Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ellen marc arthur

  • VANVES ET LE GRAND PARIS EXPRESS : LE POINT SUR LE CHANTIER ET SES EFFETS DOMINO

    Suite au ripage de la dalle réalisé en août 2017, le groupement Horizon avait entamé la phase de creusement de l'espace intérieur de la boîte gare, avant d’aborder la réalisation des planchers, avec  des travaux de coffrage et de ferraillage.  Cette phase s'étendra jusqu'en avril 2019.

    Les riverains ne sont que très peu impactés par ces travaux puisqu’ils sont effectués à l'abri de la dalle de couverture. Parallèlement, SNCF poursuit ses travaux en gare de Clamart avec la remise en état des voies de la ligne N. La construction du couloir de correspondance entre la gare Transilien et la future gare du Grand Paris Express débutera en janvier

    Un autre événement qui concerne la gare du GPE de Fort d’Issy/Vanves/Clamart , mais pas sur son territoire s’est déroulé début Décembre à Bagneux  au puit Robespierre : Le tunnelier dont les piéces ont été acheminées et assemblées directement sur le site, depuis Septembre 2018, a été baptisé le 1er Décembre 2018, du prénom de la navigatrice Ellen Marc Arthur. Il doit s’élancer ces jours-ci pour parcourir les 4 km vers la gare Fort d’Issy – Vanves – Clamart, où il sortira à l’été 2020. Il aura traversé quatre communes, trois gares en passant par cinq ouvrages de service. Parallèlement, d’importantes opérations de comblement des carrières, principalement sur les communes de Malakoff et Bagneux, sont réalisées pour préparer le passage du tunnelier.

    Enfin, l’édition francilienne de l’un des grands quotidiens du matin, faisait état des pressions des promoteurs – aux méthodes parfois peu correctes – pour construire de nouveaux immeubles dans des zones pavillonnaires, comme le Clos Montholon à Vanves – à proximité des futures gares.  «Il est normal que les promoteurs soient intéressés. On peut construire au moins logements à la place d’un pavillon » indique t-on du côté de l’APUR et de l’IAU IDF où l’on parle concrétement de zones très menacées, car les prix proposés aux propriétaires de pavillons sont souvent très intéressant, leur permettant de faire la culbute « surtout qu’ils ne veulent pas se retrouver avec un immeuble à côté ». Ainsi un effet domino risque de faire disparaître toute une zone pavillonnaire