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vanvesauquotidien - Page 591

  • LE DERNIER OUVRAGE DE SŒUR MARIE MADELEINE CASEAU : «VIVRE LE NOTRE PERE»

    Sœur Marie Madeleine Caseau, présidente de la Congrégation des Bénédictines de Sainte Bathilde et Prieure de Vanves a présenté et dédicacé son nouveau livre : « Vivre le Notre Père »  jeudi dernier.  

    «La prière du Fils est notre trésor. Comment passer à côté sans la laisser murmurer sa saveur, sans en recevoir son essence, sans en goûter sa ferveur ? Jésus a livré son testament en partageant les mots de son coeur à coeur avec le Père » explique t-elle. En fille, en héritière, en cohéritière de l’amour de Dieu, elle tente d’ouvrir des sillons et de les creuser, « chemin faisant», au gré de la lectio et des résonances liturgiques. « Chaque demande du Notre Père est visitée à l'école de la vie fraternelle reçue comme un laboratoire, une prophétie, une promesse. Chacun est invité à aller comme il est, là où il est, en cordée, à la rencontre du Père. Tous appelés au bonheur de devenir fils, filles, frères et soeurs universels non en récitant une prière, mais en vivant le Notre Père » explique t-elle.

    Elle a déjà publiée trois autres livres : «Qui que tu sois – Au fil des jours avec Saint Benoit» en 2015 véritable comentaire de la régle de St Benoit, «Vivre en majuscule – Si tu savais le don de Dieu» en 2017 qui invite chacun à vivre de la parole, tout simplement en lisant les textes bibliques de la liturgie du jour une fois au cœur de la semaine, «Braises de Réssurection» où elle  propose un chemin d’écoute, de silence, de méditation à partir des récits des apparitions du Ressuscité. Un vrai chemin initiatique simple, peu exigeant : dix minutes chaque matin, livre en mains, assis avec soi-même, qui est ainsi balisé, pour chercheur assoiffé…. Ce qui est peit paraîte incroyable alors qu’elle préside cette congrégation, l’anime comme prieure de Vanves, voyage aussi. Elle a été, pendant plusieurs années, responsable des Oblats et hôtelière au Prieuré de SaintThierry (Reims). Elle a ainsi accompagné de nombreux laïcs dans leur quête de Dieu et a pu réaliser la nécessité de donner à chacun des outils pour qu'il trouve son chemin de vie et de bonheur et y persévère. Conduire au Christ et rendre libres sous le regard de Dieu ont été ses seules convictions profondes notent ceux qui la connaissent bien

  • VANVES PARTICIPE A LA NUIT BLANCHE PARISIENNE ET METROPOLITAINE

    Vanves participe pour la première fois à la Nuit Blanche qui devient métropolitaine grâce à la MGP (Métropole du Grand Paris)  et à l’artiste  Denis Mariotte qui s’installera  ce soir dans le passage des Reflets(du métro) pour une «installation/Performance» dans le jargon artisistique, c’est à dire«un Chemin sensoriel jouant d’accumulations et d’états de saturation, sonore ou visuelle de 19H à 23H30». IL sera tout à fait dans le théme de cette 18eédition de la Nuit Blanche qui est « le mouvement » en se développant pour la première fois dans des lieux hors Paris intra-muros

    Cet ariste a imaginé et conçu une installation sur mesure pour le Passage des Reflets, à la sortie du métro Malakoff-Plateau de Vanves. «C’est dans l’itinérance du public que réside l’enjeu de l’oeuvre et dans la déstabilisation des habitudes perceptives. Comment rendre sensible et présent ce trait d’union entre des territoires et focaliser l’attention sur le contexte qui les accueille ? C’est à partir de ces notions que Denis Mariotte propose de révéler le Passage des Reflets de la Ville de Vanves lors de cette intervention in situ. À partir du préexistant du lieu, qu’il s’agisse de son architecture, de sa luminosité ou de son ouverture sur l’extérieur, comment mettre en mouvement ce tunnel pour en faire un passage sensoriel ? Comment mettre en mouvement ce passage à demi souterrain, ce lieu d’échanges entre des territoires et amener l’usager, l’habitué et les habitants qui empruntent ce couloir, à découvrir un autre espace et provoquer une nouvelle dynamique du regard? »

    Tel est l’enjeu pour ce musicien, performeur et plasticien qui  a notamment collaboré, entre 1989 et 2013, à de nombreuses pièces de la chorégraphe Maguy Marin, dont il compose les créations sonores : musiques jouées sur scène, bandes électro-acoustique, pièces vocales, dispositifs sonores, films musicaux. Rapidement, Denis Mariotte  relie musique, mouvement et mise en scène pour ouvrir de nouvelles pistes de travail artistique. Parallèlement, il pratique l’improvisation musicale en duo avec Gilles Laval ou Michel Mandel, et collabore avec le compositeur Fred Frith pour deux pièces, Impur et Stick Figures. Depuis 2005, il réalise des pièces en solo (Prises/reprises en 2011, Hiatus en 2018…) ou duo, notamment avec Maguy Marin (Ca quand même, 2004), ou Renaud Golo (On pourrait croire à ce qu’on voit, 2005, titre générique incluant différents chapitres)

  • POUR LUCILE SCHMID EX-ELU ECOLOGISTE DE VANVES, GRETA THUNBERG EST UNE LANCEUSE D’ALERTE NOVATRICE

    On ne peut pas dire que la jeune écologiste suédoise Gunta Thungerg laisse indifférente, suscitant de vifs débats, les uns la décriant sur le modèle « mais de quoi se mêle cet enfant ! Donner des leçons aux adultes ! Mais qu’elle retourne à l’école ! », les autres la défendant « car elle a su soulever un large mouvement e faveur du climat au sein de la jeunesse ». Parmi ses défenseurs, une vanvéenne, Lucile Schmid cofondatrice et vice présidente du think Tank «La Fabrique Ecologique » et ex-élu écologiste de Vanves candidate plusieurs fois aux élections législatives dans la 10e circonscription (Vanves/Issy).

    Elle a signée ces jours-ci, dans Le Monde, une tribune où elle considére que « le climat s’est trouvé une lanceuse d’alerte novatrice » avec GruntaThunberg. «Il ne ‘agit plus, aujourd’hui, de savoir qui est la vraie Grubta Thunberg, mais de comprendre ce que cette jeune fille symbolise et annonce ». Et d’expliquer qu’avec elle, alors que l’alerte est habituellement un processus solitaire, héroïque, difficile (cf Edward Snowden), là l’alertte est devenue collective en quelques mois, et a permis d’arrimer les enjeux à une nouvelle vitalité démocratique.  En plus, elle met l’accent sur trois points : Les faits scientifiques, la destruction des rêves et de l’avenir dela jeunesse, et la responsabilité des politiques accusés de « faire semblants »… «Ce n’est pas Grunta Thunberg qui est dans «le monde des bisonours » comme l’affirment certains de sesdétracteurs. C’est elle qui accuse les dirigeants politiques d’en être, en pensant ou en faisant semblant de croire que lestechnologies suffiront à lutter contre le déréglement climatique et l’extinction des espéces » écrit elle.

    « La question qui nous est posée collectivement, est donc de choisir de quel principe de réalité nous souhaitons nous emparer : Regarder du côté du passé ou reconnaitre ce qui se passe déjà qui permettra de penser l’avenir » Et à ses yeux, cela ne concerne pas seulement les jeunes, mais tous les décideurs, l’ensemble de ceux qu exercent une influence, politiques, chefs d’entreprises, scientifiques, expetrs, enseignants. Et d’inviter à avoir le courage.