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vanvesauquotidien - Page 677

  • LYCEE MICHELET A VANVES : DES COURS A 9H ET PLUS DU TOUT A 8H !

    C’est le rêve de tous les collégiens et lycéens en ce dimanche où ils sont restés sous leurs couettes jusqu’à midi : Avoir son premier cours à 9H au lieu de 8H comme c’est le cas actuellement. «Une petite heure en plus, ce ne serait vraiment pas de refus» réagissaient quelques lycéens de Michelet ces derniers jours,  d’autant que beaucoup de professeurs constatent qu’entre 8H et 9H, la moitié de la classe dort, à Michelet comme ailleurs.  « Il y a eu des expériences en Angleterre et aux États-Unis qui ont montré que reculer d'au moins une heure ce démarrage avait amélioré la performance des élèves» indiquent des chronobiologistes, mais à la condition de ne pas se coucher tard, bien sûr.

    Ce pourrait être une idée qui fait son chemin, Valérie Pécresse, président de la Région qui gére les lycées vient de proposer de lancer à la rentrée 2019, une expérimentation régionale pour faire commencer tous les cours des lycées à 9h :«Ce serait bon pour les apprentissages et la santé de nos 500 000 lycéens, et ça désaturera les transports à Paris et en banlieue parisienne» avait elle tweetée la semaine dernière.  « J'y suis ouvert et elle sait qu'elle peut m'appeler pour cela» avait répondu le ministre de l'Education qui s'était dit «très ouvert» à l'idée d’une telle expérimentation. D’autant plus que selon une étude américaine, reculer les horaires quotidiens de rentrée scolaire des adolescents améliore leurs résultats et fait baisser l'absentéisme et les retards.

  • LES VŒUX DE LA DEPUTE PROVENDIER A VANVES AVEC 2 MINISTRES ET SANS GILETS JAUNES

    Prés d’une centaine d’invités ont participé aux vœux de Florence Provendier (LRM), député de la 10éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy) au Tout Va Mieux. Occasion de constater que pour ses premiers vœux, le vanvéen Gabriel Attal les avaient organisés à Issy lesMoulineaux au cœur de l’éco quartier en bord de Seine, en 2018, et qu’isséennne Florence Provendier les a organisée en 2019, jeudi soir, au cœur historique de Vanves. Avec deux ministres qui ont pris leur temps ce soir là, de passer un long moment avec les invités, Sophie Cluzel venue avec sa fille, Gabriel Attal toujours simple et abordable, des marcheurs, des personnalités comme le pére curé de Vanves, le commisssaire de police, un représentant de la BSPP, quelques élus d’Issy lesMoulineaux (en disgrâce d’André Santini) ou de Vanves (au moins un venu incognito et rapidement), mais pas de maires, ni de gilets jaunes à l’horizon   

    «C’est assez émouvant et réjouissant de se retrouver là ! » constatait Florence Provendier qui a veillé de très  prés avec son équipe à la bonne organisation de cette soirée, lors des discours. «J’ai commencé mon boulot lors de l’acte I des gilets jaunes ! » a t-elle rappelé, en revenant sur le grand débat qui devrait interpeller les français qui ne prennent jamais la parole. «Ils ont sûremment quelque chose à dire de très intéressant. La confrontation Paris-Province est insupportable, car on fait parti d’une même patrie» a-t-elle constaté. «Le mouvement des gilets jaunes est populaire. Mais des réponses ont été apportées par le président de la République. On aurait pu s’arrêter là. Il a fait le choix d’organiser un grand débat sous une formule souple, avec des méthodes permettant à tous de s’impliquer» a ajouté Gabriel Attal en constatant « qu’on avanve très vite. On a lancé toutes les réformes inscrites dans le programme. L’opportunité du Grand Débat est une façon de répondre de répondre à la question « et maintenant qu’est-ce qu’on va faire ? ». On compte sur vous pour être des relais »

    D’autant plus comme le faisait remarquer Sophie Cluzel :« soyez fier de ce qu’a fait le gouvernement. 2019 peut être une belle année. Mais c’est vrai que c’est compliqué ». Et Florence Provendier y apportera sa contribution comme elle l’a expliquée, au sein de la commission de la culture et de l’éducation à l’assemblée nationale en travaillant sur le projet de loi de l’école de la confiance qui srra le théme d’un atelier citoyen le 25 Janvier prochain sûrement dans le quartier desErinettes à Issy les Moulineaux. Elle n’en a pas moinds fait un vœu : «Mon souhait est de créer des liens dans la circonscription entre les responsables d’associations, les chefs d’entreprises etc…pour avancer ! »

  • GABRIEL ATTAL, LE MINISTRE DE VANVES CHARGE DE MONTER AU CRENEAU POUR DEFENDRE LES REFORMES ET LE GRAND DEBAT

    Malgré ses difficultés, le chef de l'État n'a pas renoncé à poursuivre les réformes. Pour porter les dossiers chauds de 2019, alors qu’il lance un grand débat public, il compte sur cinq ministres ou secrétaires d'État qui seront propulsés en première ligne : Marc Fesneau, chargé des relations avec le parlement, Olivier Dussopt chargé dela réforme de la fonction publique, Brune Poirson et Emmanuelle Wargon, chargées de la transition écologique, et Gabriel Attal, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Éducation nationale, chargée de la Jeunesse.

    Le benjamin du gouvernement à 29 ans, s'attelle à la mise en œuvre d'un serpent de mer: le service national universel (SNU). Il assure que le projet «correspond en tout point à l'engagement» de Macron. Expérimenté au printemps 2019 puis étendu pour concerner toute une classe d'âge en 2026, le SNU devrait consister en un mois obligatoire d'engagement autour de l'âge de 16 ans, suivi d'au moins trois mois sur la base du volontariat. Gabriel Attal devra convaincre des oppositions qui, à l'image des LR, dénoncent «un pseudo-service national «loufoque».

    Mais ce n’est pas tout, car il fait parti des secrétaires d’Etat qui, d’ores et déjà, ont annoncés qu’ils prendraient part au grand débat, avec Mounir Mahjoubi, Brune Poirson et Marlène Schiappa. Rappelez-vous, il a été le seul ministre à accepter de participer  l’édition spéciale de France 2 sur les gilets jaunes après le premier wee-end insurrectionel face à Jean luc Mélenchon. «Plutôt qu’un « Acte V », c’est un acte de responsabilité que l’on attend des Gilets Jaunes. Les violences des derniers samedi sont inacceptables. Des commerçants souffrent pour leur activité ! » avait il déclaré à la veille d’un nouveau samedi, le 15 Décembre, de manifestations, en ajoutant «Les Gilets Jaunes, ça a commencé par une hausse de taxe qui a été abandonnée. Ça s’est poursuivi sur le niveau des salaires et le Président a fait des annonces massives. Donc maintenant il faut passer à autre chose, c’est à dire le dialogue ! »

    Un peu plus tard, toujours, toujours, en décembre, il était à Tours (sur la photo) pour échanger sur le grand débat national: «Ce mouvement des Gilets Jaunes valide le constat porté par Emmanuel Macron  pendant la présidentielle sur les « Deux France ». Il valide aussi notre volonté que le travail paie mieux, c’est pour ça qu’on accélère sur ce point » expliquait il. « On a pas été élus pour « attendre ». En revanche, on adapte notre méthode pour permettre à tous les Français qui le souhaitent de participer, c’est le sens du nouveau contrat avec la Nation et des débats qui vont s’engager » ajoutait il