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centre de loisirs

  • UN CONSEIL MUNICIPAL LONG, ENNUYANT, TECHNIQUE SOUS UN TEMPS LOURD

    Le premier geste du conseil municipal du 9 Juin a été d’apporter un soutien de la ville aux victimes de cet acte odieux et inqualifiable d’un réfugié syrien qui a choqué beaucoup de familles vanvéennes, et à la ville d’Annecy que beaucoup de vanvéens fréquentent ou ont eu l’occasion de visiter et de passer par ce site proche du lac et du Vieux Annecy.  

    En trois heures, il s’est déroulé à part égale, avec une première partie consacré à la désignation des délégués suppléants des grands électeurs pour les élections sénatoriales du 24 Septembre 2024, sans surprise puisque que ce soit dans une ville UDI/LR comme Vanves ou PC/PS/EELL comme Malakoff, la majorité place ses affidés. La seconde partie a été consacrée à l’examen des 21 délibérations inscrites à l’ordre du jour avec 11 consacrés aux ressources humaines, 5 aux finances dont le compte administratif 2022 qui est l’un des deux grands rendez-vous de l’année budgétaire sur lesquels reviendra le Blog dans le courant ce cette semaine

    «Une séance ennuyante» a entendre un participant, devant un public clairsemé, peut être à cause d’un temps lourd et chaud,  avec cette première partie longue de vote et de signatures administratives. Avec des propos marquants : Bernard Gauducheau lors du débat sur le compte administratif 2022 qui assure que son équipe municipale  « garde le cap » malgré tous ces événements, comme la guerre en Ukraine,  la hausse des tarifs de l’énergie, l’inflation qui ont compliqué la gestion financière des communes, en assurant que « si des projets doivent rééchelonnés, ils seront de toute façon maintenus».

    Malgré tout, l’une des conséquences est l’augmentation des tarifs de certains services  pour l’ESCAL (+5 à 10%), les centres de loisirs avec la mise en place de pénalités lors d’absences injustifiés après réservation, de demi-journées pour les mercredi et les vacances, les activités sportives du service des sports avec l’application du quotient familial. «Mais ces hausses dépassent largement l’inflation »  s’est étonné Jean CyrilLegoff (Renaissance ) qui s’est abstenu ainsi que Gabriel Attal et Séverine Edou. «La hausse à Vanves reste plus bas qu’à Malakoff » a répliqué Xavière Martin, adjointe aux écoles qui ajoutait « On n’est pas à pour faire de l’argent sur le dos des parents ! »

    Enfin, l’autre fait marquant est le « numéro » de Pierre Toulouse  sur l’aménagement de l’axe Marcheron-Larmeroux (sur la photo) à l’occasion du déclassement de ses routes départementales en voies communales. Ce fonctionnaire  à la retraite de l’Equipement et fondateur d’une association de cyclistes a exprimé très fortement sa déception de n’avoir pas été associé à la réflexion en amont alors que le programme de sa liste EELV aux municipales de 2020, il y avait consacré une grande partie. La majorité municipale l’a renvoyé dans les roses d’autant qu’il a conclu par des propos menaçant d’utiliser tous moyens procéduriers et juridiques pour empêcher ce projet. Tant Kevin Coster que Bernard Gauducheau l’ont invité à s’exprimer sur la plateforme de consultation, tout en reconnaissant que «ce n’est pas idéal», que toutes les solutions ont été étudiées,  que «le résultat est proche d’un compromis », « qu’il y a aura d’autres évolutions » mais « qu’il n’est pas évident de toucher à un axe de circulation (de transit) très important de la ville »

  • DES TRAVAUX INAUGURES OU TERMINES A VANVES

    CENTRE DE LOISIRS LARMEROUX

    Le nouveau centre d’accueil de loisirs de l’école Larmeroux sera inauguré en fin d’après midi vendredi. IL a été aménagé dans le bâtiment à l’entrée de l’école qui abritait les logements de fonction des enseignants. Les travauxs se sont terminés au début de l’automne puisqu’il a ouvert ses ports en Novembre. Sur prés de 385 m2, le bâtiment est entiérement dédié aux temps périscolaire et extrascolaires avec cinq salles d’activités  fonctionnelles et spacieuses pour des activités comme les arts plastiques, la cuisine, une salle de réunion, un bureau, une infirmerie…répartis sur 3 étages avec ascenseur.  Ce n’est pas la première fois qu’un centre de loisirs est installé dans des logements de fonction d’enseignements. L’école Gambetta a été la première a en aménagé, avec à l’époque, des salles informatiques lorsque l’Education Nationale avait lancé un plan d’initiation à l’informatique. Celui de l’école du Centre a été aménagé dans le petit hôtel particulier qui abritait le commissariat de Vanves à l’occasion de la construction de cet îlot Cabourg  

    REAMENAGEMENT DE LA TERRASSE DU PARC  F.PIC

    Après plusieurs semaines de chantier durant l’automne, quelquefois spectaculaires, avec de gros engins, les travaux de réaménagement de la terrasse du parc Pic (sur la photo), le long des cours de tennis, avec ses jeux pour enfants, sont presque terminés. L’ensemble des surfaces de circulation a été repris, avec la création notamment d’une voie de circulation de trois mètres de large pour permettre un accès au portail du parc des sports André Roche. . Les tables de tennis de table ont été regroupées pour créer un espace plus convivial. Selon la mairie, fin janvier, si les températures le permettent, plusieurs dizaines d’arbustes et de plantes vivaces seront plantés ainsi que dix arbres supplémentaires (Merisier à grappes et Albizia). Début février, le nouveau mobilier urbain sera installé, soit 12 bancs et trois poubelles pour offrir un confort optimal aux usagers

