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  • LA LICRA VANVES IMPACTEE PAR LA CRISE SANITAIRE N’EN A PAS ETE MOINS TRES PRESENTE

    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvées le 18 Octobre dernier, à Panopée pour l’assemblée générale de la LICRA qui n’avait pas pu se tenir en 2020 à cause du Covid-19 et du confinement, en présence de Bernard Gauducheau, maire de Vanves, Gabriel Attal, Porte Parole du gouvernement,  Florence  Provendier, député, Sandrine Bourg conseillère Départementale des Hauts de Seine.

     «La crise sanitaire qui sévit depuis près de deux ans a lourdement impacté l’activité de notre Association. L’année 2020 restera dans l’Histoire car pour la première fois, le monde entier et sans aucune distinction a dû faire face à un ennemi insaisissable et particulièrement pernicieux puisque totalement invisible» a déclaré d’emblée Monique becassis, sa présidente en dressant la liste de plusieurs projets importants annulés en 2020 :  Le 75 ème anniversaire de la découverte du camp d’Auschwitz, une soirée de témoignages de survivants accompagnés de Philippe Maillard, petit fils d’Yvonne Maillard « Juste parmi les Nations» qui sauva avec l’aide du curé du village trois jeunes enfants pourchassés par les nazis, une conférence sur le drame subit par les Chrétien d’Orient, une intervention d’un spécialiste de la question Arménienne chargé de nous faire mieux comprendre l’histoire de l’Arménie et les enjeux du conflit dans le Haut Karabak opposant l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

    Elle n’en a pas moins rappelé les événements qui ont marqué 2020/21 avec le drame de Samuel Paty professeur d’histoire dans un collège de Conflans St Honorine, le 16 OCobre,  la loi dite contre le séparatisme, après bien des réserves a été adoptée par le Conseil Constitutionnel le 23 juillet, la signature le 21 Janvier d’une charte censée affirmer sans ambiguité la supériorité des principes de la République sur les principes religieux,  par 5 fédérations du Conseil français du culte musulman ,3 s’étant abstenues.  «Le texte de cette charte exprime le rejet de l’islam politique et le refus de toute ingérence étrangère. Elle affirme les mêmes valeurs que nous défendons à la LICRA : Supériorité des lois de la République, laïcité, égalité hommes femmes, universalisme. Conséquence : le CCIF conseil contre l’islamophobie connu pour l’instrumentalisation politique de l’islam a été dissous. Après la signature de cette Charte, La LICRA et  la grande Mosquée de Paris se sont rapprochées aux fins de mutualiser leurs efforts pour rendre plus efficaces leurs actions contre le racisme, contre l’antisémitisme, contre toutes formes de discriminations  et de haine de l’Autre » a-t-elle indiquée en précisant : « Quant à l’aide aux victimes du racisme musulman, les sections ont toujours apporté leur aide, notre philosophie étant qu’une victime du racisme n’a ni religion ni nationalité, ni couleur de peau, c’est une victime, point ! ».

    Elle a indiquée que La LICRA a demandé à madame Hidalgo, maire de Paris de donner le nom de Sarah Halimi à la rue où elle a été assassinée, des plaintes ont étéc déposées, avec mises en exament, suite aux différentes manifestations contre le Pass Sanitaire  où un antisémistsme décomplexé est apparu: Etoiles jaunes, croix gammées, pancartes et affiches antisémites, tout cela appuyé par la parole débridée des réseaux sociaux. «La lutte contre le racisme et l’antisémitisme semble une question sans fin.  Je ne sais pas si nous gagnerons un jour, mais notre devoir est de nous battre. Espérons que les partisans de la fraternité soient plus nombreux que ceux de la haine» a-t-elle commentée en se réjouissant de l’entrée au Panthéon de Joséphine Baker. «La patrie reconnaissante ouvre les portes d’un hommage national bien mérité à cette grande dame qui fut l’ambassadrice de la LICRA. Cette ancienne résistante mènera un combat sans faille pour un monde affranchi de la haine et de l’intolérance»

    Bien évidemment, elle est revenue sur l’action propre à la section vanvéenne, pourv 2019 qui a, depuis toujours privilégié l’éducation des jeunes en milieu scolaire, une éducation qui doit contribuer à la formation de futurs citoyens conscients des dangers du racisme, de l’antisémitisme, de la haine de l’Autre. Au fil des années, nous avons abordé de multiples thèmes de réflexion autour de la Prévention» a-t-elle poursuivie en dressant la liste es manifestations locales de la LICRA.

