Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

collecte des déchets alimentaires

  • L’ACTUALITE DE GPSO A VANVES EN BREF

    En dehors de l’adoption à l’unanimité du PLUi lors de son conseil de territoire le 7 Février dernier, l’actualité à GPSO concerne actuellement la collecte des déchets alimentaires qui continue de se développer secteur par secteur jusqu’en 2025 et la modernisation des infrastructures d’éclairages tant à l’échelle du territoire que dans ses propres locaux  

    COLLECTE DE DECHETS ALIMENTAIRES  

    Depuis un an, GPSO commencé à déployer la collecte des biodéchets dans ses 8 communes en porte-à-porte, quel que soit le type d’habitat, sans avoir recours aux points d’apports volontaires, alors que l’habitat sur GPSO est à 92 % collectif. Dans plusieurs secteurs, les usagers ont reçu un bio seau, un premier rouleau de sacs biodégradables et, surtout, une nouvelle poubelle de couleur marron dans deux secteurs de la ville (autour du lycée Michelet depuis Février 2023, quartier du Plateau jusqu’au carrefour de l'Insurrection) qui sera entièrement couverte en  2025 (carrefour de l’Insurrection jusqu’au Clos Motholon en Novembre prochain). «Au 1er janvier 2024, 28 % des foyers sont desservis et 44 000 bio seaux ont été distribués sur un total de 175 000 foyers » indiquait GPSO qui indiquait que 635 tonnes de déchets alimentaires ont été collectés en 2023 sur son territoire, ce qui représentait 190 tonnes de compost produit. «Pour bien se rendre compte, cela représente près de 10 000 sacs de 20 kg de compost, qui pourraient fertiliser près de 18 terrains de foot. En termes de valorisation énergétique, 635 tonnes d’ordures alimentaires pourraient aussi chauffer 19 maisons de 110 m2 ». Car une fois triés et collectés, ces déchets sont amenés en usine de méthanisation et centre de compostage. Là, ils sont transformés en biocarburant, électricité, chaleur, engrais naturel et compost. 

    UN ÉCLAIRAGE PLUS EFFICIENT ET DURABLE

    Lors de la réunion publique sur le bilan de mi-mandat, le maire avait indiqué que grâce à GPSO, il avait pu remettre à niveau la ville en citant notamment l’éclairage à un moment où l’interco a entrepris un  plan de rénovation d’envergure de ses infrastructures d’éclairage. Des points lumineux équipés de sources LED, moins énergivores, produisant une lumière blanche plus agréable et aux optiques plus performantes que les lampes traditionnelles sont progressivement déployés, permettant de diminuer la puissance électrique installée. Ce déploiement s’accompagne de la mise en place systématique de la télégestion de l’éclairage, limitant ainsi les déplacements des techniciens. 147 Points lumineux ont été rénovés en 2023 (représentant 318 000 €), 67 le seront en 2024, en permettant parait il une économie de puissance de l’ordre de 75%. En parallèle GPSO a lancé l’étude d’un Schéma de cohérence d’aménagement lumière (SCAL) sur l’ensemble de son territoire de GPSO. L’objectif est de définir les prescriptions techniques qui permettront d’optimiser le fonctionnement de l’éclairage, en identifiant les besoins propres à chaque ville tout en assurant une cohérence à l’échelle du territoire.  Le SCAL deviendra un support d’aide à la décision pour tous les aménagements réalisés par GPSO afin d’éclairer au bon moment et au bon endroit, en alliant la performance énergétique, la préservation de la biodiversité et la qualité de l’ambiance lumineuse. Enfin, des mesures ont été prises depuis octobre 2022 afin de diminuer les consommations d’énergie liées à l’éclairage public. Si pour certaines villes des extinctions sont mises en œuvre entre 1h et 5h du matin  comme à Chaville, Meudon, pour d’autres, l’intensité lumineuse est diminuée comme  à Vanves Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Marnes-la-Coquette, Sèvres lorsque cela est possible techniquement

  • LUNDI LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE DE VACANCES ( ?)

    Vanves a pris des airs de vacances comme c’est le cas à chaque fois lors des vacances scolaires, puisqu’une bonne partie des vanvéens partent. Mais la vie continue à Vanves avec le démarrage des travaux rue Raymond Marcheron (sur la photo) par l’intervention du SEDIF sur les canalisations, première étape de sa requalification par la ville et GPSO présenté lors de la dernière réunion publique du quartier des Hauts de Vanves. Deux recours viennent d’être déposé, l’un par Laurent Delrieu, l’autre par Pierre Toulouse conseiller municipal écologiste et expert en mobilité  pour contester la légalité de ce projet à cause de l’absence d’un aménagement cyclable qui serait contraire à l’article L228-2 du code de l’Environnement. A leurs yeux, aménager cetterue sans prévoir une piste cyclable est incohérent alors même que leur principe figure en priorité n°1 du plan vélo de GPSO. L’interco entame la deuxiéme étape de son plan deploiement de la collecte pour les déchets alimentaires, présenté aussi lors des dernières réunions de quartier publiques. «Au 1er janvier 2024, 28 % des foyers sont desservis et 44 000 bio seaux ont été distribués sur un total de 175 000 foyers» indiquait GPSO.  Cette semaine sera aussi marquée par l’entrée en Carême et quelques rendez-vous artistico-spirituels chez les Bénédictines