  • VOILA 10 ANS, L'ILOT CABOURG ETAIT INAUGURE EN GRANDE POMPE

    Enfin, voilà10 ans déjà, l’îlot Cabourg avec ses écoles, son centre de loisirs et son espace Jean Monnet (ESCAL) qui avaient ouvert à la Rentrée 2011, étaient inauguré le 15 Octobre en présence du préfet Pierre André Peynel, des députés André Santini et Pierre Christophe Baguet, du Vice président du Conseil Général Paul Subrini,  du député européen Jean Marie Cavada rejoint en cours de visite par le ministre Frédéric Lefebvre. Il est intéressant des se rappeller que cette opération a été lancée en 2003 par Bernard Gauducheau, en commençant par un coup de théâtre, en réunion publique. Ce projet qui s’étendait alors sur 9500 m2 et prévoyait  la reconstruction du groupe scolaire entre le commissariat qui devait alors déménager dans l’ancienne gendarmerie et le square Jean Monnet avec le LEP Dardenne. Entre cet établissement et le Tribunal d’Instance, sur une superficie  sur 500 m2, une centaine de logements devait être édifiés avec un parking public de 60 places.

    L’opposition accusait le maire de dilapider le patrimoine communal et de densifier alors que la Majorité expliquait que ses équipements publics seraient financés grâce à ses logements. Une association de riverains et de parents d’éléves dénommé « Ilot Cabourg » s’était tout de suite constituée pour veiller au grain, défendre leur environnement et leurs écoles, et surtout avoir un droit de regard.  Ils craignaient que ce projet confié à un promoteur, celui-ci « ne refasse Max Fourestier avec une école en rez-de-chaussée et des immeubles au-dessus ». Face à une opposition très remontée tant associative que politique, Bernard Gauducheau en Juin 2004 leur  avait  coupé l’herbe sous les pieds alors qu’elle s’apprêtait à demander l’organisation d’un référendum local -  en annonçant  que la ville gardait la maîtrise foncière totale de l’opération avec l’abandon du projet de construction de logements et d’extension du tribunal d’instance, en proposant de réfléchir à la reconstruction de l’école élémentaire derrière le Tribunal d’Instance, avec dans son prolongement, le long de la rue J.Cabourg, une salle polyvalente ou de sports de 400 m2, le déménagement du Centre de loisirs dans les bâtiments du Commissariat.  Depuis l’eau a coulé sous les ponts et Bernard Gauducheau se montre aujourd’hui intransigeant face aux oppositions contre ses projets immobiliers et notamment la tour hôtellière de Viparis contrairement à Issy les Moulineaux dont le maire a accepté de revoir la hauteur de l’hotel prévu rue du Sptembre avec modification du PLU, avalisée au dernier conseil municipal de Vanves

    Cette opération rondement menée en deux ans a fait partie des chantiers franciliens du plan de relance en 2009. Les deux écoles avaient déménagés pour la maternnellle dans les locaux de la CPAM/PMI, l’école primaire dans les bungalows du lycée Michelet, avec un service de car pour amener les écoliers de primaires de Cabourg aux bungalows situés dans le parc du lycée côté rue Michelet, les parents ayant refusé une solution « pédibus » via le parc du lycée Michelet.  La municipalité avait veillé ce que ce soit  un chantier propre surtout pendant la démolition et la construction des bâtiments, c'est-à-dire le gros œuvre. D’où des nettoyeuses-laveuses pour nettoyer la voirie, et des ouvriers dédiés au lavage des roues des camions lorsqu’ils sortaient du chantier. Enfin, limiter le bruit pour le voisinage en réduisant les travaux de nuit.

    Il n’y a pas eu trop de soucis « parce que les entreprises ont respecté les délais », quelques retards vite rattrapés par la suite, à cause des intempéries et des périodes neigeuses des deux hivers 2009 et 2010. 7 avenants au marché voté par le conseil municipal représentant 321 000 € d’augmentation (2,62%) sur le prix initial (12 232 127 €) ont permis prestations supplémentaires  : mise en place d’un anti-graffiti sur les façades, d’un arrosage automatique dans les espaces verts, d’un contrôle d’accès par badge pour les bâtiments, de mâts d’éclairage publics conforme à la charte GPSO, la réalisation d’un bassin de rétention pour conformité au rejet à l’égoût, modifications de cloisons, la mise en place de tableaux muraux des salles de classes pour polyvision, l’équipement pour cuisine pédagogique… avec des travaux complémentaires avec la réfection des « hébergés » c’est-à-dire du mur séparant cet espace de la villa Dupont, la démolition-reconstruction du local de Numéricâble, la restructuration du plancher du rez-de-chaussée de l’ancien commissariat, la réalisation d’un voile de souténement en paroi projeté entre la rue J.Cabourg et le local transformateur ERDF, la dépose, l’évacuation et le traitement du transformateur à pyraléne situé dans l’ancien commissariat (15 500 €) etc…. et surtout le ravalement du tribunal d’instance qui s’est terminé les derniers jours précédant l’inauguration.