  • VANVES ET LE COVID-19 : «L'heure de lever toutes les contraintes n'est pas venue» selon Gabriel Attal.

    «Nous sortons de cette crise la tête haute, grâce aux choix que nous avons faits et à la robustesse de notre système social. La décrue de l'épidémie se poursuit de manière nette et continue» s’est réjouit le porte-parole du gouvernement, à l'issue du conseil de défense la semaine dernière. «Cependant, «l'heure de lever toutes les mesures, toutes les contraintes, n'est pas venue», explique le conseiller municipal de Vanves Gabriel Attal.

    L'adaptation du passe sanitaire «ne sera pas envisagée avant le 15 novembre». Car l'épidémie ne recule pas «dans une trentaine de départements. Cette décision sera d'ordre national et par secteur», a-t-il déclaré, sachant que le Conseil scientifique appelle à la prudence et préconise la sortie différée du pass-sanitaire entre le 15 novembre et la fin d’année 2021. Il indique « qu’il pourrait être global, ou limité à certains lieux, dans lesquels les risques de contamination semblent faibles depuis quelques semaines (comme par exemple les restaurants en extérieur, les lieux culturels à l’exception des concerts, les centres commerciaux, trains…) tout en l’accompagnant d’un maintien du pass-sanitaire pour l’accès à quelques lieux jugés plus à risque (comme par exemple les bars, les concerts, les discothèques, les restaurants en intérieur ou les salles de sport)».

    En attendant, un protocole allégé a été mis en place dans les départements (47 au total) où le taux d'incidence est le plus bas, permettant aux enfants des écoles primaires de ne plus porter le masque en intérieur. Il est étendu ce lundi à 21 départements, mais aucun encore en Ile de France

  • COVID-19 : VANVES BENEFICIE D’UNE ECLAIRICIE SANITAIRE COMME EN ILE DE FRANCE

    «Il faut se donner les moyens, pendant encore plusieurs mois, d'avoir la possibilité de recourir à des mesures, si c'est nécessaire, pour protéger les Français» expliquait encore Gabriel Attal, porte parole du gouvernement à propos du passe-sanitaire qui sera maintenu jusqu’en décembre avec  l’état d’urgence sanitaire, même si le gouvernement réfléchit à une application locale (au niveau départemental).  «L’éclaircie sanitaire s’observe à peu prés partout dans l’hexagone. Mais ce n’est pas parce que la marée est basse qu’elle ne peut pas remonter» ajoutait il à un moment où désormais seul un département, les Bouches-de-Rhône affiche un taux d’incidence supérieur à 100 pour 100 000 habitants, les autres étant au-dessus de la barre de 50 cas pour 100 000 habitants sauf dans 47 départements. Mais voilà les 8 départements franciliens dont les hauts de Seine n’en font pas partie.   

    Ainsi l’obligation du port du masque à l’école primaire est  obligatoire uniquement pour les enfants, celui-ci étant toujours porté par les adultes, et notamment à Vanves  Mais cela ne pourrait être qu’une question de jours pour certains d’entre eux : En Seine-et-Marne, le taux d’incidence est désormais de 56 cas pour 100.000 habitants… et la décrue se poursuit. Au rythme actuel, ce département pourrait franchir le cap des 50 d’ici la fin de la semaine prochaine. Autres départements concernés, les Hauts-de-Seine, avec un taux d’incidence de 63, ou l’Essonne (67 cas pour 100.000). En Seine-Saint-Denis, en revanche, département dans lequel la vaccination peine à progresser, le taux d’incidence est de 91,8. A Paris, le taux d'incidence est de 75.

    C’est pourquoi, dans les Hauts de Seine, l’accent est mis sur les vaccinations, encore et toujours avec les 28 Centres qui restent ouvert – le plus fort maillage en France selon le préfet des Hauts de Seine – dont celui d’Issy les Moulineaux dont dépend Vanves où 20 000 vanvéens-Isséens auront été vaccins d’ici la fin de l’année. «On conserve ce maillage pour la 3e dose » indique le préfet même si les horaires sont adaptés, et qui donnait quelques chiffres sur la vaccination des 12-17 ans qui doivent aussi avoir leur pass-sanitaire pour accéder aux cinémas, aux bibliothèques, dans les centres sportifs, à la piscine ou au restaurant. Le département compte 114 545 ados, dont seulement 57,8% disposent d’un schéma vaccinal complet et 66,4% a avoir reçu une première dose.