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  • DES PETITS DESAGREMENTS METTENT EN BOULE LES BOULISTES DE VANVES

    A Vanves, il ne faut pas être pressé lorsque vous avez quelques petits soucis matériels. Et surtout si vous êtes responsable d’une association ou d'une section sportive du Stade de Vanves, installée dans le pavillon des sports. Voilà quelques mois pendant la quinzaine du tournoi de Roland Garros, la section tennis reçoit Adidas sur ses courts couverts pour une opération promotionnelle avec quelques champions. Ses techniciens ont dû intervenir dans le local technique pour brancher quelques appareils, provoquant quelques désagréments après leur départ, puisque la liaison avec le réseau câble de Numéricâble  a été coupée, pour au moins l’un des deux téléviseurs du pavillon des sports, celui du local Boules Lyonnaises. Le câble de liaison a dû tout simplement être enlevé et pas rebranché ou mal connecté. Il suffirait de bien le rebrancher pour que la section Boules Lyonnaises évite de payer un abonnement à Numéricâble pour rien. Ce qui demanderait bien 1 à 2 mn. Mais voilà c'est impossible depuis 4 mois déjà

    Malgré plusieurs demandes, la visite d’un technicien des services techniques qui s’est déclaré incompétent n’ayant pas d’habilitation électrique, pour remettre de l’ordre dans ce local où des câbles traînent par terre en désordre, parait il. Il suffirait de faire intervenir un professionnel antenniste, mais cela paraît compliqué, et puis cela va coûter. Et les boulistes attendent toujours d’être re-câblé. Mais ce n’est pas bien grâve, car ils sont habitués :  il a fallu un an pour remplacer l’éclairage qui n’éclaire pas et qui coûte cher car ce pavillon a été très mal conçu lors de sa construction dans les années 1990 lors de la première rénovation et restructuration du PMS. Idem pour les joints des portes du local qui n’ont pas toujours été remplacé depuis un an, et qui permettent de faire des économies chauffage en hiver.  

    Ses petits désagréments sont tout à fait symptomatique d’une époque où beaucoup parle de proximité mais ne l’applique pas dans les faits. Depuis l’interco qui est compétente pour les espaces verts par exemple,  et le transfert aux services techniques de la partie travaux et entretien des bâtiments, personne, parmi ceux qui profitent de ce bel équipement sportif, ne sait plus très bien qui intervient sur quoi entre interco, service techniques, service des sports pour nettoyer, entretenir ses bâtiments, ses espaces verts, élager… et même pour mettre du papier toilettes dans les sanitaires, alors que tout était plus simple lorsque ce n’était que le service des sports qui s’occupait de tout. Il n’y a eu qu’une seule fois où les boulistes comme les tennismens ont vu tout ce beau monde rappliquer pour rasfitoler, réparer, remettre aux normes : la veille d’une visite de la commission sécurité. Après plus rien ! De quoi avoir les boules !

  • LA FIBRE OPTIQUE ET THD 92 : LE CONSEILLER GENERAL DE VANVES DEMANDE DES ECLAIRCISSEMENTS SUR LES RETARDS

    Le groupe socialiste du Conseil Général des Hauts de Seine, à l’initiative de Guy Janvier, Conseiller Général PS de Vanves, a permis, grâce à une question orale posée lors de la dernière séance plénière, de savoir où en était le développement de la fibre optique dans le département,  notamment à la suite de  la récente « procédure de règlement de différends » à l'encontre de Sequalum, chargé de sa mise en place.