    Du côté de Matignon, la nomination de Gabriel Attal suscite encore et  évidemment des commentaires. Le plus original est celui de Jean Pierre Raffarin, l’un de ses prédécesseurs, qui lui rappelle Chirac dont il a été l’un des Premier ministre de son second mandant : « la preuve ? Quand les paysans en Haute Garonne,  ont présenté au Premier Ministre une assiette de saucisson, il ne s’est pas contenté d’en goûter une tranche comme l’aurait fait n’importe qui. Il a pris l’assiette et en a distribué à tout le monde. Chirac aurait fait pareil. Attal c’est vraiment un pro !» confiait il au magazine Le Point  qui rapportait ce propos de Jean Louis Bourlange (Renaissance) député de Clamart (12é circonscription du 92) et président érudit de la commission des affaires étrangères de l’Assemblé nationale : « Faute de pouvoir se représenter, Emmanuel Macron a choisi de se reproduire » 

    Lundi 12 Février

    A 8H rue Marcheron : Début des travaux de canalisations réalisés par le SEDIF pour réduire le risque de fuite sur son réseau d’eau potable qui devraient durer plus de 12semaines et entrainer la mise en sens unique dans le sens Clamart-Paris, la déviation par les rues Antoine Fratacci, République pour la circulation dans l’autre sens des véhicules et du bus 59

    A 8H dans le quartier du Plateau et jusqu’au carrefour de l’Insurrection : Déploiement de la collecte pour les déchets alimentaires de GPSO

    Mercredi 14 Février

    A 12H à Saint Francois, à 19H à Saint Remy : Messe d’entrée en Carême avec imposition des Cendres

    A 18H30 au musée de la Carte à jouer à Issy les Moulineaux : Des vanvéens ont été invités au vernissage de l’exposition « Constant Le Pape (1865-1920) la Banlieue post-impressionniste »

    Vendredi 16 février
    A 20H au Prieuré Saint Bathilde :
    Inauguration par Monseigneur Celestino Migliore, nonce apostolique de l’exposition sur  chemin de Croix peint par deux jeunes artistes des Beaux Arts,Alzéda Bedel et Alexandre le Bourgeois suivi d’un temps de prière et de méditation autour de la Croix, un temps musical au piano avec Andoni Andreda pour ce premier vendredi de Carême

    Dimanche 18 février,

    A 17H au prieuré Saint Bathilde : Andoni Andrada, pianiste et organiste, donnera un concert de piano chez les Bénédictines, dans le cadre du CEMAS, avec des œuvres de Bac, Couperin, Brahms, Litaize, Dupré

  • LANCEMENT PROGRESSIF DE LA COLLECTE DES DECHETS ALIMENTAIRES PAR GPSO BIENTOT A VANVES

    À partir de janvier 2023, Grand Paris Seine Ouest (GPSO) a souhaité franchir une nouvelle étape en matière de tri des déchets, en lançant progressivement la collecte des déchets alimentaires. «Ainsi, pour la première fois sur un territoire tel que le nôtre, une collecte des déchets alimentaires va être progressivement mise en place à Boulogne, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, et Vanves. Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray en bénéficient déjà. D’ici 2025, l’ensemble des habitants de Grand Paris Seine Ouest seront concernés» a annoncé l’interco dont fait parti Vanves,  dans un communiqué.

     «Un tiers de nos déchets ménagers sont des déchets alimentaires. Aujourd’hui ces déchets, quand ils ne sont pas compostés, sont traités sans différenciation. Epluchures mais également carcasses de poulet, arêtes de poisson ou encore les restes de nos repas sont autant de ressources à valoriser. En effet, la généralisation du tri à la source des biodéchets est rendue obligatoire en France à partir du 1er janvier 2024 dans le cadre de la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi anti-gaspillage (loi AGEC)» explique GPSO. Malheureusement, seuls 1% des déchets alimentaires sont actuellement collectés en Ile de Franc, soit 70 000 tonnes. «Globalement, nous avons une problématique avec des gens très motivés d'un côté et d'un autre, beaucoup qui ne participent pas» analyse Helder De Oliveira, directeur de l'Observatoire régional des déchets d'Île-de-France (ORDIF). «Cela fait 30 ans que l'on fait la collecte sélective des emballages, mais la très grande majorité n'est pas triée. On trie à peu près 60% des bouteilles en verre, 30% du carton et 20% du plastique. On est dans des taux de captage très bas qui n'évoluent que peu». Actuellement, sur les 890 000 tonnes de déchets alimentaires produits chaque année dans la région, 95% sont incinérés. Face à ce constat sévère, comment encourager les Franciliens à plus trier ? «Il faut mobiliser les quatre leviers : logistique efficace (bacs et tournées de bennes), communication, réglementation et incitation financière» poursuit le directeur de l'ORDIF.

    Le territoire de GPSO l’a anticipé avec de premières expérimentations réussies depuis 2018 à Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray. IL s’engage dès maintenant dans cette démarche afin de réussir au mieux cette transition et de continuer à porter son engagement environnemental. «L’enjeu économique de cette nouvelle collecte est particulièrement important quand on sait que le tarif de traitement d’une tonne d’ordures ménagères s’élève à 103€, alors que celui d’une tonne de déchets alimentaires n’est que de 19€ (Tarifs de traitement Syctom 2022). Elle permettra d’optimiser le coût global de traitement de nos déchets» explique l’interco.  «Mais l’enjeu est aussi environnemental, puisque les déchets issus de nos assiettes vont à terme produire de l’énergie par méthanisation et contribuer ainsi à la production d’une énergie renouvelable se substituant aux énergies fossiles. Ils seront aussi utilisés pour fabriquer un compost destiné à l’agriculture, limitant ainsi le recours aux engrais chimiques» ajoute-t-elle.  

    La nouvelle collecte des déchets alimentaires se déploiera progressivement entre 2023 et 2025 sur l’ensemble du territoire. Des éco-animateurs viendront à domicile pour distribuer un kit de tri, constitué d’un bioseau et de sacs transparents et compostables (pour une durée de 6 mois) dans les secteurs concernés, et répondront aux questions sur le tri de ces déchets alimentaires des habitants.