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plan de relance

  • VOILA 10 ANS, L'ILOT CABOURG ETAIT INAUGURE EN GRANDE POMPE

    Enfin, voilà10 ans déjà, l’îlot Cabourg avec ses écoles, son centre de loisirs et son espace Jean Monnet (ESCAL) qui avaient ouvert à la Rentrée 2011, étaient inauguré le 15 Octobre en présence du préfet Pierre André Peynel, des députés André Santini et Pierre Christophe Baguet, du Vice président du Conseil Général Paul Subrini,  du député européen Jean Marie Cavada rejoint en cours de visite par le ministre Frédéric Lefebvre. Il est intéressant des se rappeller que cette opération a été lancée en 2003 par Bernard Gauducheau, en commençant par un coup de théâtre, en réunion publique. Ce projet qui s’étendait alors sur 9500 m2 et prévoyait  la reconstruction du groupe scolaire entre le commissariat qui devait alors déménager dans l’ancienne gendarmerie et le square Jean Monnet avec le LEP Dardenne. Entre cet établissement et le Tribunal d’Instance, sur une superficie  sur 500 m2, une centaine de logements devait être édifiés avec un parking public de 60 places.

    L’opposition accusait le maire de dilapider le patrimoine communal et de densifier alors que la Majorité expliquait que ses équipements publics seraient financés grâce à ses logements. Une association de riverains et de parents d’éléves dénommé « Ilot Cabourg » s’était tout de suite constituée pour veiller au grain, défendre leur environnement et leurs écoles, et surtout avoir un droit de regard.  Ils craignaient que ce projet confié à un promoteur, celui-ci « ne refasse Max Fourestier avec une école en rez-de-chaussée et des immeubles au-dessus ». Face à une opposition très remontée tant associative que politique, Bernard Gauducheau en Juin 2004 leur  avait  coupé l’herbe sous les pieds alors qu’elle s’apprêtait à demander l’organisation d’un référendum local -  en annonçant  que la ville gardait la maîtrise foncière totale de l’opération avec l’abandon du projet de construction de logements et d’extension du tribunal d’instance, en proposant de réfléchir à la reconstruction de l’école élémentaire derrière le Tribunal d’Instance, avec dans son prolongement, le long de la rue J.Cabourg, une salle polyvalente ou de sports de 400 m2, le déménagement du Centre de loisirs dans les bâtiments du Commissariat.  Depuis l’eau a coulé sous les ponts et Bernard Gauducheau se montre aujourd’hui intransigeant face aux oppositions contre ses projets immobiliers et notamment la tour hôtellière de Viparis contrairement à Issy les Moulineaux dont le maire a accepté de revoir la hauteur de l’hotel prévu rue du Sptembre avec modification du PLU, avalisée au dernier conseil municipal de Vanves

    Cette opération rondement menée en deux ans a fait partie des chantiers franciliens du plan de relance en 2009. Les deux écoles avaient déménagés pour la maternnellle dans les locaux de la CPAM/PMI, l’école primaire dans les bungalows du lycée Michelet, avec un service de car pour amener les écoliers de primaires de Cabourg aux bungalows situés dans le parc du lycée côté rue Michelet, les parents ayant refusé une solution « pédibus » via le parc du lycée Michelet.  La municipalité avait veillé ce que ce soit  un chantier propre surtout pendant la démolition et la construction des bâtiments, c'est-à-dire le gros œuvre. D’où des nettoyeuses-laveuses pour nettoyer la voirie, et des ouvriers dédiés au lavage des roues des camions lorsqu’ils sortaient du chantier. Enfin, limiter le bruit pour le voisinage en réduisant les travaux de nuit.

    Il n’y a pas eu trop de soucis « parce que les entreprises ont respecté les délais », quelques retards vite rattrapés par la suite, à cause des intempéries et des périodes neigeuses des deux hivers 2009 et 2010. 7 avenants au marché voté par le conseil municipal représentant 321 000 € d’augmentation (2,62%) sur le prix initial (12 232 127 €) ont permis prestations supplémentaires  : mise en place d’un anti-graffiti sur les façades, d’un arrosage automatique dans les espaces verts, d’un contrôle d’accès par badge pour les bâtiments, de mâts d’éclairage publics conforme à la charte GPSO, la réalisation d’un bassin de rétention pour conformité au rejet à l’égoût, modifications de cloisons, la mise en place de tableaux muraux des salles de classes pour polyvision, l’équipement pour cuisine pédagogique… avec des travaux complémentaires avec la réfection des « hébergés » c’est-à-dire du mur séparant cet espace de la villa Dupont, la démolition-reconstruction du local de Numéricâble, la restructuration du plancher du rez-de-chaussée de l’ancien commissariat, la réalisation d’un voile de souténement en paroi projeté entre la rue J.Cabourg et le local transformateur ERDF, la dépose, l’évacuation et le traitement du transformateur à pyraléne situé dans l’ancien commissariat (15 500 €) etc…. et surtout le ravalement du tribunal d’instance qui s’est terminé les derniers jours précédant l’inauguration.