    « Il s’avère que, depuis plusieurs années, cette entreprise ne respecte pas pleinement ses obligations contractuelles impliquant des difficultés dans ce déploiement. Déjà, il y a un an, le consortium accusait un retard de 8 000 prises sur les objectifs annuels. En décembre dernier seules 230 000 des 830 000 prises pouvaient être raccordées par l’un des opérateurs, tant le retard pris par Sequalum SAS était important. Vous venez d’annoncer avoir récemment engagé une « procédure de règlement de différends » à l’encontre de Sequalum et avez d’ailleurs communiqué à ce sujet. Toutefois aujourd’hui vous prétextez un accord de confidentialité pour éviter de nous donner de plus amples informations »  constatait Guy Janvier (PS). Thierry Solére, Vice Président chargé de ce dossier, a réfuté cette idée que « le département a toujours refusé d’appliquer les pénalités liées au non respect des conditions contractuelles dans les délais ». Il a indiqué que  « la mise en demeure du 24 Mai 2013 portait sur un retard de 8 292 prises raccordées, dont 131 prises associées à des sites publics. A la date d’expiration du délai de 3 mois de cette mise en demeure, à savoir le 28 août 2013, le retard des prises raccordées a été rattrapé par le Délégataire, à l’exception du raccordement de 81 sites publics. Par conséquent, le Département a émis un titre de pénalités pour un montant de 81 fois 200 €, soit 16 200 €. C’est la raison pour laquelle les travaux de la Phase 1 n’ont pas été réceptionnés à ce jour et que les 2 M€ de réserve n’ont pas été encore versés au Délégataire. L’application d’éventuelles  nouvelles pénalités est conditionnée à l’issue du règlement de différends ». Il est ensuite revenu sur la procédure à l’encontre de Sequalum : « Sa justification est le retard de déploiement constaté par le Département par rapport aux objectifs fixés dans la Convention à la fin de l’année 4 (20 octobre 2013). L’engagement de cette procédure, comme l’application des pénalités, témoigne bien de la volonté du CG de faire respecter par le délégataire ses engagements contractuels ». 

    Guy Janvier (PS) lui a demandé s’il y aurait « un conflit d’intérêt entre Sequalum, prestataire pour notre collectivité, et Numericable qui annonçait récemment vouloir concentrer ses investissements en très haut débit sur le câble ? » - « le financement de THD Seine par Sequalum est fixé contractuellement dans la Convention et est indépendant des investissements de Numericable dans son propre réseau câblé. Cependant, ses annonces ont naturellement déjà conduit le Département à solliciter un renouvellement de ces garanties sur ce point » lui a répondu Thierry Solére.  Enfin, le conseiller général de Vanves a souhaité connaître  « les conséquences pour notre collectivité des dysfonctionnements dans la mise en œuvre de ce projet qui a  coûté 59 M€ d’argent public, soit 14% du budget total de l’opération (420M€) ?» Thierry Solére  a indiqué que « le Département a versé à ce jour 27 M€ de subvention (23 M€ au titre de la Phase 1 et 4 M€ au titre de la phase 2), ce qui représente 6,4 % des 420 M€ d’investissement total pour le projet. Le Département entend bien faire valoir ses droits quels que soient les dysfonctionnements constatés dans la mise en œuvre du projet. Le contrat de DSP prévoit un ensemble de mesures qui protègent les intérêts du Département dans le cas où le Délégataire ne remplirait pas ses obligations. Par ailleurs, le rattrapage des retards de déploiement et par conséquent le délai de couverture totale du département font partie des discussions entre le Département et le Délégataire dans le cadre du règlement de différends ». Enfin, il a précisé que « la première mesure a été l’ouverture de la procédure de règlement de différends. Si cette procédure se révélait infructueuse, je n’exclus la mise en œuvre d’aucune des mesures coercitives prévues par la Convention ».

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES TRES TRES POLITIQUE

    Le Blog Vanves Au Quotidien revient sur le Conseil Municipal de Mercredi dernier qui a pris plusieurs décisions en dehors du PLU et du Compte Administratif, dont certaines affichent très nettement leurs préférences politiques.

     

    GARENTIE D’EMPRUNTS :  3 garanties d’emprunts ont été octroyé à la ville tout d’abord la SA HLM Logyris (de 956 566 €) qu porte là sur un prêt PLAI construction et un autre prêt PLAI « foncier ». Ensuite à la SA HLM Logement Francilien (487 282 €) qui entreprend des travaux de kit plomberie pour les logements situés allée du Platane. Ensuite à la SA HLM ICF La Sablière qui entreprend la réhabilitation de 63 logemebnts collectifs rue Ernest Laval.

