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  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES TRES TRES POLITIQUE

    Le Blog Vanves Au Quotidien revient sur le Conseil Municipal de Mercredi dernier qui a pris plusieurs décisions en dehors du PLU et du Compte Administratif, dont certaines affichent très nettement leurs préférences politiques.

     

    GARENTIE D’EMPRUNTS :  3 garanties d’emprunts ont été octroyé à la ville tout d’abord la SA HLM Logyris (de 956 566 €) qu porte là sur un prêt PLAI construction et un autre prêt PLAI « foncier ». Ensuite à la SA HLM Logement Francilien (487 282 €) qui entreprend des travaux de kit plomberie pour les logements situés allée du Platane. Ensuite à la SA HLM ICF La Sablière qui entreprend la réhabilitation de 63 logemebnts collectifs rue Ernest Laval.

     

    DESAFFECTION : Il s’agit d’un local de 84 m2 en sous sol à côté de l’accés parking de la tour de Vanves où se trouvent au rez de chaussée le centre administratif. Cette désaffection permettrait à la société SFR d’installer un nœud de raccordement optique appelé à desservir la commune en offres numériques à très haut débit. Après bien sûr mise en concurrence des candidats, puisque Free était aussi sur le coup pour les mêmes raisons que SFR. Sachant que Numéricâble dispose déjà un tel local dans l’îlot Cabourg pour son offre qui a fait l’objet d’une convention de mise à disposition. Après estimation des domaines du local à 42 000 € et compte tenu des propositions des deux sociétés à 120 000 € pour Free ert à 150 000 € pour SFR, c’est cette dernière qui a été retenue.  

     

    ACQUISITION : Chaque année, le Conseil Municipal fait le bilan des acquisitions et des cessions immobilières de l’année passée. Il a constaté qu’aucune cession n’avait été éffectuée en 2010, contre deux acquisitions, dont l’une suite à une préemption sur un local situé en rez de chaussée de l’immeuble des 55-71 rue Jean Jaurés. Ce bien a permis l’ouverture de la salle de quartier dénommée « espace de la Tuilerie ». L’autre concernait un bout de terrain rue Auguste Comte servant de voie de pompier.

     

    TRAVAUX : Le Conseil municipal a fait  deux demandes de subventions auprés du Conseil Général des Hauts de Seine et du SIPPEREC pour des travaux de rénovatioon TCE à l’école élémentaire Marceau qui pourraient se réaliser durant l’été 2012. Il s’agit de la remise en conformité électrique, le remplacement des appareillages par des appareils à basse consommation, le  désamiantage des sols sur toute la surface des étages, le traitement des peintures plomb, la rénovation tout corps d’état et la pose d’une ventilation aux étages et dans les toilettes du ree-de-chaissée. « Ces travauix de rénovation contribueront vivement à l’amélioration du confort des usagers et des performances énergétiques du bâtiment ».

     

    ASSAINISSEMENT : La ville a adopté son règlement d’assainissement communal que le groupe socialiste a considérée comme « plus complet que celui du Conseil Général des Hauts de Seine et même de certaines communes ». Même s’il s’agit d’une compétence exercée par GPSO pour le compte des 7 communes dont Vanves, son maire n’est pas du tout déssaisi pour cela du pouvoir de police qu’il exerce dans ce domaine

     

    SURETE : Un nouveau marché a été ouvert concernant les trabaux d’installations et d’extension des équipements de sûreté et de sécurité des bâtiments communaux (détection intrusion, contrôle d’accés, vidéophonie, interphonie, alarmes techniques, désenfumabge naturel et mécanique,  équipements de RIA, de colones séches et humides, d’extinbcteurs et signalétiques spécifiques incendies, ptrotection contre la foudre)…Il a été remporté par la société ACCLI

     

    SALLES : Le Conseil municipal a examiné les condition de mise à disposition des équipements municipaux aux particuliers et aux associations qui a bien sûr, fait débat. « La  ville a beaucoup de salles et elles sont rarement refusées » a expliqué la majorité municipale, en rappelant que tout cela a un coût, bien sûr, que « payer même un euro symbolique, responsabilise », et que les tarifs pratiqués ne sont pas très cher. Ce qui a laissé dubitatif l’opposition, d’autant plus que jusqu’à présent, selon nos informations, la ville de Vanves n’a pas du tout l’intention de faciliter en quoi que ce soit les primaires socialistes, même si les partis politiques ont droit à ces différentes salles pour tenir leur réunion publique. Tout simplement parce que  maire de Vanves afficherait un soutien total à Nicolas Sarkozy, en refusant tout local, toute urne, et sûremment toute liste électorale. Alors que le  Nouveau Centre s'affiché plutôt  du côté de Borloo, avec même André Santini,

  • THD SEINE PREVU A VANVES A DU PLOMB DANS L’AILE

     « Le rapporteur public du tribunal administratif de Versailles a requis vendredi dernier l'annulation de la délégation de service public accordée pour le déploiement d'un réseau de fibre optique dans les Hauts-de-Seine. Cette délégation avait été accordée en décembre 2007 par le conseil général UMP des Hauts-de-Seine à Sequalum, un consortium regroupant Numericable, LD collectivités (SFR) et Eiffage ». Il faut rappeler que cinq recours avaient été déposés contre ce projet devant le tribunal administratif, dont un par l'opérateur Colt,  un autre par le FAI Free, et un troisiéme par les conseillers généraux Janvier-Leclerc-Gazeilles, un quatriéme par France Telecom, et un cinquième par Sipperec qui l’a retiré…. «Le rapporteur public a demandé l'annulation de cette délégation pour plusieurs motifs : défaut d’informations des élus, absence de saisine du CIP avant la délibération statuant sur le principe de la délégation de service public, irrégularité de la clause de résiliation, celui-ci  jugeant « excessive la somme fixée en ce cas (70 ME) et versée au consortium si en cours de marché, le conseil général décidait, pour des motifs d'intérêt général, de ne plus déléguer ce service ».  Enfin défaut de cohérence avec les réseaux Opalys et Sequantic »

    La décision a été mise en délibéré par le tribunal à une date non annoncée. Il faut rappeler  que la Commission européenne, saisie par Colt, avait donné son accord au projet, estimant que le financement public « ne constituait pas une aide » contraire aux règles européennes de la concurrence. Colt, qui avait déployé un réseau en fibre dans les Hauts-de-Seine avant la décision du conseil général, pour un montant d'environ 100 M€, estime qu'un tel projet « met en danger la rentabilité de l'investissement privé » et est « désastreux en terme d'incitation » à investir. De leur côté, les 3 conseillers généraux PS, PC et Verts contestaient la subvention publique de 59 M€ versé à une entreprise privée (Sequalum).