  • VANVES ET GPSO : UN CONTRAT DE RELANCE ET DE TRANSITION ECOLOGIQUE

    Un contrat de relance et de transition écologique (CRTE) du territoire de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) a été signé avec l’Etat en présence du Préfet et des 8 Maires de  l’interco.  Cet  accord s’inscrit dans le plan de relance de 100 milliards d’euros engagé par l’Etat, dont l’objectif est d’atténuer les effets de la crise sanitaire, tout en accélérant la refondation économique, sociale et écologique de la France. Les acteurs locaux ont également pris des mesures importantes visant à atténuer les conséquences de ce choc comme l’a expliqué P.C. Baguet  président de GPSO: « GPSO a ainsi apporté des réponses d’urgence face à la crise sanitaire et a su élaborer des actions spécifiques pour soutenir les entreprises et commerces de son territoire. A cet égard, le fonds de soutien «Seine Ouest services» mis en place notre territoire a été mobilisé à hauteur de 2,5 M€ en sus des 540.000 d’euros apportés par GPSO au Fonds de résilience IDF».

    Ce contrat de relance et de transition écologique a pour objectif d’organiser la déclinaison territoriale du plan de relance national. Il identifie les axes de coopération entre l’Etat et l’interco en faveur d’une relance économique en s’appuyant sur les démarches d’ores et déjà engagées sur le territoire de GPSO. Trois axes phares liés à l’identité même de GPSO :

    -La transition écologique au cœur de la coopération : Depuis sa création, GPSO a placé la transition écologique au cœur de son action. Son plan Climat-air-énergie fixe ainsi des objectifs et un plan d’action ambitieux, structuré autour de six axes majeurs pour réussir sa transition écologique et contribuer à atteindre les objectifs nationaux de neutralité carbone à horizon 2050. L’Etat s’y engage aussi, grâce aux appels à projets pourvus par l’Agence de la transition écologique (ADEME), qui constituent des vecteurs privilégiés de financement de ces actions structurantes. Parmi ceux-ci, l’aménagement plus durable du territoire pour lutter contre le changement climatique et la perte de la biodiversité, la rénovation énergétique des logements, le renforcement des mobilités douces, la réduction de déchets sont des domaines d’actions prioritaires sur le territoire de GPSO. Ainsi, l’allocation de la dotation de soutien à l’investissement local (DSIL), dédiée à la relance et à la rénovation énergétique, d’un montant de 1,1 million d’euros, a notamment permis de financer la rénovation des gymnases de Ville d’Avray et Meudon, ainsi que celle du Palais des Arts d’Issy.

    -L’innovation numérique source d’attractivité économique : Deuxième bassin d’emploi d’IDF, GPSO est un pôle économique majeur de l’ouest parisien. La relance d’une dynamique d’emploi passera notamment par la poursuite des actions en faveur de l’apprentissage et de l’emploi des jeunes,  par l’aide à l’implantation des entreprises et au recrutement et par le développement des contrats d’insertion. Dans le cadre du plan de relance 1 jeune, 1 solution, l’Etat a augmenté les moyens financiers alloués à la mission locale, ce qui a permis de doubler le nombre d’entrées en garantie jeune (200 en 2021 contre 100 en 2020). Le recrutement de deux conseillers supplémentaires pour répondre aux besoins de la crise a par ailleurs été permis par une augmentation de la subvention de l’Etat allouée à la mission locale. La relance est également l’occasion d’accélérer le développement de GPSO comme un territoire «intelligent», en cohérence avec les objectifs du plan climat du territoire et au service de la transition écologique. Dans le cadre de cette démarche, plusieurs domaines prioritaires sont identifiés comme la gestion de la collecte des déchets ou le développement des mobilités douces.

