujourd’hui. Le 22 Janvier, il a rassemblé 337 participants,

    Jeudi 2 Février  

    A 11H Au prieuré Sainte Bathilde : Cérémonie de la profession de foi de Sœur Marie Laure dabs la congrégation des bénédictines présidée par Mgr Rougié, Evêque du Diocése des Hauts de Seine

    Vendredi 3 Février

    A 18H30 à l’Hôtel Mercure : Remise des insignes de Chevalier  l’ordre Nationale du mérite à Françoise Saimpert, ancien maire adjointe de Vanves, par Gabriel Attal, ministre des comptes publics

  • DES PROPOS CHOQUANTS DE CLAIRE GUICHARD DEPUTE DE VANVES-ISSY PROVOQUE LE BUZ MAL A PROPOS

    Les propos de Claire Guichard, députée Rennaissance de vanves-Issy (10e circ du 92) et suppléante de Gabriel Attal, sur les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) ont fait vivement réagir lors de l'examen de la réforme des retraites. Leur mission est d'aider des enfants en difficulté à suivre leurs cours et à s'intégrer dans une école. Plus de 60 % des AESH travaillent à mi-temps et touchent moins de 800 euros net par mois. Or, ils sont appelés à se mobiliser le 31 janvier lors de la deuxième journée de manifestation contre la réforme des retraites. Outre les revendications salariales et statutaires, certains syndicats réclament aussi une reconnaissance de pénibilité. « Accompagner des élèves en situation de handicap, parfois lourd, nécessite des gestes professionnels usants qui doivent être reconnus », fait notamment valoi le SBNUipp-FSUr

    Claire Guichard a assuré que les accompagnantes d’élèves en situation de handicap ont choisi « ce statut pour avoir leurs mercredis et vacances scolaires ». Alors que certains de ses collègues regrettaient le manque de reconnaissance, la précarité de leur statut et leur manque de formation, Claire Guichard a rétorqué : « Vous oubliez, chers collègues, que la vie est faite de choix. Et elles assument, c'est un choix et elles sont heureuses » a soutenu Claire Guichard, alors que des voix s’élevaient autour d'elle. Plus largement, élus de gauche et citoyens dénoncent un « effrayant mépris », « l'indécence » « de ses propos et une députée « déconnectée de la réalité, comme toute la macronie ».

    Or ce que ne savent pas ou semblent ignorer les opposants, c'est qu'elle s'est occupé de petite enfant pendant son mandat de maire adjoint à Issy les Moulineaux, et qu'elle a côtoyée de prés les AESH qu'elle connait bien.