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Nouvelles Technologis de l'Informations (NTCIS)

  • VANVES VA EXPERIMENTER L’ARRET DU RESEAU CUIVRE

    A l’occasion de la réunion publique du Plateau (sur la photo), Mardi dernier, la mairie a présenté officiellement, l’expérimentation de la suppression du réseau de télécommunication cuivre qui sera menée sur la commune, avec Orange, ex-FranceTélécom qui en est le propriétaire. Elle avait eu l’occasion d’apporter quelques éclaircissements aux écologistes à la suite d’une question orale  lors du conseil municipal du 28 Mars 2023 qui constataient que  ce projet n’avait  pas évoqué ni publiquement, ni en conseil municipal. Mais ce soir là, les représentants d’orange avec le directeur régional Ouest Ile de France et une responsable technique, ont présenté ce projet et répondu aux questions des vanvéens, tout simplement parce que cet opérater (ex-fFrance Télécom) est en charge réseau cuivre

    Ils ont expliqué que tout d’abord que cette suppression totale est prévue pour 2030 parce que le réseau fibre compte de plus en plus d’utilisateurs – La France est le pays d’Europe le plus fibré – et que  le maintien de deux réseaux au-delà de 2030 n’est en effet plus envisagé pour des raisons opérationnelles, financières et environnementales. Ensuite que  Vanves a été choisi comme 162 autres communes en France  pour mener cette expérimentation  parce que 98% de ses immeubles  sont fibrés. Il resterait moins de 1000 immeubles ou pavillons à fibrer. Enfin,  ils ont indiqué que,  dès mars 2024, les opérateurs cesseront de commercialiser des lignes ADSL sur la commune avant son arrêt technique définitif en mars 2025. Ainsi cette expérimentation devrait de permettre aux vanvéens d’anticiper au mieux cette échéance et  à Orange, de leur proposer un accompagnement plus spécifique et plus attentif. « J’ai accepté parce que c’est une démarche expérimentale et que nous bénéficierons d’une assistance personnalisée » a expliqué Bernard Gauducheau.

    Lors des échanges, un participant a suggéré d’ouvrir un lieu pour informer, sensibiliser, et former les habitants.  La Société Orange a prévu plusieurs opérations de communication et de formations. Sandrine Bourg, adjointe au Maire est intervenu pour indique qu’à l’ESCAL, un conseiller informatique accompagne les vanvéens pour mieux appréhender et utiliser ses nouvelles technologies de l’informations. Les responsables d’Orange ont expliqué que le passage du cuivre à la fibre ne signifie en aucun cas l’arrêt de la téléphonie fixe et qu’en plus, elles peuvent conserver le même numéro. La différence, c’est le support. La fibre est plus moderne,  plus performante, plus résistante. Les répartiteurs fibre prennent beaucoup moins de place que les répartiteurs. En outre, le réseau cuivre est source de fragilités. Les premières lignes datent d'il y a 50 ans. Certaines subissent les aléas du temps, l'humidité... ce qui n’est pas le cas de la fibre, une inondation, par exemple, ne provoquant pas de coupures ou d’interruption

  • 5 G A VANVES : LA MUNICIPALITE REFUSE LE MORATOIRE DEMANDE PAR LES ECOLOGISTES

    Le vœu présenté par le groupe EELV pour demander un moratoire sur le développement de la 5G, comme l’ont fait beaucoup de leurs collègues dans d’autres assemblées municipales, comme cette semaine ils le feront au Conseil de Paris, a été rejeté par la majorité municipale lors du conseil municipal de Jeudi dernier

    «Il s’agit de montrer notre opposition au développement de la 5 G qui est imposé» a expliqué Pierre Toulouse (EELV) qui a demandé de « prendre en compte les préoccupations de la population. On n’est pas seul car de nombreuses municipalités ont votés de tel vœu comme Colombes dans les Hauts de Seuine. Les écologistes demande que la Commission nationale du Grand Débat public soit saisi !» a-t-il expliqué. «On comprend vos interrogations. On peut remarquer que le débat sur la 4 G s’est déplacé. L’Etat est seul compétent sur ce sujet. On peut regretter que les collectivités locales ne soient pas associées à la décision. C’est plutôt dans le sens d’une plus grande concertation que l’on devrait débattre. Mais les communes ne sont pas le bon échelon. En tout état de cause, il n’est pax question de retarder son déploiement. On s’engage à vérifier toute information sur l’installation d’une antenne » a indiqué l’adjoint au maire chargé des services publics.