     

    DESAFFECTION : Il s’agit d’un local de 84 m2 en sous sol à côté de l’accés parking de la tour de Vanves où se trouvent au rez de chaussée le centre administratif. Cette désaffection permettrait à la société SFR d’installer un nœud de raccordement optique appelé à desservir la commune en offres numériques à très haut débit. Après bien sûr mise en concurrence des candidats, puisque Free était aussi sur le coup pour les mêmes raisons que SFR. Sachant que Numéricâble dispose déjà un tel local dans l’îlot Cabourg pour son offre qui a fait l’objet d’une convention de mise à disposition. Après estimation des domaines du local à 42 000 € et compte tenu des propositions des deux sociétés à 120 000 € pour Free ert à 150 000 € pour SFR, c’est cette dernière qui a été retenue.  

     

    ACQUISITION : Chaque année, le Conseil Municipal fait le bilan des acquisitions et des cessions immobilières de l’année passée. Il a constaté qu’aucune cession n’avait été éffectuée en 2010, contre deux acquisitions, dont l’une suite à une préemption sur un local situé en rez de chaussée de l’immeuble des 55-71 rue Jean Jaurés. Ce bien a permis l’ouverture de la salle de quartier dénommée « espace de la Tuilerie ». L’autre concernait un bout de terrain rue Auguste Comte servant de voie de pompier.

     

    TRAVAUX : Le Conseil municipal a fait  deux demandes de subventions auprés du Conseil Général des Hauts de Seine et du SIPPEREC pour des travaux de rénovatioon TCE à l’école élémentaire Marceau qui pourraient se réaliser durant l’été 2012. Il s’agit de la remise en conformité électrique, le remplacement des appareillages par des appareils à basse consommation, le  désamiantage des sols sur toute la surface des étages, le traitement des peintures plomb, la rénovation tout corps d’état et la pose d’une ventilation aux étages et dans les toilettes du ree-de-chaissée. « Ces travauix de rénovation contribueront vivement à l’amélioration du confort des usagers et des performances énergétiques du bâtiment ».

     

    ASSAINISSEMENT : La ville a adopté son règlement d’assainissement communal que le groupe socialiste a considérée comme « plus complet que celui du Conseil Général des Hauts de Seine et même de certaines communes ». Même s’il s’agit d’une compétence exercée par GPSO pour le compte des 7 communes dont Vanves, son maire n’est pas du tout déssaisi pour cela du pouvoir de police qu’il exerce dans ce domaine

     

    SURETE : Un nouveau marché a été ouvert concernant les trabaux d’installations et d’extension des équipements de sûreté et de sécurité des bâtiments communaux (détection intrusion, contrôle d’accés, vidéophonie, interphonie, alarmes techniques, désenfumabge naturel et mécanique,  équipements de RIA, de colones séches et humides, d’extinbcteurs et signalétiques spécifiques incendies, ptrotection contre la foudre)…Il a été remporté par la société ACCLI

     

    SALLES : Le Conseil municipal a examiné les condition de mise à disposition des équipements municipaux aux particuliers et aux associations qui a bien sûr, fait débat. « La  ville a beaucoup de salles et elles sont rarement refusées » a expliqué la majorité municipale, en rappelant que tout cela a un coût, bien sûr, que « payer même un euro symbolique, responsabilise », et que les tarifs pratiqués ne sont pas très cher. Ce qui a laissé dubitatif l’opposition, d’autant plus que jusqu’à présent, selon nos informations, la ville de Vanves n’a pas du tout l’intention de faciliter en quoi que ce soit les primaires socialistes, même si les partis politiques ont droit à ces différentes salles pour tenir leur réunion publique. Tout simplement parce que  maire de Vanves afficherait un soutien total à Nicolas Sarkozy, en refusant tout local, toute urne, et sûremment toute liste électorale. Alors que le  Nouveau Centre s'affiché plutôt  du côté de Borloo, avec même André Santini,