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VANVES PARTICIPE A LA NUIT BLANCHE PARISIENNE ET METROPOLITAINE

Vanves participe pour la première fois à la Nuit Blanche qui devient métropolitaine grâce à la MGP (Métropole du Grand Paris)  et à l’artiste  Denis Mariotte qui s’installera  ce soir dans le passage des Reflets(du métro) pour une «installation/Performance» dans le jargon artisistique, c’est à dire«un Chemin sensoriel jouant d’accumulations et d’états de saturation, sonore ou visuelle de 19H à 23H30». IL sera tout à fait dans le théme de cette 18eédition de la Nuit Blanche qui est « le mouvement » en se développant pour la première fois dans des lieux hors Paris intra-muros

Cet ariste a imaginé et conçu une installation sur mesure pour le Passage des Reflets, à la sortie du métro Malakoff-Plateau de Vanves. «C’est dans l’itinérance du public que réside l’enjeu de l’oeuvre et dans la déstabilisation des habitudes perceptives. Comment rendre sensible et présent ce trait d’union entre des territoires et focaliser l’attention sur le contexte qui les accueille ? C’est à partir de ces notions que Denis Mariotte propose de révéler le Passage des Reflets de la Ville de Vanves lors de cette intervention in situ. À partir du préexistant du lieu, qu’il s’agisse de son architecture, de sa luminosité ou de son ouverture sur l’extérieur, comment mettre en mouvement ce tunnel pour en faire un passage sensoriel ? Comment mettre en mouvement ce passage à demi souterrain, ce lieu d’échanges entre des territoires et amener l’usager, l’habitué et les habitants qui empruntent ce couloir, à découvrir un autre espace et provoquer une nouvelle dynamique du regard? »

Tel est l’enjeu pour ce musicien, performeur et plasticien qui  a notamment collaboré, entre 1989 et 2013, à de nombreuses pièces de la chorégraphe Maguy Marin, dont il compose les créations sonores : musiques jouées sur scène, bandes électro-acoustique, pièces vocales, dispositifs sonores, films musicaux. Rapidement, Denis Mariotte  relie musique, mouvement et mise en scène pour ouvrir de nouvelles pistes de travail artistique. Parallèlement, il pratique l’improvisation musicale en duo avec Gilles Laval ou Michel Mandel, et collabore avec le compositeur Fred Frith pour deux pièces, Impur et Stick Figures. Depuis 2005, il réalise des pièces en solo (Prises/reprises en 2011, Hiatus en 2018…) ou duo, notamment avec Maguy Marin (Ca quand même, 2004), ou Renaud Golo (On pourrait croire à ce qu’on voit, 2005, titre générique incluant différents chapitres)

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