    «De toute façon, ce n’est pas ici que tout se décide. Une étude sur la sureté conclut que c’est inoffensif. Julien Bayou, secrétaire national des Verts a dit qu’il n’y a pas de sujet sur cette question » a fait remarquer Gabriel Attal (LREM) qui a ajouté  que « les débits seront saturé dans 2 ans. Le choix est simple : Plus de réseaux sociaux ou alors de nouvelles fréquences 4 G et 5G qui consomment moins d’électricité. Tous les pays qui nous entourent l’ont développé. Attention à ce que cela ne devienne pas un handicap ». En tout les cas, sur cette question,  il ressort sue les français quels qu’ils soient, demande des informations et ont un besoin de transparence sur le déploiement de la 5G, son impact sur l'environnement, ses bénéfices… Il n'y a pas une défiance des citoyens vis-à-vis de la technologie mais un besoin de clarté, que les opérateurs prennent des engagements pour prouver la compatibilité avec les objectifs environnementaux» considére un spécialiste vanvéen de la question 

  • LES E-SERVICES DE LA VILLE DE VANVES : UNE FORTE DEMANDE DE LA PART DES VANVEENS

    A l’occasion du  Conseil Municipal du 22 Mars dernier, le groupe socialiste a demandé au maire de  faire un bilan de la part d'utilisation de ces e-services proposées par la ville, si la ville avait  prévu en 2017 de permettre des démarches en ligne pour de nouveaux services (e-billet pour cinéma et théâtre), et si elle anticipait  les impacts sur l'organisation du travail des services municipaux et la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences à court, moyen et plus long terme.

    Du 1er au 31 janvier 2017, il a été relevé 20 575 utilisateurs uniques, soit une moyenne de 700 personnes fréquentant le site Internet de la ville  chaque jour. « A titre de comparaison, les chiffres les plus élevés en 2016 ont été constatés sur le mois de septembre avec 26 917 utilisateurs uniques, soit une moyenne journalière de 900 personnes » a indiquée Catherine Scibilia. 66 000 pages ont été vues du 1er au 31 janvier 2017, soit 2,25 pages visitées pas utilisateur avec une durée moyenne par session de 1,40 minutes. « En septembre 2016, mois le plus fréquenté de l’année, 40 900 connexions ont été dénombrées pour 96 173 pages visitées, soit 2,35 pages visitées par utilisateur ».

    Elle a ensuite indiquée concernant les téléprocédures liées à la citoyenneté du 1er janvier au 31 décembre 2016 : Sur 2 777 actes, les formalités en ligne ont représentés 350 cas, soit un total de 12,60% pour l’Etat Civil. Sur 2 191 inscriptions, 1 066 ont été réalisées en ligne, soit 48,65% pour ls inscriptions sur les listes électorales. Sur 330 procédures, 82 ont été faites en ligne, soit 24,8% pour le recensement militaire. Pour les téléprocédures liées à l’enfance : 45 % des parents passent par l’espace citoyen pour indiquer la présence de leur enfant à l’accueil de loisirs pour les vacances scolaires.  « L’utilisation de l’espace citoyen pour la réservation du mercredi après-midi ne peut être évaluée précisément car beaucoup de parents réservent à l’année dès le début d’année.  35% des familles paient leur facture « crèches et accueils péri scolaire » en ligne et 20% en prélèvement automatique ».

    S’agissant du nombre d’interventions ou de signalements sur l’espace public : Elle a indiqué que « sur 1 740 demandes reçues en 2016 par GPSO, 38 (soit environ 2%) ont été faites via l’application SO NET qui ne fonctionne que depuis le mois de septembre 2016.. L’utilisation de PAY BY PHONE pour payer le stationnement,  a représenté 30%, soit un montant de 174 500 € »

    Concernant la poursuite du déploiement des démarches en ligne et d’impact sur l’organisation des services, « nous travaillons effectivement à une extension des procédures pour les services culturels mais il n’est pas prévu de concrétiser ce travail en 2017. Les perspectives sont envisagées plutôt pour la saison 2018 -2019.Concernant l’impact des téléprocédures sur l’activité des services, nous avons anticipé à chaque étape les besoins en formation des agents concernés ainsi que l’adaptation des postes de travail. Le recours aux téléprocédures n’a pas eu d’impact majeur sur l’organisation générale des services, il correspond à une demande importante de la part des usagers et la conséquence la plus forte a été un fort accroissement de l’activité de services supports telle que la direction informatique. Cette situation qui s’ajoute à une forte augmentation du nombre de postes déployés sur la commune (environ 450), au développement des liaisons et des communications internes, à la mise en place de nouveaux dispositifs tels que les TNI dans les écoles justifie notamment l’inscription de 50 000 € au budget 2017 du service informatique » a-t-elle conclue.