    -Un territoire résolument créatif :  La relance s‘inscrit enfin au sein d’un territoire créatif. Le contrat de relance et de transition écologique soutient d’abord diverses expérimentations : implantation d’une station hydrogène, expérimentation de la collecte des déchets alimentaires, optimisation des collectes et préservation de la propreté de l’espace public par le déploiement de capteurs. Le CRTE soutient également le rayonnement culturel de GPSO  notamment à travers ses conservatoires. Pour ce secteur durement touché par la crise, des actions telles que la définition de nouvelles pistes d’intervention auprès des publics de proximité, l’intégration d’outils numériques dans l’enseignement, la mise en place d’une organisation territoriale en matière de formation professionnelle permettront de soutenir l’action culturelle du territoire. Le conservatoire de Ville d’Avray/Chaville est par exemple l’un des axes majeurs du développement culturel de GPSO, à travers un projet en étroite collaboration avec l’architecte des bâtiments de France (ABF) et la DRAC, à hauteur de 10 millions d’euros,  au service de la musique sur le territoire : de nouvelles salles seront construites, concomitamment à l’ouverture de neuf disciplines supplémentaires et de deux classes à horaires aménagés musique (CHAM).

  • 45e FORUM DES ASSOCIATONS DE VANVES POUR LES 120 ANS DE LA LOI 1901

    Comme chaque année, en dehors de 2020, à cause de la pandémie, ce fut un week-end vraiment traditionnel : Ouvert samedi par la braderie et la burse au vêtement qui n’avaient pas pu se dérouler comme en 2019. Prés de 250 exposants ont participé à cet événement très couru, un peu moins que les précédentes braderies, sous un magnifique soleil.  Avec des mesures sanitaires et le passe-sanitaire pour pouvoir y accéder. La 3e édition de la Bourse aux vélos a permis la vente de 120 vélos. Le lendemain, le parc Frédéric Pic accueillait le 45e Forum des Associations comme l’année derniére et dans les mêmes conditions de précaution sanitaire que la Braderie, mais avec quelques modifications : Le Stade de Vanves ne se tenait plus à part dans le PMS André Roche pour ses journées Portes Ouvertes, mais avait réintégré la prairie du Parc où se tenaient les stands avec une tente par section et de grandes files d’attente  le matin de parents venus inscrire leurs enfants  notamment devant le tennis, le football, le basket,  l’athlétisme, les Arts Martiaux etc…. (sur la photo). Une association qui devrait célébrer ses 80 ans

    Son inauguration donna lieu  à une scéne digne de la commedia dell’arte, dans la matinée, avec deux cortéges officiels qui se sont ignorés : le ministre vanvéen  porte parole du gouvernement est arrivé vers 10H30 accompagné du sous préfet en grande tenue, avec la députée Florence Provendier, les conseillers municipaux Séverine Edou et Jean Cyril Le Goff pour une visie qui a duré prés de 3H. Gabriel Attal a tenu à saluer chaque responsable association tenant un stand, en prenant son temps, se prêtant aux selfies bien sûr. Le maire arriva une demi-heure plus tard, et entama sa visite, entouré de ses maires adjoints. Mais pas de discours inaugural comme c’est l’habitude vers 11H30 suivi d’un pot amical. Tout simplement, parce qu’il aurait dû donner la parole au ministre. Il a du attendre l’aprés-midi pour prendre la parole totalement  inaudible, et de remettre les prix de la 3 édition «Clins d’œil vanvéens»

    Bernard Gauducheau avait eu l’occasion de s’exprimer sur le blog de la ville quelques jours auparavant pour rappeler que cette année coïncidait avec les 120 ans de la Loi de 1901, relative au contrat d’Association, «pilier de notre démocratie qui contribue ae ux valeurs humanistes de notre République, contribue au renforcement des liens social et de solidarité».  Et de célébrer, bien  sûr « l’engagement sans faille des Présidents et bénévoles associatifs qui créent des rencontres, portent des idées et proposent des services que notre ville ne pourrait assumer seule». Tout en notant que 120 associations s’engagent au quotidien à Vanves dont la ville consacre un budget de 1,1 M€ pour 110 d’entre elle, et a le projet ‘une maison des associations

    Florence Provendier, députée LREM, présente lors de la visite ministérielle au Forum des Associations, avait rappelé, dans un mail adressé à ses électeurs d’Issy/Vanves, les nombreuses mesures,  mises en oeuvre par le gouvernement en faveuir des associations à un moment où justement LREM fait distribuer un tract par ses militants sur le bilan présidentiel : 1 milliard du plan de relance consacré aux associations, 100 M€ pour le «Pass Sport », 80 M€ pour le « Pass culturel . «En 2021, 628 151 € ont été attribués aux associations des Hauts de Seine du Fonds pour le Développement de la vie Associative (FDVA) dont ont bénéficié 6 associations de la circonscription pour un montant de 41 000 €» précisait elle