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vanvesauquotidien - Page 678

  • VANVES ET LE GRAND PARIS EXPRESS : LE POINT SUR LE CHANTIER ET SES EFFETS DOMINO

    Suite au ripage de la dalle réalisé en août 2017, le groupement Horizon avait entamé la phase de creusement de l'espace intérieur de la boîte gare, avant d’aborder la réalisation des planchers, avec  des travaux de coffrage et de ferraillage.  Cette phase s'étendra jusqu'en avril 2019.

    Les riverains ne sont que très peu impactés par ces travaux puisqu’ils sont effectués à l'abri de la dalle de couverture. Parallèlement, SNCF poursuit ses travaux en gare de Clamart avec la remise en état des voies de la ligne N. La construction du couloir de correspondance entre la gare Transilien et la future gare du Grand Paris Express débutera en janvier

    Un autre événement qui concerne la gare du GPE de Fort d’Issy/Vanves/Clamart , mais pas sur son territoire s’est déroulé début Décembre à Bagneux  au puit Robespierre : Le tunnelier dont les piéces ont été acheminées et assemblées directement sur le site, depuis Septembre 2018, a été baptisé le 1er Décembre 2018, du prénom de la navigatrice Ellen Marc Arthur. Il doit s’élancer ces jours-ci pour parcourir les 4 km vers la gare Fort d’Issy – Vanves – Clamart, où il sortira à l’été 2020. Il aura traversé quatre communes, trois gares en passant par cinq ouvrages de service. Parallèlement, d’importantes opérations de comblement des carrières, principalement sur les communes de Malakoff et Bagneux, sont réalisées pour préparer le passage du tunnelier.

    Enfin, l’édition francilienne de l’un des grands quotidiens du matin, faisait état des pressions des promoteurs – aux méthodes parfois peu correctes – pour construire de nouveaux immeubles dans des zones pavillonnaires, comme le Clos Montholon à Vanves – à proximité des futures gares.  «Il est normal que les promoteurs soient intéressés. On peut construire au moins logements à la place d’un pavillon » indique t-on du côté de l’APUR et de l’IAU IDF où l’on parle concrétement de zones très menacées, car les prix proposés aux propriétaires de pavillons sont souvent très intéressant, leur permettant de faire la culbute « surtout qu’ils ne veulent pas se retrouver avec un immeuble à côté ». Ainsi un effet domino risque de faire disparaître toute une zone pavillonnaire

  • PISTES CYCLABLES : RECORD A LA STATION MALAKOFF-PLATEAU DE VANVES

    En sortant du souterrain  des Reflets au niveau de la station de métro «Malakoff-Plateau de Vanves » ou en s’y engouffrant, les vanvéens passent sous la piste cyclable de la coulée verte qui détient un record à ce niveau là. Les services du département des Hauts de Seine ont enregistré le plus grand nombre de passages, avec une moyenne de 883 cyclistes par jour et même un pic à 2146 vélos le dimanche 16 Septembre 2028.

     Là comme sur une trentaine de points répartis dans le département, 43 compteurs avaient été déployé sur l'ensemble du territoire altoséquanais depuis Novembre 2017. Il s’agissait d'avoir une meilleure connaissance de l'évolution de la pratique cyclable sur le territoire.  Les comptages ont permis d'analyser les fréquentations des différents aménagements cyclables et d'identifier les secteurs les plus fréquentés. Les secteurs qui ressortent particulièrement sont les franchissements de la Seine, la Promenade des Vallons de la Bièvre (Coulée Verte) où passe la Véloroute Paris - Mont-Saint-Michel, les aménagements cyclables réalisés le long des tramways T2 et T6, la coulée verte à Malakoff bien sûr, et la Route départementale 906, entre Clamart et Montrouge, avec 499 cyclistes par jour au droit du cimetière de Clamart.

    Les comptages continus ont permis également d'identifier les jours et heures pour lesquels les fréquentations sont les plus importantes. Ainsi, les aménagements cyclables le long du tramway T6 sont plus fréquentés en semaine. La différence est encore plus flagrante pour les compteurs positionnés sur le pont d'Issy-les-Moulineaux sur la RD 72 et la RD 62 respectivement à Vanves et Montrouge, aménagements en moyenne deux fois plus fréquentés la semaine que le week-end. Les compteurs positionnés sur les itinéraires de Véloroutes (Avenue Verte London - Paris, Véloscénie), affichent quant à eux une plus grande fréquentation les week-ends et jours fériés (597 cyclistes en moyenne contre 411 en semaine). L'arrivée des beaux jours augmentent fortement les fréquentations quotidiennes. Une hausse de 71 % est constatée entre l'hiver et le printemps sur l'ensemble des postes de comptage (6 100 cyclistes à près de 10 450).

    Les hausses les plus spectaculaires concernent les compteurs implantés sur les itinéraires à vocation récréatives, principalement le long de la promenade bleue départementale à Nanterre et le long de la Coulée Verte à Antony. Sur ces itinéraires, près de 1 800 cyclistes ont été comptabilisés le 8 mai 2018 à Nanterre, et une fréquentation record de 2 344 vélos a été enregistrée à Antony le dimanche 2 septembre.

  • André Santini sort un nouveau livre : «Maire célibataire»

    Un livre-confession de plus de 200 pages, fourmillant d’anecdotes inédites parait le 17 Janvier prochain : « Maire célibataire » (Edt Le Cherche Midi)), signé par André Santini, maire d’Issy-les-Moulineaux depuis près de quarante ans,  et ex-député de la 10éme circonscription (1986-2017).

    Il dévoile avec humour et sincérité ses passions d’élu, comme ses interrogations d’homme à travers ce livre-entretien avec Mireille Dumas, réalisé lors d’une longue conversation menée notamment à Serriera, le village maternel dans le golfe de Porto (corse).  «D’André Santini, on connait les bons mots et le franc-parler. On connaît le maire, celui qui a fait de sa ville une référence en termes d’architecture et de modernité. Après quarante années de vie publique, il n’avoue qu’une passion véritable : Issy-les-Moulineaux. Maire célibataire : choix de vie ou choix de ville ? Les deux sans doute. Enfant de la guerre, issu d’une famille modeste, sans réseau mais non sans volonté, André Santini s’est construit dans l’effort et dans l’adversité. Sans jamais oublier d’où il venait. Une indépendance d’esprit cher payée mais une liberté de ton souvent appréciée. Rien n’échappe donc à sa gourmandise intellectuelle et à sa «boulimie fonctionnelle». La truculence, oui, l’indolence, jamais ! » indique son éditeur dans un communiqué. Enfance corse, études parisiennes, engagement politique, destin municipal, humeurs et humour, écologie, architecture, tropisme asiatique, nouvelles technologies, religion, moeurs, amour... tout y passe, sachant qu’André Santini est un homme complexe et pudique. Mais il ne se dérobe pas aux questions de Mireille Dumas.