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vanvesauquotidien - Page 428

  • CENTRE INTERCOMMUNAL DE VACCINATIONS DE VANVES/ISSY : DANS LES COULISSES DE L’ORGANISATION

    Il a fallu 3 jours pour organiser ce centre intercommunal de vaccinations vanves/Issy, en s’appuyant sur les structures locales pour régler beaucoup de détails, car ses deux villes ont su  mobiliser 34 personnels de santé, grâce à leurs réseaux,  acheter ce qui manquait à la pharmacie de l’hôpital Corentin Celton, seringues, aiguilles notamment,  trouver des frigidaires…. Il n’a ouvert que le lundi  (18 janvier) après-midi qui a servi de rodage avant une montée en puissance jusqu’à 110/120 Vaccinés en fin de semaine,   6 box sur 10 étant ouverts.

    «Nous ne pouvons pas dire que nous n’avons été prévenu, puisque c’est l’ARS qui nous a informé que  nous aurions 400 doses. Par contre, il est inacceptable d’entendre dire par certains ministres que tout était parfaitement organisé  et que l’Etat prend tout en charge, ce qui n’est pas vrai. Il a fallu acheter des aiguilles et des seringues à la pharmacie de l’hôpital Corentin Celton. Mais ce sont les péripéties de l’organisation. Et l’ouverture d’un tel centre représente un coût partagé entre les deux communes, mobilise 12 personnes chaque jour, avec des agents municipaux, du personnel de santé volontaire car il faut préparer les vaccins, prendre, la diluer, sortir 6 vaccins de chaque doses, ce qui prend du temps si on veut bien faire les choses !» indique Ludovic Guilchert, maire adjoint à la vie sociale et à la Santé d’Issy les Moulineaux qui manage ce centre de vaccinations qui a reçu la visite du Préfet des Hauts de Seine la semaine dernière.(sur la photo)

    Pas question pour cet élu de critiquer l’Etat, l’ARS, la préfecture des Hauts de Seine car «ils font le maximum. Il est normal que dans une telle situation, on se tienne la main, car elle est trop grave pour se tirer dans les pattes. Mais reconnaissons la contribution de chacun. Ce qui est compliqué, est la jonction entre le dispositif central sur lequel nous n’avons aucune visibilité et le dispositif local, C’est là que nous avons des difficultés parce qu’on ne sait pas lorsque les vaccins arrivent à la  pharmacie centrale à Nanterre. Et l’ARS est au maximum de ce qu’elle peut faire pour assurer l’arrivée des vaccins, et elle fait avec l’arrivée des vaccins. Il n’y a pas de stock caché, mais l’accélération est compliqué à faire !» reconnait il

  • AGRESSION DU JEUNE YURIY A BEAUGRENELLE : NE PAS CONFONDRE VANVES AVEC PORTE DE VANVES

    Depuis, dimanche, selon les informations, données sur les chaînes et radios  infos, les journalistes indiquaient que  la police orientait ses recherches vers un groupe de jeunes originaires de Vanves, qui seraient venus en découdre sur la dalle de Beaugrenelle, dans le 15e arrondissement de Paris. Plusieurs témoins ont rapporté avoir entendu les agresseurs crier «c'est nous, Vanves».. Ce qui a fait réagir, sur les réseaux sociaux, certains élus ou proches du maire expliquant qu’il ne faudrait confondre Vanves dans les Hauts de Seine et Porte de Vanves à Paris dans le XIVe arrondissement,  à côté,  avec ses bandes. D’ailleurs le maire de Vanves s’en est expliqué sur BFM TV lundi matin en milieu de matinée, à une heure de faible écoute, en déclarant que sa ville est plutôt calme sur ce plan.  D’autant plus que dans leurs commentaires, les journalistes parlaient de ses barres HLM en briques entre les boulevards des Maréchaux et le Périph où sévissaient les bandes de Vanves en désignant la porte de Vanves, et non pas notre ville. Même si ce même lundi  matin sur RMC dans l’émission « Les Grandes Gueules », un témoignage laissait entendre de ces jeunes venaient bien de Vanves.  Même si Vanves est victime de bandes notamment sur le Plateau du côté du MacDo rue Jean Bleuzen ou a connu dans le passé un tel phénoméne, l’enquête de police déterminera d’où viennent ces jeunes.

    Même si l’on commence à avoir une idée des raisons de cette agression : «Une première bagarre, qui avait éclaté entre une bande de Vanves et un groupe de Beaugrenelle, où a été attaqué le jeune homme, pourrait être le point de départ des événements du 15 janvier dernier. Un membre de la bande de Vanves aurait été passé à tabac et cette dernière serait venue se venger» selon les explications données par la presse, dont les médias ont diffusé à profusion les images  insoutenables et d'une violence inouïe de ce collégien. Cette agression a provoqué un vif émoi à Paris et France.

