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vanvesauquotidien - Page 266

  • SECURISATION DE L’ALIMENTATION ELECTRIQUE DE VANVES

    «Sécuriser l’alimentation électrique de 105 000 habitants de l’ouest francilien : c’est l’objectif du chantier de modernisation du poste source « Châtillon » mené par Enedis. Comme son nom ne l’indique pas, cet ouvrage est situé à Clamart» comme l’indiquait Le Parisien dans un article ses derniers jours. Et non pas à chatillon, ou à Vanves, rue de Châtillon, comme c’est le cas pour le Syndicat des Eaux avec une grosse station de pompage enterrée sous la rue. «Il dessert le plus grand nombre de clients dans l’Ouest francilien, répartis dans 18 communes, dont 16 dans les Hauts-de-Seine (Antony, Bagneux, Bourg-la-Reine, Chatenay-Malabry, Chatillon, Chaville, Clamart, Fontenay-aux-Roses, Issy-les-Moulineaux, Le Plessis-Robinson, Malakoff, Meudon, Montrouge, Sceaux, Sèvres, Vanves) et deux dans les Yvelines (Vélizy-Villacoublay et Viroflay).

    Comme tous les postes sources, sa fonction est d’abaisser la tension de l’électricité provenant du réseau de transport de RTE, sur lequel elle circule à très haute tension (225 000 V) afin de pouvoir la basculer sur le réseau à moyenne tension à 20 000 volts, avant qu’elle ne soit encore abaissée à 230 ou 400 volts dans des postes de distribution de quartiers et qu’elle ne sorte des prises de courant chez les particuliers, les entreprises ou les industries du secteur».

    Construit en 1946, cet ouvrage n’avait jusqu’alors connu qu’une restructuration majeure, dans les années 1970, pour en augmenter la puissance électrique. «Si les travaux de modernisation actuels ont débuté en 2019 avec la construction d’un nouveau bâtiment, ils viennent de franchir une première étape majeure avec la mise en service du premier des trois nouveaux transformateurs d’une puissance de 100 mégavolt-ampère (MVA) et 120 tonnes chacun» indiquait il. Des travaux nécessités, parait il par l’arrivée du T 10 à Clamart entre la Croix de Berny (Antony) et l’hôpital Béclére, et de la ligne Sud  du Grand Paris Express

  • DES TRAVAUX INAUGURES OU TERMINES A VANVES

    CENTRE DE LOISIRS LARMEROUX

    Le nouveau centre d’accueil de loisirs de l’école Larmeroux sera inauguré en fin d’après midi vendredi. IL a été aménagé dans le bâtiment à l’entrée de l’école qui abritait les logements de fonction des enseignants. Les travauxs se sont terminés au début de l’automne puisqu’il a ouvert ses ports en Novembre. Sur prés de 385 m2, le bâtiment est entiérement dédié aux temps périscolaire et extrascolaires avec cinq salles d’activités  fonctionnelles et spacieuses pour des activités comme les arts plastiques, la cuisine, une salle de réunion, un bureau, une infirmerie…répartis sur 3 étages avec ascenseur.  Ce n’est pas la première fois qu’un centre de loisirs est installé dans des logements de fonction d’enseignements. L’école Gambetta a été la première a en aménagé, avec à l’époque, des salles informatiques lorsque l’Education Nationale avait lancé un plan d’initiation à l’informatique. Celui de l’école du Centre a été aménagé dans le petit hôtel particulier qui abritait le commissariat de Vanves à l’occasion de la construction de cet îlot Cabourg  

    REAMENAGEMENT DE LA TERRASSE DU PARC  F.PIC

    Après plusieurs semaines de chantier durant l’automne, quelquefois spectaculaires, avec de gros engins, les travaux de réaménagement de la terrasse du parc Pic (sur la photo), le long des cours de tennis, avec ses jeux pour enfants, sont presque terminés. L’ensemble des surfaces de circulation a été repris, avec la création notamment d’une voie de circulation de trois mètres de large pour permettre un accès au portail du parc des sports André Roche. . Les tables de tennis de table ont été regroupées pour créer un espace plus convivial. Selon la mairie, fin janvier, si les températures le permettent, plusieurs dizaines d’arbustes et de plantes vivaces seront plantés ainsi que dix arbres supplémentaires (Merisier à grappes et Albizia). Début février, le nouveau mobilier urbain sera installé, soit 12 bancs et trois poubelles pour offrir un confort optimal aux usagers