    Une chose est sûre, cette dalle du quartier Beaugrenelle est un lieu où l'insécurité est chronique : «Des petits groupes de jeunes agressifs déambulent sur cette dalle et se livrent à ce genre d'agissements mais jamais à ce point de violence» détaillait sur les chaînes d’infos,  Philippe Goujon,  maire LR du 15e arrondissement. «Il y a des groupes de jeunes qui font leurs petites affaires sur la dalle, ça peut être des petits trafics, des petits vols,  mais ce niveau de gravité et de sauvagerie est nouveau», précisait il en expliquant avoir lui-même fait mettre en place les caméras qui ont filmé l’agression de Yuriy. «Depuis plusieurs mois, nous demandons des patrouilles de police, et des maîtres-chiens de la part de PariSeine (l’établissement qui gère la dalle)» ajoute P.Goujon

    L'Elysée a pris contact samedi avec la mère de Yuriy. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a également fait part de son soutien à la famille, samedi, et assuré que l'enquête devrait «permettre de faire toute la lumière sur les faits et d'interpeller les auteurs de cet acte immonde». De nombreuses personnalités politiques ont réagi comme Anne Hidalgo, maire de Paris «extrêmement choquée par l’agression inouïe du jeune Yuriy. Les responsables doivent être retrouvés et jugés. Tout mon soutien à lui et à sa famille» a-t-elle tweetée. Mais aussi Rachida Dati (LR) maire du 7e : «C'est ça Paris! Des territoires perdus de la République! Des agressions en pleine rue! Des barbares qui agissent en meute dès le plus jeune âge! On aurait encore fermé les yeux sur cette violence quotidienne sans ces images! Stop au déni. Agissons!» s'est indignée Rachida Dati en relayant la vidéo de la caméra de vidéosurveillance montrant l'agression. «L’ultra-violence en bandes fait des ravages: après Yury, hier un lycéen Sarcellesa reçu 2 coups de couteau. Victimes & agresseurs sont jeunes, beaucoup trop jeunes! A quand une prise de conscience nationale? Il faut prévention, protection, sanction» a tweetée V.Pécresse (Libres), présidente de la Région Ile de France . 

    Mais l'émotion a dépassé le cercle politique puisque des personnalités du monde du sport et du spectacle ont témoigné leur soutien à Yuriy et à sa famille : l'acteur Omar Sy qui lui a souhaité «un bon rétablissement», le basketteur Rudy Gobert ou encore les footballeurs Antoine Griezmann qui a tweetait «des images insoutenables. Force à toi Yuriy et bon rétablissement»  et Iker Casillas. L'ancien gardien espagnol, qui a relayé les images dans son tweet, se demande «quel est ce monde de m..... ? Que faisons-nous de mal ?». Enfin, l’ambassadeur d’Ukraine en France Vadym Omelchenko  s’est informé sur l’état de santé de Yuriy

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE PRESQUE ZEN MALGRE UN RECONFINEMENT IMMINENT

    Face à la persistance de l’épidémie et à la menace d’une accélération fulgurante des contaminations due aux «variants», plusieurs sources haut placées au sein de l’exécutif l’assuraient : «La décision est sur le point d’être prise», seuls le calendrier et les modalités restant en débat. «Il n’y a pas de décision de prise, les prochains jours seront décisifs. On a une circulation du virus en France qui est importante. Elle est moins importante que chez certains de nos voisins, mais elle progresse, sans qu’il y ait eu de hausse exponentielle à ce stade» indiquait Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, qui était l’invité de Dimanche en politique sur France 3 hier à midi. «On a mis en place, au niveau national, un couvre-feu à 18 heures il y a un peu plus d’une semaine. Il avait déjà été mis en place dans certains départements au début du mois de janvier et on a commencé, il y a une semaine, à voir ces effets dans ces départements» a-t-il rappelé. Aujourd’hui, le nombre de cas quotidiens avoisine les 20 000. Il était de quelque 10 000 lorsque le déconfinement a été amorcé au début du mois de décembre. Si «par principe tous les scénarios sont sur la table (...) À chaque fois, on tient compte de ce qu’on a appris,  rien n’est figé pour le moment» a-t-il assuré

    Mardi 26 Janvier

    A 15H30 à la Seine Musicale (Ile Seguin) : Isabelle Debré participe au conseil d’administration de l’Etablissement Public Interdépartemental Yvelines/Hauts de Seine qui votera son budget 2021

    Samedi 30 Janvier

    A L’ESCAL : Début d’un week-end avec de nombreux ateliers et tables rondes proposés aux adultes et aux enfants…Mais en visio