  • LANCEMENT PROGRESSIF DE LA COLLECTE DES DECHETS ALIMENTAIRES PAR GPSO BIENTOT A VANVES

    À partir de janvier 2023, Grand Paris Seine Ouest (GPSO) a souhaité franchir une nouvelle étape en matière de tri des déchets, en lançant progressivement la collecte des déchets alimentaires. «Ainsi, pour la première fois sur un territoire tel que le nôtre, une collecte des déchets alimentaires va être progressivement mise en place à Boulogne, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, et Vanves. Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray en bénéficient déjà. D’ici 2025, l’ensemble des habitants de Grand Paris Seine Ouest seront concernés» a annoncé l’interco dont fait parti Vanves,  dans un communiqué.

     «Un tiers de nos déchets ménagers sont des déchets alimentaires. Aujourd’hui ces déchets, quand ils ne sont pas compostés, sont traités sans différenciation. Epluchures mais également carcasses de poulet, arêtes de poisson ou encore les restes de nos repas sont autant de ressources à valoriser. En effet, la généralisation du tri à la source des biodéchets est rendue obligatoire en France à partir du 1er janvier 2024 dans le cadre de la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi anti-gaspillage (loi AGEC)» explique GPSO. Malheureusement, seuls 1% des déchets alimentaires sont actuellement collectés en Ile de Franc, soit 70 000 tonnes. «Globalement, nous avons une problématique avec des gens très motivés d'un côté et d'un autre, beaucoup qui ne participent pas» analyse Helder De Oliveira, directeur de l'Observatoire régional des déchets d'Île-de-France (ORDIF). «Cela fait 30 ans que l'on fait la collecte sélective des emballages, mais la très grande majorité n'est pas triée. On trie à peu près 60% des bouteilles en verre, 30% du carton et 20% du plastique. On est dans des taux de captage très bas qui n'évoluent que peu». Actuellement, sur les 890 000 tonnes de déchets alimentaires produits chaque année dans la région, 95% sont incinérés. Face à ce constat sévère, comment encourager les Franciliens à plus trier ? «Il faut mobiliser les quatre leviers : logistique efficace (bacs et tournées de bennes), communication, réglementation et incitation financière» poursuit le directeur de l'ORDIF.

    Le territoire de GPSO l’a anticipé avec de premières expérimentations réussies depuis 2018 à Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray. IL s’engage dès maintenant dans cette démarche afin de réussir au mieux cette transition et de continuer à porter son engagement environnemental. «L’enjeu économique de cette nouvelle collecte est particulièrement important quand on sait que le tarif de traitement d’une tonne d’ordures ménagères s’élève à 103€, alors que celui d’une tonne de déchets alimentaires n’est que de 19€ (Tarifs de traitement Syctom 2022). Elle permettra d’optimiser le coût global de traitement de nos déchets» explique l’interco.  «Mais l’enjeu est aussi environnemental, puisque les déchets issus de nos assiettes vont à terme produire de l’énergie par méthanisation et contribuer ainsi à la production d’une énergie renouvelable se substituant aux énergies fossiles. Ils seront aussi utilisés pour fabriquer un compost destiné à l’agriculture, limitant ainsi le recours aux engrais chimiques» ajoute-t-elle.  

    La nouvelle collecte des déchets alimentaires se déploiera progressivement entre 2023 et 2025 sur l’ensemble du territoire. Des éco-animateurs viendront à domicile pour distribuer un kit de tri, constitué d’un bioseau et de sacs transparents et compostables (pour une durée de 6 mois) dans les secteurs concernés, et répondront aux questions sur le tri de ces déchets alimentaires des habitants.